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Le Telethon

Publie le mercredi 1er décembre 2010 par Open-Publishing
8 commentaires

 Je ne participe jamais au Téléthon que je considère comme une escroquerie monumentale, en effet le peuple de ce pays a besoin de justice sociale, d’une jute reconnaissance de sa dignité humaine et de la répartition équitable des richesses produite par les seuls travailleurs par la confiscation immédiate ( sans indemnités bien sur ) de toutes les richesses volées aux travailleurs par toute cette racaille. En un mot par la fin du travail salarié.

 Dans un état digne de ce nom, dans une concurrence de médiocrités affligeantes, ce genre de charité vestige ignoble de millénaires d’exploitation et d’esclavage devient répugnante.

 De plus la recherche médicale, par ce stratagème ignoble, est confié à des organismes privés dont nul ne peut contrôler le fonctionnement, alors que dans en état digne de ce nom la recherche médicale et l’exploitation des laboratoire devrait être la première nécessité et bien sur la première a être prise en main par les travailleurs et les utilisateurs.

 Ne parlons même pas de l’énorme escroquerie de ces grandes compagnies de publicitaires, d’artistes de tout les bord qui profite, au centuple, d’une énorme publicité totalement gratuite.

 Donc plus de téléthon, plus de ces quêtes pour toutes sortes d’associations bidons. Pour commencer un début de vrais solidarité, commençons donc par ne plus tolérer qu’en France en 2010 des centaines de milliers de pauvre, pourchasser par la police, vide les poubelles des riches pour ne pas crever de faim.

 Ce serais surement beaucoup plus efficace que toutes ces illumination tout ce luxe grotesque de tout les téléthons du monde.

Raymond qui devant tant de connerie devient de plus en plus anarchiste.

Messages

  • entièrement d’accord avec Raymond

    j’ajoute que la solidarité - la vraie- exprimée dans le programme du CNR est escamotée au profit des opérations de charité médiatisées comme d’autres restos du Coeur, Sidathon.

    Pas surprenant que le téléthon est une opération qui nous vient des USA, peuplés de gens qui s’émeuvent plus qu’ils ne raisonnent.

    un autre scandale, plus petit : les campagnes pour asso médicales internationales faites sur les marchés menées par des étudiants en école de commerce...

    j’en profite pour dénoncer les étudiants qui restaurent une 4L Renault ,la bardent de pub (vous avez déjà vus) sous prétexte d’ apporter des cahiers scolaires en Afrique.
    leurs profs vous diront que c’est pour monter un projet, chercher des annonceurs, faire de la mécanique. Une "oeuvre humanitaire" pour cautionner leur petit "Paris-dakar" ...pendant leurs études !.
    il faudra un jour s’occuper de ces zozos.

    Pour en revenir au téléthon, marre de ces assos caritatives qui ont font leurs shows à la TV le samedi soir.
    pour que chacun pense :"ça permet de me rachèter une conduite".
    au moyen-age, on disait qu’on achetait des indulgences.

    albarot

  • bon, mais une fois que tu as dit cela, on fonce tous en masse chercher l’argent à l’Élysée ?
    On envahit les usines d’armement ?
    On refuse de payer nos impôts tant que les Gouvernements successifs ne placent pas la Recherche dans la case Priorité ?
    Où on laisse le tout en état ?

    Je sais c’est con, mais je préfère bouger

    http://www.maah3.com/-%2004%20telethon%202009.htm

  • Il y a une erreur dans l’orthographe, c’est le TELECON !

    Avec le Télécon, les cons restent des cons !

    • AUX LARMES CITOYENS !
      Autopsie d’un montage : le Téléthon

      Les sabotages menés depuis quatre ans contre l’irruption des OGM dans la société ont permis de retarder en Europe leur diffusion dans l’agriculture et l’alimentation. En revanche les prétentions scientifiques totalitaires de la génétique appliquées à l’homme sont rarement discutées. C’est pourtant ce que nous voulons commencer à faire à travers la critique de l’incontournable Téléthon.

