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"Je suis GREC"et "je suis COMMUNISTE"

par Alain Chancogne

Publie le lundi 26 janvier 2015 par Alain Chancogne - Open-Publishing
45 commentaires

Moi aussi,mais avec ce qui semblera ce matin un peu d’eau froide dans la salle bains de Bella .Ciao , je partage l’espoir des Grecs

J’écrivais dès les premières mesures de sauvagerie capitaliste(année2008)... contre la classe ouvrière, les retraités, les chômeurs de ce pays que le CAPITAL faisait de la GRèce un laboratoire pour expérimenter le dosage de violence de CLASSE lui permettant de momentanèment "regler" quelues contradictions , àce moment deCRISE SYSTEMIQUE..ou, le"communisme" frappe à la porte d’un type sociétal qui se doit d’imposerr la marche arrière vers la Barbarie pour sauver le logiciel du K

Pour voir ceuq’il pourrait EXPORTER vers les autres pays ..

Donc , tout ce qui est , dans les conditions d’absence d’une visée communiste -pour cause de responsabilité incombant notamment aux P.C -y compris un KKE post stalinien- tout ce qui est vécu par les MASSES comme le signe que , OUI, il est possible de se lever et de dire "STOP, Basta Ya, ça sufat comme ci, votre austérité, carrez vous là dans l’oignon", je le redis : Je prends

Et parce que la patience est une vertu révolutionnaire, à Athénes ou à Barcelone, je prèfère le" Si, si PUEDE" ..que ""C’est fatal, c’est mondial on y peut rien"

Ayant dit cela, comme je n’étais d’aucun bal populaire ni à la Bastille, ni à Bordeaux le soir du 10 mai 81, je crois que nous avons le droit et le devoir de révolutionnaires de débattre sans certitudes mais avec sang froid sur deux trois aspects

Les Grands soirs d’ivresse peuvent donner de terribles gueules de bois des petits matins quand le.."pragmatisme institutionnel"..saisit des leaders qui cédent à la pression du K..voire s’ils l’ont déjà négocié..
Passant du du laboratoire de ’Abbatoir, le K a besoin de laboratoires de la"vaseline"
(pardon)
Je ne suis ni économiste, ni politologue, ni philosophe

Je pose donc une question qui me semble de FOND et quelques coraollaires :

 Une "radicalité" d’affrontement avec le K est elle possible sans un mouvement social d’URGENCE pour que la C.O impose au patronat les mesures prévues par Syrisa (SMIC, pensions, emploi, etc)

 Cette situation qui serait inédite -depuis mai 68 en France- conduit elle à ceque Tsipras et son gouverment (d’alliances ?)puisse faire face à la contre attaque de l’adversaire de classe sans décreter , non pas du moratoire bidon ou du "susrsis" (en justice ça s’applique au condamné !) mais une fin de NON recevoir , ratifiée aujourd’hui par la démocratie dite représentative " de TOUT ce que les Gardiens du K ont décrété en ciblant les couches pp
opulaires ?

 Je pense certes àun NON REMBOURSEMENT dela DETTE- dont aucune partie n’est"légitime" n’endéplaise à certains économistes pourtant classés à "gô^che" ,
une décison d’APPROPRIATION sociale des monopoles capitalistes et des Banques , avec des modes d’autogestion à inventer

 Ce qui conduit forcèment à se pose une question ;cela es til possible sans que la GRECE déclare ne plus être tenue par les Traités dits"européens" , et propose un type de Coopérations d’intérêts réciproques, voire(mais je pose la question), l’impossibilité politique et technique d’un tel "choc de simplification" (pour reprendre un terme deshollandistes) sans que la question des "chaines"que constituent l’ ’Euro-et des pouvoirs non régulables d’une BCE non réformable, et des fondations bien avancéesd’un "machin" que j’apelle avec d’autre un Grand Empire des landers " ? ne soit posé dans les masses ?

Ce que je pose en questions peut appeler trois réponses , sans langue de bois

A/ "AC, tout cela c’est du jargon petit bourge ;
Car sans démocratie prolétarienne, et l’application stricto sensu des recttes depapa Marx et tonton Lénine,le reste n’est que "parlotes " social-démo.
"

B/ "Bon t’s payé pour casser l’ambiance ? Pour ça, merci ya Brunet et Langlais.BFM, C dans l’AIR, le PS , Merkel....recouche toi"

C/-Le silence de ceux qui ne voudront pas "se mouiller"

A chacun de voir.

