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Seule réponse de François Fillon à la colère des salariés : "refuser la logique de la violence"

8 avril 2009, 15:52, par pilhaouer

A « cent minutes pour convaincre, le 25 mai 2006 »

http://www.youtube.com/watch?v=VUo9...

« Je veux mettre au service des injustices plus de moyens »
NS

http://www.dailymotion.com/video/x5...

« J’ai bien conscience que dans les critiques qui me sont faites, celle qui m’a le plus touchée et qui m’interpelle le plus c’est celle qui voit une partie des français se dire : au fond il fait UNE POLITIQUE POUR QUELQUES UNS ET PAS POUR TOUS.
Si les français croient ça, et ILS ONT RAISON DE LE CROIRE, je dois en tirer les conséquences immédiates".
NS
Show télévisé du jeudi 24 avril 2008

Ce sont des lapsus ?!


(extraits d’un article du Monde(payant)) http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/09/25/tolle-en-inde-apres-le-lynchage-d-un-patron-par-frederic-bobin_1099450_3232.html.

Du côté du gouvernement, seul M. Fernandes réagit. Mais plutôt que de se
contenter de condamner, il replace l’incident dans le cadre général des
relations sociales dans l’entreprise. "Que cela serve d’avertissement aux
directions, lance-t-il. Je les appelle à traiter les ouvriers avec
compassion. Il y a des disparités de salaires entre ouvriers titulaires et
contractuels. Les ouvriers ne devraient pas être poussés à bout."

« Oscar Fernandes, le ministre indien du
travail, a fait acte de contrition, mercredi 24 septembre, pour ses
commentaires - "mal compris", selon lui - sur le lynchage à mort d’un patron
par ses ouvriers en colère à Noida, dans la banlieue de New Delhi.

Le drame avait éclaté lundi au siège de la filiale indienne de Graziano
Trasmassioni, une société italienne fabriquant des pièces détachées (boîtes
de vitesses et système de transmission) d’automobiles. L’entreprise est
basée à Noida, une zone industrielle proche de la capitale qui héberge entre
autres le japonais Honda et le sud-coréen Legend.
Ce matin-là, 200 ouvriers font irruption dans l’usine, résolus à régler leurs comptes avec le patron Lalit Kishore Chaudhary, qui les avait licenciés deux semaines plus tôt pour
vandalisme. Le contentieux a pour origine le refus du chef d’entreprise
d’augmenter les salaires et de signer des contrats à durée indéterminée.
La situation dégénère rapidement. Les intrus agressent à coups de barre de
fer les cadres et les dirigeants.
Cinq consultants italiens de la maison
mère se terrent dans les bureaux et doivent implorer la pitié des
assaillants.
M. Chaudhary, lui, n’est pas épargné : violemment frappé à la
tête, il succombera quelques heures plus tard à ses blessures. Au total, 50
personnes ont été blessées. La police a procédé à 63 arrestations.