Sarkozy vient de trouver 20 nouveaux milliards pour alimenter un "fonds souverain" français destiné à venir en aide aux entreprises stratégiques en difficulté. La concurrence libre et non faussée semblant avoir des limites (elle ne fonctionne en fait que dans la mesure où elle permet au capital d’extorquer des profits), il serait temps de déclarer caduc le traité de Lisbonne.
Sarkozy vient de trouver 20 nouveaux milliards pour alimenter un "fonds souverain" français destiné à venir en aide aux entreprises stratégiques en difficulté. La concurrence libre et non faussée semblant avoir des limites (elle ne fonctionne en fait que dans la mesure où elle permet au capital d’extorquer des profits), il serait temps de déclarer caduc le traité de Lisbonne.