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Le crime de l’ONU - UNSCEAR

par Jean-Yves Peillard

Publie le dimanche 10 février 2013 par Jean-Yves Peillard - Open-Publishing
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les nations unies organisent et appuient le crime contre l’humanité

L’UNSCEAR (Comité scientifique des Nations Unies sur les effets des rayonnements ionisants http://www.unscear.org/unscear/fr/about_us.html) est l’une des agences de l’ONU qui continue sa progression pour que L`’ONU soit complètement discréditée car elle appuie elle-même le très grand crime contre l’humanité, et amorce donc son auto-destruction.

Sur le site de l’UNSCEAR, ils n’ont pas encore osé publier l’incroyable article ou alors il est bien caché, mais il y a d’autres documents sur l’enfumage onusien :
http://daccess-dds-ny.un.org/doc/UNDOC/GEN/N12/485/32/PDF/N1248532.pdf?OpenElement)

Voici donc un extrait du document issu du lobby World Nuclear Association pro nucléaire anglaise paru en décembre 2012. http://www.world-nuclear-news.org/RS_UN_approves_radiation_advice_1012121.html

(traduit de l’anglais par m.elie )

« L’ONU approuve l’avis sur les rayonnements
le 10 Décembre 2012

L’Organisation des Nations Unies va adopter l’avis sur les radiations qui précise ce qui peut être dit à propos de ses effets sur la santé des individus et des populations importantes. Un rapport préliminaire n’a aussi constaté aucun effet observable sur la santé après l’accident nucléaire de l’année dernière à Fukushima.

Les études proviennent du Comité scientifique des Nations Unies sur les effets des rayonnements ionisants (UNSCEAR), après cinq années de travail.
Un organe indépendant d’experts internationaux, l’UNSCEAR s’est réuni régulièrement depuis 1955 et a aidé à établir le rayonnement comme l’agent cancérigène le mieux connu dans le monde grâce à ses études sur les survivants des bombardements atomiques et les effets de l’accident de Tchernobyl.

Après avoir été officiellement approuvé par l’Assemblée générale des Nations Unies, les rapports - ainsi que d’une résolution pour les accepter - seront adoptés dans les prochaines semaines. Ils serviront ensuite à informer tous les pays du monde pour qu’ils fixent leurs propres politiques nationales en matière de radioprotection.

Présentant à l’Assemblée générale de l’ONU, le Président de l’UNSCEAR Wolfgang Weiss a déclaré que les résultats préliminaires étaient qu’aucun effet du rayonnements sur la santé n’ont été observés au Japon parmi le public, les travailleurs ou les enfants autour de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Ceci est en accord avec les études déjà publiées par l’Organisation mondiale de la Santé et l’Université de Tokyo qui ont montré que les personnes près de la centrale accidentée ont reçu de si faibles doses de rayonnements qu’on peut ne s’attendre à aucun effet discernable sur la santé.

Six travailleurs ont reçu des doses totales de plus de 250 mSv durant leur travail en situation d’urgence, tandis que 170 ont reçu des doses supérieures à 100 mSv. Aucun d’entre eux n’ont présenté d’effets néfastes, a déclaré l’UNSCEAR, indiquant que le rayonnement n’a joué aucun rôle dans les décès de six travailleurs de Fukushima depuis l’accident : il s’agit d’une coïncidence.

Faible dose

A des doses faibles les incertitudes sont telles que l’UNSCEAR « ne recommande pas de multiplier les faibles doses sur un grand nombre d’individus pour estimer le nombre d’effets sanitaires radio-induits dans une population exposée à des doses croissantes à des niveaux équivalents ou inférieurs aux niveaux naturels.

Définition des risques liés aux rayonnements

L’UNSCEAR a dit qu’il n’était pas possible d’attribuer l’augmentation des effets sur la santé au sein des populations à l’exposition à long terme à des niveaux de rayonnement typiques des niveaux globaux de fond moyens (1-13 mSv par an). « C’est à cause des incertitudes liées à l’évaluation des risques à faibles doses, l’absence actuelle de biomarqueurs spécifiques pour les effets sur la santé des rayonnements et l’efficacité statistique insuffisante des études épidémiologiques ».
Pour les expositions inférieures à 100 mSv l’UNSCEAR a dit qu’un problème de santé dans une population pourrait être attribué à l’exposition au rayonnement à deux conditions : que l’apparition spontanée de ce problème soit faible alors que la radiosensibilité de ce problème est très élevée, et que le nombre de cas soit suffisamment élevé pour surmonter « les incertitudes inhérentes aux statistiques ».

Un exemple qui pourrait correspondre à la définition est le risque bien connu de cancer de la thyroïde d’un rejet accidentel d’iode-131. La substance est un isotope à vie courte produite par l’exploitation des réacteurs nucléaires et, s’il est libéré en quantité suffisante lors d’un accident, il pourrait être absorbé par la glande thyroïde des enfants et des jeunes et conduire à un cancer de la thyroïde. Ceci était le seul l’effet majeur sur la santé lié aux rayonnements de l’accident de Tchernobyl parmi la population.

L’an dernier, les autorités japonaises ont protégé les enfants de la préfecture de Fukushima de l’iode-131 en les évacuant avant que la radioactivité soit libérée, délivrant des pilules d’iode stable pour bloquer l’iode-131, et empêchant la nourriture et l’eau contenant des isotopes radioactif d’être consommées. En conséquence, la plus forte dose reçue par un enfant japonais semble avoir été de 35 mSv - ce chiffre figure aussi dans le rapport préliminaire de l’UNSCEAR. Ceci est « rassurant » en comparaison avec les doses reçues par les enfants après l’accident de Tchernobyl, a déclaré l’UNSCEAR, ainsi, "Ces bonnes nouvelles doivent être soulignées », a déclaré le délégué argentin à l’UNSCEAR, Gerardo Diaz Bertolome.

... »fin de l’apothéose onusienne...

 Merci de faire circuler une version sensiblement plus proche des événements en cours.

Le très Grand Crime

 Merci de souscrire pour la publication des Actes du forum indépendant sur la radioprotection.
http://independentwho.org/fr/2013/02/03/souscription-actes-forum/

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