S’il revient aux seuls travailleurs GRECS de "faire l’Histoire", un espace permettant à la bourgeoisie de mettre"au feu" le fer des relèves SYRISA, PODEMOS et autres

ne peut se cimbattre sans que, séparèment puis en concertation , la force communiste dispersé, déboussollée, divisé , ne pose sur la table l’analyse sans tabous, de cette"nouvelle donne"

C’est là une opinion dite"discutable".. mais si elle est discutée

Non pas à coups d’boules mais en se frottant les crânes

Salutations communistes d’un Vieux qui a appris (trop tard) que cent interrogations divergentes valent mieux que mille pseudo "accords unanimes"....

Alain Chancogne

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Messages

    • SVPat, merci de cette contribution au débat
       :)
      Même si Googlee me renvoie a plusieurs pages que je n’ai pas le temps de traiter..

      Mais si une image de MERKEL(sourcils froncés et menaçante il ya 15 jours ?.ou..."cool" hier en semblant êtretre "rassurée"-PAR QUI ?- sur le pragmatisme de Syrisa, ça tient lieu de débat ici..., c’est pas un peu court ?

      J’ ai connu aussi les fameux "ennemis de nos ennemis qui sont nos amis" et donc par exemple ce manichéisme des plus cons...qui a fait emboiterà certains frontistes de Gôôche et autres NPA.. le pas martial de Obama-Hollande pour soutenir ceux qui aujourd’hui ont transformé LYbie te Syrie en ..camps d’entrainement pour futurs barbares... permettant une union nationale" des plus utiles(on vote les loisMacron aujourd’hui, tu le savais ?)

      Donc j’espère que tu vas nous en dire plus, quitte à ce que ce ne soit pas l’édito de l’Huma ou l’euphorie d’un Laurent..
      .(Dont j’ai apprécié l’émotion sauce grecque.....alors que dans mon département , le p"c" selon les cantons , fait donner du "pas de d kollaboration avec les traitres socialistes".pour essayer de trouver un modus vivendi avec des PG arrogants
      ......ou ailleurs organise un binome avec l’ex secrétaire de la section PS )

      Non, non, Camarades, je suis pas hors sujet

      Les tambouilles de"combinaisons politicardes" c’est fait pour BAISER les masses !

      Je le sais, j’ai été corecordman du nombre de Programmes communs vendus, mËme si en 81 par masturbation ridicule et inutile, j’ai pensé un peu rachetER ma"faute" en pratIquant le "désistement révolutionnaire"..M’évitant devoter comme Chirac et Pasqua.

      (Comme si deux ave et un Pater permettaient à un pédophile de se sentit mieux dans sa peau de salopard en sortant de l’Eglise)

      Donc, SVPat, OUI...il ya des aspects contradictoires à "piocher" et si la seule réponse c’est des croquis de MERKEL...pauvre courant révolutionnaire français !

      Cordial salut communiste

  • Je envie de mettre les choses en claire a propos de ma position a propos de la victoire de Syriza...

    Ok c’est super pour les grecques et éventuellement pour les autres prolétaires d’Europe.... mais....

    Et oui je un grand MAIS... cet matin douche glacè... premier initiative de Alexis Tsipras, la négociation avec le leader d’un parti d’extrême droite pour former un gouvernement avec cet parti... et ça pour moi c’est déjà un signe pour le futur...

    Je ne veux pas être pessimiste et je m’accroche pour le moment, mais franchement je ne suis pas trop confient...

    • "...la négociation avec le leader d’un parti d’extrême droite...". C’est vrai ??? A vérifier quand même !!!
      Par contre, ce matin sur France Inter un député du PS (par ailleurs défendant la loi Macron), se félicitait de la victoire de Syriza : opportunisme ; récupération pour couper l’herbe sous les pieds à un éventuel Syriza à la françaises ; faux-culs qui a peur ??
      On ne sait pas mais on voit là à l’œuvre une nouvelle fois les capacités de retournement du PS qui a perdu depuis longtemps son ancrage dans la gauche populaire (même si le PCF électoraliste lui ramène à chaque élection ce qu’il en reste sous sa coupe, comme un bon toutou en mal de nonos d’élus).
      Les temps à venir vont être une fois de plus à des positions claires de classes pour les communistes et à l’affirmation que non, le PS n’est pas et n’a jamais été un parti de gauche et ce malgré ce qu’il affirme et veut faire croire.
      PS : ce même député a fait la différence entre Syriza qui, pour lui, est keynésien et le FdG qui est chaveziste.

    • Dès ce lundi matin très tôt, les grandes manœuvres ont donc commencé : à 11h30 (heure de Paris) le leader de Syriza rencontrera Panos Kammenos, président des Grecs indépendants, qui n’obtient que 4,7% des voix mais treize sièges, et pourrait collaborer avec Syriza en participant au gouvernement.

