Tempête Xynthia : "Pourquoi n’a-t-on pas évacué les habitants des zones à risque avant ?"
1er mars 2010, 18:20, par Mengneau Michel
Qu’ai-je écris dans le premier commentaire... J’étais, il y a pas longtemps à la "Prise des Canons", j’espère que tu connais, effectivement les digues anciennes, pas celle qui ont été remblayées récemment, sont constament refaites car lors des coup de vent, et avec ce que j’expliquais précédement, la mer toujours formée à partir des Sables-d’Olonnes du fait du plateau continental, a toujours déterioré cette digue. Il y avait effectivement une solution, c’était de défaire le vieil empièrement maçonné et remmettre des blocs de pierre pour reconstruire une digue plus moderne. L’option qui a été prise est celle de réparer au fur et mesure la digue qui est un patrimoine historique. Est-ce la bonne solution, là est la question ?
Je ne defendrai jamais nos gouvernants actuels, mais j’ai toujours du mal à compendre cette obsession qu’il y a à vouloir trouver des responsables à des événements qui parfois sont naturels, comme si l’on pouvait tout prévoir et tout gérer. D’ailleurs, le jour ou l’on arrivera à cela, nous seront devenus des robots.
Qu’ai-je écris dans le premier commentaire... J’étais, il y a pas longtemps à la "Prise des Canons", j’espère que tu connais, effectivement les digues anciennes, pas celle qui ont été remblayées récemment, sont constament refaites car lors des coup de vent, et avec ce que j’expliquais précédement, la mer toujours formée à partir des Sables-d’Olonnes du fait du plateau continental, a toujours déterioré cette digue. Il y avait effectivement une solution, c’était de défaire le vieil empièrement maçonné et remmettre des blocs de pierre pour reconstruire une digue plus moderne. L’option qui a été prise est celle de réparer au fur et mesure la digue qui est un patrimoine historique. Est-ce la bonne solution, là est la question ?
Je ne defendrai jamais nos gouvernants actuels, mais j’ai toujours du mal à compendre cette obsession qu’il y a à vouloir trouver des responsables à des événements qui parfois sont naturels, comme si l’on pouvait tout prévoir et tout gérer. D’ailleurs, le jour ou l’on arrivera à cela, nous seront devenus des robots.