538 mds de dollars d’actifs de sociétés du CAC 40 échapperaient au FISC grâce aux banques françaises
9 mars 2010, 20:40, par JM Berniolles
Déjà, pendant l’été 2003, le gouvernement Raffarin avait discrètement révélé que environ 200 milliards d’euros s’étaient "évadés" frauduleusement de France.
Depuis l’abolition du contrôle des changes par Mitterrand, -celui qui a introduit le néo libéralisme en France-, il n’y a pas de moyen de chiffrer réellement cette fuite de capitaux. Qui passe par Clearstream, Eurostream ....
La France et les pays européens aussi d’ailleurs, ne contrôlent plus ni les flux de capitaux, ni même la monnaie elle-même ...
Aujourd’hui, des théories d’essence marxiste, mais certains se réfèrent aussi à Aristote qui avait analysé avec clairvoyance le rôle de la monnaie et des marchands à son époque, -il détaillait notamment leur pouvoir d’exploitation par ce biais-, analysent le rôle majeur joué par la monnaie dans les processus d’exploitation.
De nos jours la monnaie elle-même n’a plus aucune valeur. Ce n’est que du papier ou un ordre de transfert électronique. Il n’y a pas si longtemps la monnaie était garantie par de l’or. Elle avait donc une valeur. Mais la spéculation, notamment sur le pétrole avec la génération des pétro dollars, a fait éclater tout cela. Une grande partie de la monnaie est devenue ainsi fictive et n’existe qu’en fonction d’une certaine confiance. La confiance des marchés. Quand elle devient défiance vis à vis d’un état, que l’on traite alors comme un particulier endetté, cela donne le cas de la Grèce, avant garde de nos problèmes futurs puisque les pays européens, -hors l’Allemagne pour le moment-, sont tous des Grèce en puissance.
Il est alors demandé aux travailleurs, dont le peu d’argent est lui bien réel puisque représentant un travail, de rendre réel cet argent fictif. C’est en particulier le rôle des prêts généralisés (y compris les collectivités locales qui empruntent en moyenne 15% de leur budget).
Une solution pour la Grèce est de sortir de l’Euro. Totalement ou bien avec une double monnaie. C’est aussi vrai pour nous.
Déjà, pendant l’été 2003, le gouvernement Raffarin avait discrètement révélé que environ 200 milliards d’euros s’étaient "évadés" frauduleusement de France.
Depuis l’abolition du contrôle des changes par Mitterrand, -celui qui a introduit le néo libéralisme en France-, il n’y a pas de moyen de chiffrer réellement cette fuite de capitaux. Qui passe par Clearstream, Eurostream ....
La France et les pays européens aussi d’ailleurs, ne contrôlent plus ni les flux de capitaux, ni même la monnaie elle-même ...
Aujourd’hui, des théories d’essence marxiste, mais certains se réfèrent aussi à Aristote qui avait analysé avec clairvoyance le rôle de la monnaie et des marchands à son époque, -il détaillait notamment leur pouvoir d’exploitation par ce biais-, analysent le rôle majeur joué par la monnaie dans les processus d’exploitation.
De nos jours la monnaie elle-même n’a plus aucune valeur. Ce n’est que du papier ou un ordre de transfert électronique. Il n’y a pas si longtemps la monnaie était garantie par de l’or. Elle avait donc une valeur. Mais la spéculation, notamment sur le pétrole avec la génération des pétro dollars, a fait éclater tout cela. Une grande partie de la monnaie est devenue ainsi fictive et n’existe qu’en fonction d’une certaine confiance. La confiance des marchés. Quand elle devient défiance vis à vis d’un état, que l’on traite alors comme un particulier endetté, cela donne le cas de la Grèce, avant garde de nos problèmes futurs puisque les pays européens, -hors l’Allemagne pour le moment-, sont tous des Grèce en puissance.
Il est alors demandé aux travailleurs, dont le peu d’argent est lui bien réel puisque représentant un travail, de rendre réel cet argent fictif. C’est en particulier le rôle des prêts généralisés (y compris les collectivités locales qui empruntent en moyenne 15% de leur budget).
Une solution pour la Grèce est de sortir de l’Euro. Totalement ou bien avec une double monnaie. C’est aussi vrai pour nous.
JM Berniolles