      A priori, Syriza et les Grecs indépendants n’ont pas grand-chose en commun. Le parti de Kammenos, né d’une scission au sein du parti conservateur Nouvelle Démocratie, est considéré plus à droite encore, et surtout très nationaliste. Reste que dans le contexte actuel, Syriza et les Grecs indépendants partagent un même rejet de la politique d’austérité imposé par Bruxelles et le FMI. Et les Grecs indépendants qui avaient 33 députés au sein du précédent Parlement, sont suffisamment fragilisés pour accepter le deal.

      http://www.liberation.fr/monde/2015/01/26/en-grece-syriza-a-l-heure-des-negociations_1188855

      C’est comme si Melenchon entame des négociations avec Nicolas Dupont-Aignan.... ou encore mieux avec Christine Boutin, pour pouvoir gouverner... donc pas d’extrême droite bon ok... de droite a l’extrême juste avant le FN.....

    • Voici ce qu’écrit l’ami Stathis Kouvelakis ce matin (prof, mb du bureau pol de Syriza) - cela me semble très intéressant (et fait preuve de beaucoup d’honnêteté).


      "Lendemain(s) de victoire
      La victoire de Syriza est un espoir et une opportunité immense pour la gauche radicale et le mouvement ouvrier européen. On peut le dire aussi de façon inverse, un échec aurait des conséquences incalculables.
      Quelques rapides commentaires sur les premières difficultés et problèmes.
      Tout d’abord, Syriza a frôlé mais en fin de compte échoué à obtenir la majorité absolue. Son résultat final (36,3%) s’est situé dans la fourchette basse de ce qu’annonçaient les sondages sortie des urnes, celui de la Nouvelle Démocratie dans la fourchette haute. D’où un certain retournement d’ambiance dans le local de campagne et devant les Propiléa hier. Par ailleurs, pour avoir vécu beaucoup de soirées électorales dans le centre ville d’Athènes, je dois dire que celle-ci a mobilisé assez peu de monde comparée aux soirs de victoire du Pasok dans les années 1980-1990.
      Même si les 8,5% d’écart avec la ND sont un résultat important, il faut rendre compte des raisons de cette dynamique de moindre ampleur qu’espérée. Les résultats laissent voire une tendance frappante : si, au niveau national, Syriza progresse de près de 10 points par rapport à juin 2012, ou aux européennes, sa progression est nettement moindre dans les grandes centres urbains (avant tout Athènes et Thessalonique), de l’ordre de six points. Ainsi, alors qu’en juin 2012, mis à part le département de Xanthi (où il avait bénéficié de l’appui massif de la minorité turcophone), son meilleur résultat était dans la très ouvrière et emblématique pour la "gauche rouge" 2e circonscription du Pirée, cette fois ce sont sept départements (dont d’anciens bastions du Pasok, notamment en Crète et dans le nord du Péloponèse) qui surclassent la ceinture industrielle du Pirée (où il passe quand même de 37 à 42%).
      La poussée de Syriza s’est donc avant tout effectuée dans les zones rurales et semi-urbaines ainsi que dans les moyennes villes de province, dans une Grèce plus conservatrice et "légitimiste" dans son comportement politique. Son influence est maintenant plus homogène dans le pays, il apparaît comme un "parti de gouvernement" légitime, mais il lui a manqué cette dynamique qui aurait creusé l’écart dans les grandes villes et permis d’arracher les sièges manquant dans les méga-circonscriptions d’Athènes et de Thessalonique. Son profil électoral est désormais celui d’un parti plus "transclasse", sans les "aspérités" de 2012, moins nettement ancré dans les salariat des grandes centres urbains, même si son influence se situe à un très haut niveau et qu’il y obtient la plus grande part des ses voix.
      Ce fait est sans doute à mettre en parallèle avec le fait que le KKE enregistre une progression, certes limitée (+1% par rapport à juin 2012), ainsi qu’Antarsya (qui passe de 0,33 à 0,64%), progression qui concerne essentiellement les grands centres urbains. Syriza a donc bien subi des pertes "sur sa gauche", pour une modeste part, et, surtout, n’a pas su mobiliser d’importantes réserves parmi les abstentionnistes (le taux de participation national reste modeste, de l’ordre de 64%).
      Le nouveau gouvernement, dont la composition n’est pas connue à l’heure om j’écris ces lignes, se trouvera confronté à des difficultés proprement hallucinantes. Les caisses sont vides, plus que prévu, les recettes de l’Etat s’effondrent. Il apparaitra très vite que le financement prévu du "programme de Thessalonique" reposaient sur des estimations largement surévaluées, ou fausses, dont le but était de laisser croire qu’il était réalisable en réorientant (pour moitié) des crédits européens (qui sont fléchés, pour une part déjà attribués et dont le versement dépend de toute façon du bon vouloir de l’UE), et pour l’autre moitié par une meilleure collecte de recettes fiscales, sans réforme de la fiscalité et sans avoir recours à des déficits. L’orientation stratégique du gouvernement par rapport à l’UE reste également floue. Tsipras hier soir a voulu rassuré l’UE et les marchés, il a parlé de "dialogue sincère" et de "solution mutuellement avantageuse". Le mot "dette" n’a pas été prononcé.
      J’ai entendu hier avec sidération des camarades me faire l’éloge de Draghi, en le présentant comme un grand adversaire de Merkel et de Schauble et quasiment comme un allié de Syriza. Aujourd’hui le seul dirigeant européen dont le visage souriant orne la "une" du site officiel du parti left.gr est celui de M. Schulz, qui se propose de rencontrer Tsipras immédiatement. Il semble que des cercles du parti soient arriver à se persuader eux-mêmes de la validité de slogans de campagne du type l’ "Europe change", au sens de l’ "UE est prête à un compromis honorable avec nous". Mais la perspective qui se dessine de ce côté est, dans le meilleur des cas, celle de contourner le Troïka pour "négocier" (ah, ce mot "magique" !!) directement avec les institutions de l’UE une version adoucie à la marge des Mémorandums.
      Last but not least, M. Kammenos et son parti de droite souverainiste ANEL, qui sont sont certes un moindre mal comparé à des formations de type Potami, dont l’objectif affiché était de forcer Syriza de se mouvoir dans le strict cadre fixé par l’UE et les mémorandums. Néanmoins c’est un mal. Sa participation au gouvernement, fut-ce avec un seul ministère, signe la fin symbolique de l’idée du gouvernement de la "gauche anti-austérité". Par ailleurs c’est un parti de droite, soucieux notamment de protéger le "noyau dur" de l’ appareil d’Etat (il faudra suivre avec attention le portefeuille qui lui sera attribué). Nul hasard si ses premières demandes étaient le ministère de la défense ou de l’ordre public. Il semble néanamoins qu’il ne les obtienne pas.
      La marge de manoeuvre est donc étroite mais les ambigüités n’ont qu’un temps. La société reste pour l’instant passive, mais les attentes sont très concrètes et très fortes. Une tâche redoutable attend les forces qui sont conscientes des dangers et déterminées à défendre les points clé du programme de rupture avec l’austérité qui est celui de Syriza. Plus que jamais il deviendra clair qu’entre la confrontation et le reniement l’espace est proprement inexistant.
      Le moment de vérité est imminent.

