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Nous n’irons pas à Copenhague !

8 décembre 2009, 12:10, par Mengneau Michel

J’ajouterais, les climatologues, les géologues climatiques n’étant pas tous d’accord sur le problème du réchauffement de la planète. Il y a un rechauffement de certaines régions sur le globe mais on ne peut encore dire s’il s’agit d’un effet généralisé qui viendrait par exemple d’un cycle solaire. Il est sur qu’il y a des mutations, sont-elles dues aux émmissions de CO2, encore moins sur. Mais ce qui parait évident c’est que le capitalisme et son besoin de produire pour créer des richesses qui serviront à produire encore davantage provoque des déséquilibres planétaires. Déséquilibres entre le nord et le sud, un déséquilibre moins perceptible est celui qui veut que la technique remplace le naturel, c’est d’ailleurs la réponse de certains scientifiques qui en s’appuyant sur les évolutions technologiques pensent que l’on résoudra tout les problèmes, c’est en partie exact. Mais pour ma part, je n’aime pas que la terre ne soit plus qu’un support dans laquelle on introduit moult produits chimiques pour la faire vivre et produire. Je regrette quand même le temps où le ver de terre, prenant son temps, aérait la terre pour restructurer sa composition.

La simplicité d’une vie simple ne sera peut-être pas dans l’acquisition du dernier tél portable super machin truc chose. D’ailleurs, si l’on regarde objectivement les choses, ce machin qui est utile dans certaine occasion est devenu un réflexe conditionné. Il n’est pas rare de voir quelqu’un s’arrêter brutalement sortir l’engin de la poche, le consulter avec une sorte de manque du fait qu’il n’a pas sonné ou n’inscrit pas de message depuis un certain temps. On a conditionné l’individu, et on l’a conditionné vers le consumérisme, car finalement ce n’est que cela, car si on y réfléchi bien, à quoi c’est utile...

Prenons garde à toutes les tentatives de mode, qui voudrait que l’on consomme du bio, cela ne veut presque plus rien dire. Luttons contre le capitalisme pour une écologie réflexive et sortons des conditionnements consuméristes, ce qui va sans doute être le plus difficile à faire.