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Berlusconi cite Mussolini (video)

Publie le vendredi 28 mai 2010 par Open-Publishing
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"J’ose vous citer une phrase de celui qui était considéré comme un dictateur, un grand, un puissant dictateur, Benito Mussolini", a déclaré le chef du gouvernement italien avant de réciter un extrait du journal de l’ancien dictateur.

En marge du sommet de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) qui se déroulait à Paris, jeudi 26 mai, le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a conclu son intervention devant la presse par une citation de l’ancien dictateur Benito Mussolini.

"J’ose vous citer une phrase de celui qui était considéré comme un dictateur, un grand, un puissant dictateur, Benito Mussolini", a déclaré le président du Conseil italien, poursuivant : "Dans son journal, j’ai lu récemment cette phrase : ’Ils disent que j’ai le pouvoir. Ce n’est pas vrai. Peut-être est-ce le cas des responsables de mon parti. Mais ce n’est pas vrai pour moi. Tout ce que je peux faire, c’est dire à mon cheval d’avancer vers la droite ou vers la gauche. Et de cela, je dois me contenter.’"

"En qualité de président du Conseil, je n’ai jamais eu l’impression d’être au pouvoir", a-t-il estimé, "comme homme d’affaires, avec 56.000 employés, j’ai parfois eu l’impression d’être en mesure de décider et de contrôler les choses. Mais aujourd’hui, dans une démocratie, je suis au service de tout le monde et tout un chacun peut me critiquer, voire m’insulter."

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Messages

  • El senor Berlusconi est assurément la copie conforme du duce, Benito Mussolini.
    Le dictateur fasciste italien dont la spécialité fut d’écraser les pays sans défense comme l’éthiopie et l’albanie, avait un allié de choix : Adophe Hitler, führer du troisième reich. Comme lui, il envoya des troupes en Espagne aux côtés de la légion Condor, qui s’illustra notamment en rayant de la carte Guernica. Les heinkels allemands déversèrent sur cette petite ville des tapis de bombes qui firent de nombreuses victimes. Par contre, les troupes du duce connurent une cuisante défaite à Guadalajara. Les républicains mirent hors de combat la quasi totalité d’un corps d’armée italien.
    Voici donc sur qui prend exemple aujourd’hui el senor Berlusconi. J’espère que celles et ceux qui gardent dans leur coeur le camarade Palmiro Togliatti remèneront un jour où l’autre ce triste sire à la raison. Donner l’Italie à Berlusconi, c’est donner de la confiture à un cochon, disait ma grand’mère.