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Compte-rendu de la réunion lycéenne-étudiante de Toulouse

Publie le lundi 29 août 2005 par Open-Publishing
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Présents : environ 65 personnes, dont membres de UNL, AGET-FSE,
SUD-Education, SUD-Etudiants, CAL 65, CMIL (Comité de mobilisation lycéen _
Hérault), AL, JCR/LCR, FIDL
Villes : Tarbes, Toulouse, Bayonne, Paris, Aix-en-Provence

Ordre du jour :

1. Bilan mouvement, brèves informations sur la repression

2. Recommencer un mouvement ? (Comment ? Objectifs ? Faire de l’information,
travail commun...)

Discussion : fusion des deux points.

Introduction :

Bilan du mouvement avec deux phases (manifestations, jusqu’à la date du 8
mars, à la fois point culminant et tournant pour Paris avec les "casseurs" ;
Blocages et actions).

Décrets d’applications passés (détails à préciser)
Répression forte au Mans, à Rodez, Bayonne, à Paris ; procès en septembre

Discussion :

Conscience globale de ne pas être une AG représentative de l’état d’esprit
de l’ensemble des lycéens. Volonté commune de relancer le mouvement, malgré les difficultés qui pourraient exister (démoralisation, défaite, manque
d’information, d’organisation...).

Quelques interventions concrètes pour reprendre la lutte, y compris par des
actions le plus tôt possible.

Question de l’information soulevée à plusieurs reprises. Cela signifie nous
informer sur les attaques concrètes (décrets d’application de la loi FIllon
entrant en vigueur dès la rentrée ; LMD, LOLF, LOPRI dans les universités)
et informer nous même les lycéens et étudiants.

Nécessité très grande d’informer et d’organiser des AG partout où nous
sommes présents. Avoir une activité et proposer celle-ci sur la question de
la répression (par le biais des pétitions, de collectifs locaux, etc.).

Coordonner les différents collectifs ou comités anti-répression qui existent
en France, notamment pour centraliser les informations et avoir un compte
banquaire commun permettant la solidarité de l’ensemble des inculpés.

En terme d’échéances, pas d’appel formel, car ce sera aux AG de prendre des
décisions, selon le niveau de développement des luttes, mais volonté commune
de relayer et de se saisir de l’échéance du 20 septembre : manifestation
interprofessionnelle pour les services publics.

La présence à cette manif
intersectorielle est nécessaire. Elle permettra, quoi qu’il arrive, au moins
d’assurer une présence du secteur lycéen et de proposer des échéances de
mobilisations dans les AG, au mieux de recréer une dynamique pouvant
déboucher sur une recoordination entre lycées mobilisés, voire une reprise
du mouvement lycéen !!

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