      Le Téléthon est le produit de la rencontre entre un laboratoire en manque de reconnaissance sociale et de financement, le Centre d’étude de polymorphisme humain (CEPH) et une association à la recherche désespérée de perspectives scientifiques, l’Association française contre les myopathies (AFM). De cet hybride entre le CEPH et l’AFM est née une nouvelle forme d’organisation de la recherche, une sorte de lobby techno-scientifique, qui a ensuite permis une réorientation générale de la recherche Génétique humaine sur les vecteurs des génothérapies (thérapies cellulaires, thérapies géniques et pharmacologie).
      L’AFM a été créée en 1957 à l’époque où l’Etat, plus marqué en France qu’ailleurs par l’idéologie pasteurienne de la médecine infectieuse, considérait que les cas particuliers, réels ou supposés, qui ne relevaient pas de telles pathologies, étaient négligeables. Les politiques sanitaires de l’Etat visaient, pour l’essentiel, à maintenir la force de travail et à éviter les épidémies qui lui étaient préjudiciables. Les myopathes, entre autres, mouraient alors isolés dans l’indifférence générale, entretenue par ailleurs par les apparatchiks de l’Assistance publique. “Contre tous les dos tournés, la ville hostile, la médecine absente, la recherche timorée, la presse silencieuse, j’ai décidé de mener ce combat, le refus de la mort annoncée.” (Bernard Barataud, cofondateur de l’AFM). Tant que l’AFM s’est contentée d’initiatives élémentaires louables, entraide et solidarité pour soulager les malades et leurs familles, aide à la mobilité, maisons de soins, elle a fait œuvre utile.

      Mais, moins d’un an après le premier Téléthon (1987), l’AFM dut se rendre à cette conclusion : “faute de pouvoir attaquer la localisation de nos quarante maladies, nous en sommes venus à financer la cartographie du génome humain.” (Barataud, Au nom de nos enfants, 1992). Cette association de malades devient alors, associée avec le CEPH, l’un des promoteurs principaux du complexe génético-industriel en France. Le Téléthon, en mettant en scène les myopates, allait devenir la vitrine larmoyante permettant de financer, à grand renfort de mobilisation de masse, partout relayées par des mairies, des écoles, des entreprises, des groupes sportifs, des artistes, des militaires et même des détenus.

      Le système CEPH-Téléthon-AFM va alors en finir avec l’amateurisme en génétique et industrialiser le mode de recherche sur le modèle du nucléaire (Barataud était spécialiste dans les interventions d’urgences nucléaires). Il met en place l’infra-structure internationale nécessaire. On s’éloigne alors des myopathes, dont le rôle se borne à celui de faire valoir d’une entreprise industrielle et scientifique. Le Généthon (laboratoire créé par l’AFM et le CEPH) établit en 1993 la cartographie du génome humain (à différencier de son décryptage). Désormais, l’entreprise dépasse largement le cadre de la lutte contre les maladies dites orphelines et la “quête du Graal génétique” devient la règle pour masquer cet éloignement : les campagnes de recherche sont nommées “Grande tentative” ou encore “Nouvelles Frontières”.
      Avec la réaffirmation incessante du désintéressement, on fait ce qu’il faut pour maintenir, malgré l’évidence, la croyance en une solution proche : “nous ne cherchons pas à faire de l’argent avec nos recherches” ; “nous voulons soigner les malades” ; “il est de notre devoir d’effectuer des recherches désintéressées, dont les résultats sont mis à la disposition de la communauté des scientifiques, sous le contrôle de l’Unesco”, etc.