      Athènes, le 26 janvier 2015"


      Il faut donc espérer que le mouvement social, le "peuple de gauche" (étant entendu qu’en Grèce "gauche" désigne tout ce qui est à gauche du PASOK depuis toujours, un peu comme en Italie finalement) se réveille et se LEVE VITE pour se faire "payer de ses promesses" avant que l’UE se fasse payer des siennes :( :(
      Pas de révolution, ni même "seulement" de révolte ou de transformation sociale sans mouvement fort et déterminé, ça on le sait.

    • Le KKE bien qu’ayant perdu quelques points en garde 5,3% et dispose de 15 sièges..........

    • je me retrouve dans ce qu’écrit Kouvélakis.
      Juste une question, si quelqu’un peut y répondre :
      y a t il eu des pourparlers avec le KKE pour former un gouvernement ?
      et si oui pourquoi un echec.
      Cette alliance avec les grecs indépendants d’un coté m’afflige et c ’est une premiére mesure totalement négative,d’un autre cela fait référence à l’alliance avec des forces petites bourgeoises que certains défendent comme compromis nécéssaire.
      J’ai dit qu’en France ce type de compromis vu la composition social de notre société m’apparait totalement inutile,mais qu’en est il en gréce ?
      jen me suis coucheé vers 2h ce matin avec une grande joie,et ce matin douche froide et grande inquiétude,
      Notre aide sera de developper CHEZ NOUS notre combat de classe et de luttes contre notre capital
      Ici et a Athénes c ’est le mouvement ouvrier par ses luttes et son irruption complete et durable dans la vie politique qui sera la solution.

    • A ce que je sais, le KKE refuse toute alliance.

