Je me souviens d’une rencontre (40 années de cela...) avec un ancien ouvrier italien (à l’époque, les imbéciles appelaient les italiens : les spaghettis...). Il ressentait ce mot comme une agression et souffrait comme des millions de personnes sur terre de ce racisme basé sur les sobriquets, l’humour, et autres formes déviantes et méprisantes savamment entretenues (ritals, beurs, japs, chine toque, et j’en passe). Sur la question des races, cet homme qui était près de la retraite (on la prenait à 65 ans) me disait : sais-tu combien il y a de races sur terre ? Conditionné comme tout le monde, je voyais le blanc, le noir, le jaune et pendant que j’y suis le marron. J’étais jeunôt ! Ma ptite demoiselle, me répondit-il, il n’y en a que trois :
– la race humaine
– la race animale
et
– la race végétale
Je me souviens d’une rencontre (40 années de cela...) avec un ancien ouvrier italien (à l’époque, les imbéciles appelaient les italiens : les spaghettis...). Il ressentait ce mot comme une agression et souffrait comme des millions de personnes sur terre de ce racisme basé sur les sobriquets, l’humour, et autres formes déviantes et méprisantes savamment entretenues (ritals, beurs, japs, chine toque, et j’en passe). Sur la question des races, cet homme qui était près de la retraite (on la prenait à 65 ans) me disait : sais-tu combien il y a de races sur terre ? Conditionné comme tout le monde, je voyais le blanc, le noir, le jaune et pendant que j’y suis le marron. J’étais jeunôt ! Ma ptite demoiselle, me répondit-il, il n’y en a que trois :
– la race humaine
– la race animale
et
– la race végétale
Sujet à méditer pour les intellectuels