      Belle façade humanitaire ! Mais la question n’est pas là. En tant que telles, les maladies héréditaires n’intéressent pas l’industrie pharmaceutique. Leur marché est minuscule. Déjà, elle n’effectue presque aucune recherche et encore moins d’investissement pour les grandes épidémies qui ravagent la population mondiale, par exemple le paludisme. Le marché n’est pas solvable. Alors, les quelques milliers de myopathes… Si on consacre de gros efforts, via le Généthon en France, à des maladies très rares, dites orphelines, si des firmes comme EDF et France Télécom, hier indifférentes, commencent aujourd’hui à le sponsoriser, avec le Téléthon, c’est parce que les maladies rares présentent l’énorme avantage d’être, à première vue, des maladies génétiques presque “pures”, pour lesquelles le facteur héréditaire paraît essentiel. A travers le Téléthon l’objectif visé est la construction de l’acceptation sociale de la génétique et de son expansion à tous les domaines : à commencer par la médecine, dans laquelle on généralise l’approche génétique à toutes les maladies, l’agriculture avec les OGM ou encore la police avec les tests ADN.

      °°°

      La mise en spectacle de maladies rares, sur le mode du Téléthon, où le rôle de l’hérédité semble important, permet aux généticiens de déployer leur écran de fumée. Mais lorsque Daniel Cohen, le mécano en chef du Généthon, s’exprime dans Capital (mai 1996), il décrit son activité sans détour : “Identifier les gènes qui conditionnent les maladies (...) qui tuent entre 50 et 60 ans (...) Les maladies sur lesquelles je travaille touchent beaucoup de gens solvables et ont un fort impact économique.”* Où sont passés les myopathies ? L’essentiel est ailleurs. Il s’agit de généraliser la conception réductionnaire de la vie et de la maladie. Pour lui, “toutes les maladies ont un bruit de fond génétique” bien que “le rôle des gènes de susceptibilité à telle ou telle maladie ne se révèle qu’en fonction du mode de vie et d’autres facteurs”. Pauvres malades ! Ils n’ont vraiment pas de chance : des mutations hasardeuses dans leur arbre généalogique les ont prédestinés à être sensibles aux influenc es de l’environnement. Voilà comment, dans leur monde à l’envers, les généticiens escamotent l’essentiel, ou le considèrent comme annexe : les conditions de vie destructrices qui sont les nôtres aujourd’hui nous prédisposent à nombre de maladies, et même à des mutations dangereuses, bien plus que notre héritage génétique. Avec l’accélération de l’industrialisation du monde, les maladies se multiplient : d’anciennes pandémies reviennent au galop, comme la tuberculose ; de nouvelles apparaissent, comme le sida. Le cancer est en expansion rapide, en particulier à cause de l’accumulation de facteurs mutagènes, des pesticides aux radiations nucléaires. Fait symptomatique : le projet Génome humain est né dans le département américain de l’énergie, responsable du programme nucléaire des Etats-Unis, dans le cadre d’études sur l’identification des séquelles génétiques dues à l’irradiation après Hiroshima et Nagasaki. Dans cette œuvre de progrès, l’industrie pharmaco-médicale apporte sa pierre : ses “dommages collatér aux”, parfois mortels, que causent la consommation de ses marchandises et la pollution planétaire que crée leur production. Sur le terrain social mortifère qu’elle contribue à ravager, elle va même se refaire la santé. Après nous avoir gavés d’antibiotiques à en crever, elle nous met en garde contre leur “surconsommation”. Manifestement, elle prépare leur relève : les nouvelles drogues qu’elle crée par manipulation génétique.
      La vision réductionniste de la vie, et donc de la maladie, n’est pas apparue avec la génétique moléculaire. Mais celle-ci amplifie et aggrave ce qui existait déjà dans la physiologie à l’époque de Pasteur. Hier, nous étions considérés comme des sacs d’organes. Aujourd’hui, à en croire le noyau dur des généticiens envoûtés par les théories de l’information, nous serions, pour l’essentiel, de la conception à la mort, gouvernés par le génome comme un ordinateur par son microprocesseur. Rien d’étonnant que, pour ces idéologues, la médecine relève de la programmation, de la correction des altérations, réelles ou supposées, des gènes. Ils comptent nous délivrer de nos bugs ! Bref, le gène pathogène est en train de prendre la place du germe pathogène dans le rôle de l’ennemi public numéro un. Ce qui présente l’immense avantage, pour les gestionnaires de la domination, de rechercher dans le génome de l’individu isolé, comme détaché de la société, la cause essentielle de son “dysfonctionnement” et même les outils néc essaires à sa “réparation”. L’idéologie médicale modernisée ne fait que traduire, dans le domaine de la santé, le phénomène de destruction des relations sociales non marchandes qui caractérise les conditions actuelles de survie.

