Tu nous fais le portrait de centaines de cadres fonctionnaires, formés pour servir aux personnels des services publics, les couleuvres qu’ils ont avalées en avant première, sur la privatisation. Des gens sans aspérités apparentes sauf la détention d’une petite part de pouvoir, des gens ordinaires, soumis par carriérisme, sciant stupidement et avec abnégation et dévouement la branche sur laquelle ils sont assis. La majorité d’entre eux supporte ces contradictions en se mentant à elle-même sur l’éthique de son rôle qui est d’écraser impitoyablement ceux d’en dessous, tandis qu’une minorité se rend malade jusqu’au suicide, peut-être un ultime refus, ultime refuge de la conscience . Le Fascisme et le Nazisme ont reposé sur un consensus mou entretenu par le conformisme, qui évite de se singulariser en posant et en se posant des questions, et qui porte le refus et la haine implacable de l’anticonformisme. La raison a été remplacée par l’obéissance, véritable paresse morale avilissante,qui interdit au propre et au figuré, de réfléchir et de remonter la pente de la dignité humaine.
Tu nous fais le portrait de centaines de cadres fonctionnaires, formés pour servir aux personnels des services publics, les couleuvres qu’ils ont avalées en avant première, sur la privatisation. Des gens sans aspérités apparentes sauf la détention d’une petite part de pouvoir, des gens ordinaires, soumis par carriérisme, sciant stupidement et avec abnégation et dévouement la branche sur laquelle ils sont assis. La majorité d’entre eux supporte ces contradictions en se mentant à elle-même sur l’éthique de son rôle qui est d’écraser impitoyablement ceux d’en dessous, tandis qu’une minorité se rend malade jusqu’au suicide, peut-être un ultime refus, ultime refuge de la conscience . Le Fascisme et le Nazisme ont reposé sur un consensus mou entretenu par le conformisme, qui évite de se singulariser en posant et en se posant des questions, et qui porte le refus et la haine implacable de l’anticonformisme. La raison a été remplacée par l’obéissance, véritable paresse morale avilissante,qui interdit au propre et au figuré, de réfléchir et de remonter la pente de la dignité humaine.