    • (...) La marge de manœuvre est donc étroite mais les ambiguïtés n’ont qu’un temps. La société reste pour l’instant passive, mais les attentes sont très concrètes et très fortes. Une tâche redoutable attend les forces qui sont conscientes des dangers et déterminées à défendre les points clé du programme de rupture avec l’austérité qui est celui de Syriza. Plus que jamais il deviendra clair qu’entre la confrontation et le reniement l’espace est proprement inexistant.
      Le moment de vérité (and last but not least) est imminent. (...)

      sergio : il s’agit bien d’une victoire du peuple grec, (malgré un taux d’abstention haut (46%) et endémique aux "démocraties représentatives"), dont on peut se réjouir, il est vrai, mais l’intervention (de Stathis Kouvelakis reproduite ci-dessous), nous invite à la plus grande prudence, les forces néolibérales n’ont certainement pas dit leur dernier mot... loin de là ! Il faut s’attendre de leur part, à une réaction virulente (où tout est possible... y compris le pire !)

    • Le KKE porte une très lourde responsabilité a propos du refus de toute alliance...

  • Pour pousser plus loin l’ "avantage" que, je pense aujourd’hui, représente le résultat du vote en Grèce, il me semble qu’il ne s’agit ni d’exprimer notre solidarité ni de fantasmer sur des résultats électoraux (de qui ?) en France qui seraient tirés vers le haut par cette "victoire européenne".

    Il s’agit plutôt de mener, de front, la bataille pour le développement des luttes UNIES des travailleurs Français, à la hauteur si possible... de celles des Grecs... et celle du rassemblement actif des divers mouvements communistes actuellement complètement azimutés et donc, INEFFICACES, à l’égard des luttes.

    Manifestement, c’est pas à l’ordre du jour, y compris, si j’en crois les querelles plus agressives que politiques que je lis de plus en plus, sur BC !

    Dommage !

    • On est bien d’accord Claude. LA SEULE réplique admissible de notre part aux élections grecques, ce sont des luttes de classe de terrain ici en France.

      Quand on voit l’inertie ahurissante de la CGT et du FDG, du NPA etc sur le sujet de la loi MAcron, on est en droit de se dire qu’on n’a pas le cul tiré des ronces.
      Combien de grèves et de manifestations ce jour et où contre le projet libéral dévastateur du gouvernement ??

      C’est TRES GRAVE !

      Bien plus grave que de savoir si une formation déjà vérolée par des courants socia-démocrates qui laisseront peu d’espace à l’aile gauche va trahir ou pas.

      LA seule question : en Grèce comme ici, pour des raisons différentes, que va répondre le mouvement social et syndical à TOUT Ce qui se prépare ? Et en ITALIE ?

    • Ils sont infernaux tous, ici, FDG, PS, VERTS etc. Tous en train d’essayer la couverture grecque déjà déchirée à soi , de parler alliance de partis par le haut, magouilles, cuisine ,tactiques politiciennes.....mais absolument impossible d’envisager un mouvement social. BOUFFONS.

    • Claude Deloume hahahaha alors toi...

      Bien sur tu ne explique pas ni tu réponde a une question légitime pour ta vision de l’unité donc on va faire la campagne ici en France pour que notre objectif soit un alliance avec le Parti Chrétien-Démocrate ou Debout la République ????

      Je remarque deux choses Syriza a fait cet choix qui n’est en rient en rupture avec la classique tradition des politiciens des manœuvres de la caste souverainiste, on attend la suite mais la vrais solution ne peux arriver que de la base, de nous et rient d’autre, déjà ici en France on remarque que la soit disant "gauche de la gauche" n’est pas aussi différente avec leur seule "solution" de tous les problèmes dans cet monde .... "la sixième république" pfff... bonjours quel révolution... pfff

    • En même temps, combien dans les rues aujourd’hui contre la Loi Marcron ?
      8.000 (maxi :) Samedi à Marseille !
      Et "en haut", ils peuvent appuyer sur le bouton tant qu’ils veulent, si le Peuple ne suis pas ca sert à rien !!!!!
      Alors, regardons nous nous même !!!!!!

    • Voici quelques mois Mélenchon refusait d’élire Tsipras à la présidence du GUE au parlement européen.....

    • SVPAT tu te fous de la gueule du monde là. On sait bien qu’il s(’agit pas d’appuyer sur un bouton mais que OUI ET OUI ET RE OUI les Luttes ça s’initie, le terrain favorable pour qu’elels se développent ça se prépare, notamment par une campagne d’information assez à l’avance, des pétitions etc etc.
      ICI

      RIEN alors en effet ça risque pas de démarrer

      Je vois moi que 90 % des travailleurs y compris des syndiqués de tous bords sont même pas AU COURANT de ce qui se passe dans ce putain de pays

      alors s’il te plait remballe nous ta ritournelle spontanéiste de mauvaise foi

    • " FOU QUI SOUS LA GRELE FAIT LE DELICAT" ...et il ya un moment que le peuple grec est sous la grèle , je comprends donc la joie des grecs et l’espoir que cette victoire fait naitre chez eux .( rappelons nous 1981)

      restons lucides , SZIRIZA a choisi de rester dans l ’europe et de ne pas sortir de la zone euro , ce qui implique le paiment de la dette et laisse seulement la possibilté de la renégocier , ce qui d ’entrée affaibllt et limite la radicalité ....

