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Esclavage : 64 ans après l’abolition

par MARTINE LOZANO

Publie le jeudi 10 mai 2012 par MARTINE LOZANO - Open-Publishing
2 commentaires

Esclavage : 64 ans après l’abolition

Le 10 mai est la journée nationale des mémoires de la traite de l’esclavage et de leur abolition ,

Selon Françoise Verges qui s’exprime dans le journal humanité cette journée sert à rappeler que la traite négrière a existé pendant des siècles en France.

Les esclaves venaient pour la majorité de la région du golf du Benin,
L’ Economie du royaume du Dahomey y reposait sur la vente d’esclaves,
La porte de non retour était Ouidah , ville du bénin où furent déportés des millions d’africains durant des siècles et dont les descendants de nos jours peuplent le brésil ,les États-Unis ,les Antilles, le canada ,Europe,

L’histoire Du commerce des esclaves n’est pas très présente en Afrique sous forme de récit mais trouvent d’autres formes d expression qui sont l’espace rituel, le corps possédé, la danse et la musique , des poèmes ,
Ainsi que la’ mémoire de l’esclavage à travers le vaudou,
Tous ces modes d’expression qui représentent des gardes fous pour ne pas sombrer dans le vide ; car Sur La route des esclaves s incorporait une mémoire orale vivante à partir du moment où
 l’esclave doit perdre la mémoire de sa famille ,de ses origines ,
Face à ce système esclavagiste les africains déportés élaborent leur propre imaginaire, 

Qui était le ciment identitaire des esclaves déportés ,

C’Était dans le royaume de Ouidah près de la plage que l’on trouvait le plus grands réservoirs d’esclaves.

Ce crime contre humanité qu’a été la traite négrière il faut la comprendre pour faire avancer les civilisations humaine ,
Seulement cela permettra pour les victimes d’aller vers une réconciliation universelle.

Martine Lozano militante associative

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Messages

  • Un peu court cet article qui a le mérite d’exister.
    Il y a beaucoup de d’écrits et de travaux universitaires sur la question.
    Sujets de polémiques seines ou moins seines.
    Le dernier scandale : Mme Vergès fille de Paul ex président "communiste" de La Réunion (et nièce de Jacques avocat) est la squatteuse de la question désigné par Sarko. C’est elle qui a participée au Mémorial de Nantes (que j’ai hate de visiter). Pour l’inauguration les historiens de La Réunion Sudel Fuma et Prosper Eve bien connus à Nantes n’ont pas été invités. Mais écarté par cette dame. Ne serait-elle pas "peau noire, masques blancs" (Frantz Fanon)

    • Pourriez-vous préciser votre propos ? "Elle squatte" la question car elle est la seule ? d’une façon, hégémonique ? Toutes les paroles dissidentes sont écartées ? Y’at’il moyen de remettre en question cette hégémonie ? Si oui, pourriez-vous éclairer notre lanterne ? Car il me semble que vous apportez des éléments intéressants à questionner.