      Pour les modernes docteurs Knock, les malades potentiels sont innombrables et le mouvement de la faucheuse est réglé par la loterie génétique. Mais le hasard a bon dos et les dés sont pipés. Comme les facteurs pathogènes et mutagènes dans “la société du risque” se multiplient, nous avons toutes les chances de devenir malades pour de bon. Cohen le sait et annonce clairement la couleur : pas de remèdes à espérer avant “cinquante voire cent ans” pour l’immense majorité des maladies. La médecine prédictive n’a rien à nous proposer de neuf en termes de prévention. Nous avons affaire ici à du chantage en règle. Dans l’attente de jours meilleurs problématiques, nous sommes conviés à vivre avec l’épée de Damoclès de la “prédisposition” au-dessus de la tête et la peur au ventre. La peur de la maladie alimente la demande croissante de sécurité et de contrôle de la part des populations, contrôle d’esprit policier évidemment car, comme des terroristes réels ou supposés, les gènes pathogènes sont aussi omniprésents qu’in visibles. Au besoin, les généticiens inventent des gènes ad hoc, comme celui de l’obésité, de l’homosexualité, du suicide, du crime, ou du “goût pour la nouveauté”… La peur est le fond de commerce des mécanos de choc du Généthon. Ils nous invitent à nous faire tester pour déterminer ce qui est hors normes dans nos corps et dans nos esprits, et quelles précautions nous devons prendre au jour le jour en fonction de nos “prédispositions”, comme citoyens responsables de notre “capital santé” face à la société, grâce au “conseil génétique”. C’est bien la forme moderne du bunker et de la camisole de force que propose de fabriquer ladite médecine prédictive. Nous sommes donc invités à nous placer en permanence sous l’œil soupçonneux des généticiens, police en blouse blanche chargée de détecter nos “déviances”, en fonction du génome modèle qu’ils imaginent, et de signaler à l’Etat ceux qui s’écarteraient de la voie du “médicalement correct”. Déjà, le décryptage du génome a des applications considérables qui dépassen t le cadre de la santé. Grâce à lui, la Cour suprême de Californie a tranché en faveur de l’accès aux fichiers médicaux y compris génétiques par les compagnies d’assurances de façon à rayer de leurs listes des milliers de personnes “à risques”, jugées peu rentables par les fonds de pensions**. Manifestement, la médecine prédictive ne soigne que les individus en bonne santé ! Pour le reste, elle collabore avec la police : le fichage génétique devient obligatoire pour les prisonniers, et bientôt pour les simples suspects, comme le souhaite Sarkozy. Et déjà pour des populations entières comme en Islande***. La main qui soigne est aussi celle qui affame, bâillonne, emprisonne et tue.
      L’Etat moderne a toujours fait appel à la médecine pour justifier la coercition qu’il exerce. Avec Pasteur, le contrôle social prit la forme socialement acceptable du contrôle sanitaire des épidémies. Les techniques pasteuriennes, de la vaccination obligatoire à la mise en quarantaine, appliquées en premier lieu au cheptel humain. Pour adapter les hommes aux cloaques urbains créés par la révolution industrielle, la santé est devenue affaire d’Etat. Les biotechnologies à usage médical poussent encore plus loin la “gestion” des hommes comme du bétail tout juste bon à être domestiqué puisque de l’aveu même de Daniel Cohen, c’est “notre cerveau qui est en dessous de l’évolution de la société”. Leur programme reprend celui de la génétique agricole, qui se propose avec les OGM d’adapter la plante à la surenchère des pesticides en intégrant dans son génome la résistance aux pesticides. Il s’agit à présent d’adapter les individus à l’environnement social devenu lui aussi invivable, quitte à manipuler leur génome. De rrière l’écran de fumée de la philanthropie, leur objectif apparaît clairement : c’est ce qu’il reste de capacité de résistance à la domination qu’elles veulent briser.
