En 2005, lors de notre refus par référendum de la constitution européenne, les grecs nous ont clairement répondu que notre "non" était le leur aussi.
Faisons leur savoir aujourd’hui que leur colère est aussi la notre et, mieux, emboitons leur le pas !
En 2005, lors de notre refus par référendum de la constitution européenne, les grecs nous ont clairement répondu que notre "non" était le leur aussi.
Faisons leur savoir aujourd’hui que leur colère est aussi la notre et, mieux, emboitons leur le pas !