      La dette ne sera renégociée que si SZIRIZA arrive à mettre les masses dans le jeu , les négociations avec MERKEL/ HOLLANDE et la troika n’aboutiront qu’ à obtenir des miettes et donc à rendre impossible l’amélioration des conditions de vie et de travail de la population . Il faut être clair SZIRIZA et son leader n ’ont pas promis le socialisme , leur objectif est de rendre la dette moins lourde et donc de faire baisser l’austérité , il s’agit donc bien d une politique sociale démocrate , or toutes les politiques sociales démocrates ( ESPAGNE PORTUGAL ANGLETERRE ) ont échoué ...

      J’ espère mais sans me faire d’illusion que face aux réalités SZIRIZA fera preuve d une véritable radicalité et se tournera vers le peuple grecque plutot que de s engluer dans des négociations avec les institutions européenes qui n’ auront qu un seul but faire échec à SZIRIZA pour démonter comme le fait HOLLANDE que gauche et droite c est la même chose et ouvrir la porte au fascisme.

      il s ’agit de premières réflexions à chaud , j attends de voir avec qui SZIRIZA va s allier pour gouverner et de connaitre les premières mesures du gouvernement

    • Il y a au moins Ritournelle et aussi Luttes car vois-tu, je ne me borne pas à juger sans connaitre !
      Fraternellement

    • Cercle Ouvrier du Bassin Minier Ouest du Pas-de-Calais

      n°171/26/01/15

      comibase@gmail.com - http://joukov.eklablog.com/

      « Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué » dit le vieil adage.

      Tout d’abord, nous tenons à féliciter nos camarades du KKE qui contre vents et marées, ont maintenu une position ferme sur la sortie de la Grèce de l’impérialisme politico-économique européen.

      Même si nous sommes contre la chasse des ours… le score de Syriza est sans appel et historique, mais ce parti ne pourra obtenir la majorité absolue de gauche au parlement grec qu’avec les députés communistes du KKE qui a obtenu 5.4% des voix. Le Parti Communiste grec ne s’est jamais caché, il est clairement pour la sortie de la Grèce de l’Europe, ce que Syriza semble refuser actuellement.

      Il reste donc pour Syriza et son pétillant Aléxis Tsípras, d’autres alliances possibles pour former un gouvernement et une majorité, celle avec Po Topami, le centre pro-européen mais aussi avec la droite souverainiste issue de l’extrême-droite… (Imaginons Mélenchon avec Bayrou ou/et Dupont-Aignan)

      C’est donc à une partie de poker menteur politicien à laquelle nous allons désormais assister, et le peuple grec si euphorique hier soir, risque rapidement de tomber dans le sentiment d’impuissance et la désillusion.

      L’Europe et ses technocrates semblent ignorer une fois de plus le résultat d’une élection démocratique dans un des pays qui la compose politiquement et économiquement, même si François Hollande a tactiquement et rapidement félicité la victoire d’Aléxis Tsípras… comme d’ailleurs tous les « faux-culs » du PS.

      Quant au monde financier qui a un coffre à la place du cerveau et de l’argent liquide dans ses veines, il a déjà averti dans un communiqué que la BCE ne pourra approuver une réduction de la dette grecque. Un membre du Directoire, le français Benoît Coeuré (un nom prédestiné) a déclaré : «  Il n’appartient pas à la BCE de décider si la Grèce a besoin d’un allègement de la dette. Mais il est absolument clair que nous ne pouvons pas être d’accord avec l’allègement d’une dette qui comprend des obligations grecques détenues par la BCE, cette impossibilité tient à des raisons légales… » Voilà un bon technocrate qui sait mettre de l’huile sur le feu pour éteindre un incendie et qui ne semble pas mesurer la bêtise de son propos alors que près de 60% des grecs ont voté contre cette dette fabriquée.

      Les grecs ont massivement voté contre l’austérité, mais les français en proie à l’austérité grandissante mais moins brutale, voteront ils comme les grecs lors des prochaines échéances électorales en mars et décembre ?
      Beaucoup de nos politiciens sont dans la position du chasseur d’ours, ils sont persuadés qu’ils vont revenir avec une peau et ils font déjà des plans sur la comète… c’est-à-dire loin des réalités de classe et de masses.

