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Projection du documentaire BLACK BLOCK

par zimo

Publie le mardi 28 mai 2013 par zimo - Open-Publishing
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Projection du documentaire BLACK BLOCK
Mardi 11 Juin 19h30 - Le Lieu Dit

« La plus grande suspension des droits de l’homme dans un pays occidental après la deuxième guerre mondiale » Amnesty International

Black Block revient sur la nuit de violence qui s’est déroulée à l’intérieur de l’école Diaz à Gênes lors du contre-sommet du G8 en 2001 ; des dizaines de manifestants, rassemblés dans l’école pour y passer la nuit, y ont été attaqués et massacrés par la police.

Ce documentaire recueille le témoignage de huit des victimes de la répression policière de cette nuit de juillet ; accusés de faire partie du BlackBlock, ils racontent ce qu’ils et elles y ont subi, et la façon dont cela a marqué leur rapport à l’action politique, au quotidien, à la vie.

« Beaucoup de choses se sont passées dans ma vie, et Gênés a été une expérience tellement forte, tellement intense, qui m’a profondément marqué, et s’il y a une chose que la police n’a pas réussi à obtenir, c’est de me faire tout lacher. On peut dire qu’ils ont obtenu le contraire. Je ne peux et ne veux me retirer et mener une vie bourgeoise. Je n’en ai aucune envie. » Muli

Mardi 11 Juin
19h00 - présentation
19h30 - projection de BlackBlock et débat avec des témoins

Le Lieu Dit
6, rue Sorbier 75020 Paris - contact ZfZ lelieudit.com
Entrée gratuite

Récolte fonds en soutien des manifestant arrêtes
http://www.supportolegale.org/supportolegale-chi-siamo-perche-siamo/supporto-legale-est-de-retour/

Trailer
http://www.youtube.com/watch?v=eaQ-A3b7ViA

Portfolio

Messages

  • "A l’instar de son compatriote Stefano Sollima (dont le film A.C.A.B. peut se voir comme la suite de Diaz) on sent chez Daniele Vicari la volonté de montrer que ces crimes commis par l’État Italien sont loin d’être propres à son pays. En effet, à Gênes comme ailleurs, le pouvoir n’hésite pas à utiliser des méthodes terroristes pour s’imposer, mais le cinéaste se laisse émouvoir par les faits. C’est peut-être là la limite de Diaz. Il ne cherche pas à réfléchir au pouvoir de l’image, ni à mettre en perspective l’utilisation de celle-ci par le pouvoir. "

    http://www.cinematraque.com/2013/06/diaz-un-crime-detat/