      L’administration industrielle de la mort était déjà le privilège de la domination. Grâce au pouvoir que lui procure l’accession de la génétique au statut de technoscience, c’est désormais dans l’administration industrielle de la vie qu’elle fait d’énormes progrès, sous les dehors aimables du progrès médical et, ce, dès avant la naissance (FIV, DPI…). La dépossession des individus en est encore aggravée : ils deviennent encore plus étrangers à eux-mêmes.
      La connaissance qu’ils peuvent acquérir d’eux-mêmes est plus que jamais traitée comme qualité négligeable face à la puissance prétendue sans limites des biotechnologies auxquelles ils devraient s’abandonner pour leur propre survie. Le monde qu’elles participent à mettre en place n’est pas celui d’individus et de communautés libres, capables d’affronter de façon aussi consciente et autonome que possible ce qu’il y a de douloureux dans l’existence humaine, à commencer par la maladie et la mort. C’est celui des tartuffes scientifiques qui annoncent sans rire le règne de la santé parfaite pour la fin du siècle… au milieu des décombres.
      Cette guerre contre la vie et la liberté, comme toutes les guerres de notre époque, est menée au nom de l’humanitaire, par le biais de spectacles organisés autour de maladies précises, comme les myopathies. Le Téléthon donne bonne conscience aux citoyens modèles, pétris de bonnes intentions moralisatrices. Mais qui trouvent plus confortable aujourd’hui de croire que les maladies sont dans les gènes, comme ils ont cru hier qu’elles étaient dans les microbes, de verser quelques larmes de crocodile et de mettre la main au portefeuille sans plus se poser de questions. Quant à nous, nous disons sans détour que c’est dans la confrontation avec une société qui créé et met en spectacle les délires de pouvoir des nouveaux docteurs Frankenstein que la question de la maladie, comme toutes les autres questions qui nous tourmentent, peut être réellement posée. C’est pourquoi nous sommes aux côtés de ceux qui, comme René Riesel, la combattent, par la plume et par d’autres moyens, sans hésiter à revendiquer les sabotages d’OGM, quitte à aller en prison. Ce combat ne mène jamais au prix Nobel, mais parfois dans les geôles de la République. C’est pourtant le seul qui vaille la peine d’être tenté.

      Quelques ennemis du meilleur des mondes
      C/o ACNM - Boîte postale 178
      75967 Paris Cedex 20

      Paris, décembre 2002

  • Dans l’Allemagne nazie et sous Pétain, les quêtes fleurissaient pour un oui, pour un non. Sans cesse on sollicitait le ’’peuple’’ pour des oeuvres soit-disant caritatives.
    Idem aux USA ou la charité est un business fructueux.
    Marre de cette hypocrisie.
    Raymond, tu as raison de gueuler fort. On nous prend vraiment pour des cons et je pense à ces idiots qui vont se donner bonne conscience alors que peu d’entre eux sont venus aux manifs retraite

    • bravo et merci Basile : 7 lignes très concises !

      on n’est loin d’être débarassés des principes judéo-chrétiens : la charité, concept qui pour moi s’oppose à la solidarité

    • Je propose que chaque année soit organisé le TELE-CGT,sous la houlette de la " française des gueux ".

      La boite qui comptabilise le plus grand nombre de jours de grève se verra remettre une bouteille de St Emillion(pour faire plaisir à AC)pour chaque gréviste.

      A la notre !

      LR