      A Gauche, Jean-Luc Mélenchon et Pierre Laurent sont persuadés d’un Grand Soir imminent et d’une possible Europe Sociale, si illusoire, Besancenot et Duflot profitent de l’opportunisme qu’offre cette victoire, à droite de la droite, MLP et Dupont-Aignan y voient un signe, à droite Guaino est le plus lucide quand il déclare : « L’Europe est en danger parce qu’elle s’est mise elle-même en danger »

      On peut se persuader d’être révolutionnaires, d’être anticapitalistes, d’être anti-impérialistes et d’être proches des revendications populaires pour plus de justice sociale, mais comment l’être quand c’est la politique européenne et sa monnaie qui créent l’austérité, le chômage et la misère grandissante, la fracture…et qu’on refuse d’en sortir en se persuadant qu’il est possible de la faire changer ? Le grand test sera le projet de Loi présenté par le ministre de l’économie Emmanuel Macron, un projet Hartz bis pour répondre aux exigences européennes, Benoît Ceouré l’a rappelé « les gouvernements doivent continuer les efforts et les réformes »

      La victoire historique de Syriza en Grèce ne va pas modifier la pensée des grands argentiers du monde et des dirigeants européens, ils vont continuer la même politique, avec peut-être mais seulement peut-être, un peu plus de souplesse et de « pommade » apaisante, c’est la manœuvre de Draghi des derniers jours pour sauver son euro maltraité par le dollar. Et s’il faut aller plus loin, le capitalisme (à 300%) est capable de sortir à tout instant son bras armé qu’est le fascisme en s’appuyant pour l’exemple, sur une stratégie du choc et de la terreur dans un des pays de cette Europe impérialiste. Si l’Europe a été capable de soutenir les fascistes en Ukraine où un gouvernement refusait l’intégration européenne, elle en est capable ailleurs, comme en Espagne.

      Le 30 mai, soyons nombreux à Paris pour exiger la sortie de l’Europe, de l’Euro et de l’Otan.

    • mais comment l’être quand c’est la politique européenne et sa monnaie qui créent l’austérité, le chômage et la misère grandissante, la fracture…et qu’on refuse d’en sortir en se persuadant qu’il est possible de la faire changer

      Désolé ’et cela va me conduire à me désolidariser de cette initiative du 3O mai(c’est un autre sujet
      )
      Ecrire ce que tu dis laisserait supposer que c’est lacréation de cet Euro et la "superstructure " U.E "qui sont la CAUSE etc etc

      Désolé mais cette exolication- " sœur jumelle" de celle des "souverainistes" de tous bords, (y compris les alliés gouvernementaux de Syrisa) évite de poser la question de "quelschangements à construire"

      C’ est une négation de la Lutte des Classes..

      Moi, vois tu, je n’ai combattu cette" EUROPE" et ses divers attributs "monnaie incluse" que parcequ ’elle est un OUTIL au service du K..!

      Mais m’expliquer que me faire payer ma retraite en Francs , savoir que le SMIC et les"minimas sociaux" permettraient de (survivre) un peu mieux si l’EXPLOITATION CAPITALISTE était seulement décidée à Paris et pas coordonnée à BRUXELLES..ça me fait penser à ce pauvre Aznavour qui n’a jamais du se balader dans une favella

      "IL me semble que la MISERE

      Serait moins pénible au soleil"

      Je le dis avec franchise à des groupes comme le PRCF et autres petites sous marques qui font du copier coller des slogans FN en y ajoutant une "sortie du Capitalisme" qui vient in fine pour se differencier des "patriotards" ,

      Le peuple GREC ,sa classe ouvrière ont besoin de SOLIDARITE INTERNATIONALISTE de CLASSE !


       Ni d ’enfumage "pragmatique" avec alliance SYRISA et les Dupont Aigna d’Athènes

       NI de l’amour sans nuances de Partis"communistes" pas plus porteurs de COMMUNISME que tel ou tel PCFo u..telle orga russe , post-stalinienne.., voire grecque ....

       Ni de tirs violents contre"BRUXELLES"..ce qui arrange vachement, à PARIS et ATHENES, les salauds qui prétextent que c’est l’UE qui imposent le malheur du continent !!

      Cette UE coordonne , mais c’est le KAPITAL qui est à terrasser !

      Dit sans agressivité mais fermement car on est au cœur d’un débat de FOND
      {{}}

    • Voilà c’est fait ... La gauche de la gauche est contente ..Mais on oublie que 36% ne font pas une majorité et que Syriza est déjà dans la compromission avec la droite en cherchant un accord avec Bruxelles sur la dette alors qu’il faut mobiliser le peuple grec pour qu’il autogére son pays . Le taux d’abstention est important (35%) et Tsipras avec son look de jeune premier grec ne sera pas jugé sur son charisme mais sur les résultats tangibles et concrets .
      La bourgeoisie grecque va tout faire pour mettre les bâtons dans les roues et provoquer à terme un conflit avec ce gouvernement Syriza s’il ne passe pas sous ses fourches caudines du profit . La classe ouvrière et la jeunesse doivent se mobiliser pour investir tout le champ économique et social afin de gouverner eux-même leur pays sans attendre des décisions gouvernementales de compromis avec l’UE sur l’austérité qu’ils subissent . L’intervention populaire reste la seule possibilité de réussite de ce choix électoral de Dimanche .

