Bonjour.
Je suis bien entendu entièrement d’accord avec le contenu de votre article consacré au "temps de cerveau disponible".
Entièrement d’accord, excepté en ce qui concerne le dernier paragraphe. Non point que les journalistes m’apparaissent comme les défenseurs ultimes et intègres de la liberté d’expression. Non point que, d’une façon générale, je veuille me faire moi-même l’ardent défenseur desdits journalistes qui méritent au combien la fessée, tant ils ne font pas leur travail.
Mais la vérité, en ce qui concerne l’écho qui a été donné dans la presse à la phrase du sieur Le Lay, c’est tout de même la UNE de Télérama, une double colonne chez Charlie, et sans doute quelques articles dans Libé. Et non point le silence total que vous dénoncez.
Les contres-vérités décridibilisent et fragilisent la contestation sociale, qui n’a vraiment pas besoin de ça. D’autant que la réalité est déjà tellement énorme. Elle se suffit à elle-même messieurs, n’en rajoutez pas !
Bonjour.
Je suis bien entendu entièrement d’accord avec le contenu de votre article consacré au "temps de cerveau disponible".
Entièrement d’accord, excepté en ce qui concerne le dernier paragraphe. Non point que les journalistes m’apparaissent comme les défenseurs ultimes et intègres de la liberté d’expression. Non point que, d’une façon générale, je veuille me faire moi-même l’ardent défenseur desdits journalistes qui méritent au combien la fessée, tant ils ne font pas leur travail.
Mais la vérité, en ce qui concerne l’écho qui a été donné dans la presse à la phrase du sieur Le Lay, c’est tout de même la UNE de Télérama, une double colonne chez Charlie, et sans doute quelques articles dans Libé. Et non point le silence total que vous dénoncez.
Les contres-vérités décridibilisent et fragilisent la contestation sociale, qui n’a vraiment pas besoin de ça. D’autant que la réalité est déjà tellement énorme. Elle se suffit à elle-même messieurs, n’en rajoutez pas !
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