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ATTENTION - LA VICTOIRE DU NON N’EST PAS ACQUISE !

Publie le lundi 23 mai 2005 par Open-Publishing
2 commentaires

Bonjour à toutes et à tous,

Il faut continuer la mobilisation. Lisez bien cette dépêche jusqu’au bout, elle explique ce qui pourrait finalement nous faire perdre, et que je mets en gras.

Bon courage à tout le monde pour le combat.

RIEN NEST ACQUIS LA LUTTE CONTINUE !

A+

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http://mai68.org


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http://fr.news.yahoo.com/050522/5/4ffh5.html

Référendum : le "non" toujours majoritaire à 52%, selon un sondage Louis-Harris/Libération/I-Télé

PARIS (AP) - A exactement une semaine du référendum sur la Constitution européenne, le "non" est toujours majoritaire à 52%, en hausse d’un point par rapport à la précédente enquête des 29 et 30 avril, tandis que le "oui" atteint 48%, selon un sondage "Louis-Harris" pour "Libération" et "I-Télé" rendu public dimanche.

C’est à gauche que le "non" trouve ses principaux ressorts : 60% de ses sympathisants penchent vers le "non". Sur ce total, 50% des électeurs du PS se prononcent pour le "non", soit une hausse de deux points par rapport à la fin avril, et ce alors que ce sondage a été réalisé au lendemain de la nouvelle intervention de Lionel Jospin.

Interrogés sur leurs motivations et leurs craintes pour l’après-29 mai, 69% des sondés favorables au "non" estiment qu’il ne sera pas possible de réviser la Constitution européenne avant longtemps et 62% pensent que la France devra adopter des politiques de plus en plus libérales si le "oui" gagne. Ils sont également 49%, soit presque un sur deux, à penser que le "oui" entraînera inévitablement l’adhésion de la Turquie à l’Europe.

Du côté de ceux qui penchent vers le "oui", c’est le risque d’un affaiblissement de la France en Europe si le "non" l’emporte qui pèse le plus, puisqu’il est cité par 83% d’entre eux.

On recense par ailleurs 27% de personnes interrogées qui hésitent encore. Questionnés sur les arguments qui les touchent le plus, 50% (contre 27%) de ces indécis pensent que la Constitution ne sera pas révisable et 47% (contre 20%) que la France devra adopter des politiques plus libérales. Mais ils redoutent également un affaiblissement de la France (46% contre 37%) si le "non" gagne.

Pour François Miquet-Marty, directeur des études politiques de l’institut Louis-Harris, "le ’oui’ dispose encore d’un atout" avec "la possibilité d’un surcroît de mobilisation". Celui-ci pourrait venir selon lui "du refus de voir se concrétiser la victoire du ’non’" ou "de la volonté de s’approprier un scrutin dont l’issue commence à être présentée comme acquise".

Cette enquête a été réalisée par téléphone les 20 et 21 mai auprès d’un échantillon de 1.006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). AP

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