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Une étude de la MGEN : comment en est-on arrivé là ?
Publie le lundi 29 mai 2006 par Open-Publishing5 commentaires
Dans Aujourd’hui en France du 26/05/2006, une étude solide ( 2500 enseignants) de la MGEN affirme qu’un enseignant sur trois est allé consulter un médecin pour des lésions d’origine professionnelles, qu’un sur quatre ne se sent pas en sécurité dans son établissement.
Le Snes corrobore : 6 professeurs sur 10 se plaignent d’épuisemnt physque ou nerveux.
Messages
1. > Une étude de la MGEN : comment en est-on arrivé là ?, 29 mai 2006, 17:07
Précision contenue dans l’article : la consultation pour des lésions d’origine professionnelles, qui concerne un enseignant sur trois, s’est produite seulement au cours des douze mois écoulés.
1. > Une étude de la MGEN : comment en est-on arrivé là ?, 30 mai 2006, 15:11
Il est urgent de cesser de harceler les enseignants, et il est fondamental de défendre le statut de la fonction publique.
2. > Une étude de la MGEN : comment en est-on arrivé là ?, 30 mai 2006, 17:40
Le Snes corrobore ?
Mais que fait le Snes quand les enseignants le contactent pour être soutenus ?
Un syndicat devrait défendre les intérêts de ses syndiqués. Or, le Snes ne se donne pas les moyens, qu’il détient, de basculer les rapports de force. Car quand un enseignant est attaqué, l’administration, plutôt que de porter plainte contre les agresseurs, cherche des poux dans la tête de la victime.
1. > Une étude de la MGEN : comment en est-on arrivé là ?, 31 mai 2006, 12:19
Le dernier message est absolument exact : l’article 11 du statut général de la Fonction Publique oblige l’adminstration à défendre le fonctionnaire insulté ou agressé dans son service.
Et pourtant, ni le SNES, ni évidemement l’administration ne défendent les enseignant(e)s.
3. > Une étude de la MGEN : comment en est-on arrivé là ?, 31 mai 2006, 15:11
L’article 11 loi du 13 juillet 1983 oblige l’administration a défendre les enseignants attaqués.
Pourquoi les syndicats ne le disent-ils pas avec force à l’administration ?