      La lutte pour supprimer le capitalisme reste la seule solution solide pour asseoir des "lendemains qui chantent" qui ne soient pas un échec désastreux pour les révolutionnaires . Déjà les vautours se déploient au dessus de la Grèce pour empêcher les corps maigres des travailleurs grecs de se remuscler avec de meilleurs salaires et retraites et une santé de fer .

      P.S. Hier j’ai fait un article mais Bellaciao l’a supprimé à ce que je vois aujourd’hui . Peut-être parce que je soulignai que l’expérience Allende-chili pouvait se renouveller si on ne prenait pas les dispositions nécessaires pour que la Grèce nouvelle réussisse . Comme je suis souvent mal vu sur ce site par rapport à ce que je dis je ne m’en étonne pas ...C’est la loi du genre !!!!!

      Bernard SARTON

    • ""Moi, vois tu, je n’ai combattu cette" EUROPE" et ses divers attributs "monnaie incluse" que parcequ ’elle est un OUTIL au service du K.. !""


      voila c ’est ça ! tout est dit !
      la monnaie et toute autre mesure et moyen de paiement,enfin tout ce qu’est une monnaie n ’est q’une TECHNIQUE,et aucune technique,ne posséde en elle même un caractére révolutionnaire.
      C ’est de l’usage que vient la qualité révolutionnaire.
      Car enfin en quoi le Franc hier ,ou la livre sterling ou le yen aujourd’hui sont un bouclier contre les politiques d’austérité ?
      je rappelle que même les nationalisations peuvent être au service du capital !!
      va t on refuser de nationnaliser pour autant ?
      non bien sûr !
      Mais d’une autre façon avec un autre contenu de classe.
      Si syriza trouve que garder l’euro est positif pour son programme et pour impliquer les masses,pourquoi s’en priver,et si il préfére sortir de l’euro pour les memes raison,pourquoi aussi s’en priver.

      alors cette fixette sur l’euro c ’est comme une sorte de fétichisme de la monnaie,présentée comme mécanisme quasi indépendent des luttes de classes.

    • un peu d’humour de notreBernard !!

      P.S. Hier j’ai fait un article mais Bellaciao l’a supprimé à ce que je vois aujourd’hui . Peut-être parce que je soulignai que l’expérience Allende-chili pouvait se renouveller si on ne prenait pas les dispositions nécessaires pour que la Grèce nouvelle réussisse . Comme je suis souvent mal vu sur ce site par rapport à ce que je dis je ne m’en étonne pas ...C’est la loi du genre !!!!!

      Bernard SARTON

      et oui, bientôt tes textes communistes (t’as du remplir B.C autant sinon plus que moi, non ?) va falloir que tu demandes à ta section Peuceufeu de les diffuser en tracts, à la "MARSEILLAISE" , de les publier ainsi quà l’Huma et à REGARDS..

      Le seul emmerde c’est pour le casse tête du prolo d’Aubagne !

      Entre ta prose enfin non censurée et ..les positions officielles de TON parti et de ton Foutoir De Guignols, je plains le copain !

      Comme toi et moi il lui restera ROUGE MIDI.

      www.rougemidi.org/
      Merci de ce moment de détente..

    • Moment de détente ou pas ...Tu exagères sur mes positions communistes . Tu sais très bien que je suis contre la direction réformiste actuelle du PCF et que je soutiens plus les positions du PRCF . Sortie de l’Europe et de l’euro , abolition de l’Otan et de tous les accords avec le monde anglo-saxon-CIA . CGT à la FSM et non pas à la CSL etc ... Les camarades de plus en plus nombreux , comme à la CGT , veulent une ligne véritablement de Lutte de classe sans être forcément dogmatique avec une bourgeoisie qui mène une lutte de classe très dure et intransigeante depuis la chute du mur de Berlin . Le KKE grec est sur ces positions ainsi que bien d’autres Partis communistes de la planète comme au Portugal . Le PCF n’appartient pas à Laurent and co mais à tous ses militants par leurs cotisations actuelles et même anciennes par ceux qui en sont sortis momentanément depuis quelques années comme Alain Chancogne . Ce parti peut évoluer comme à Aubagne et revenir à ses fondamentaux marxistes . La situation politique actuelle d’une lutte de classe violente et dramatique à l’échelle mondiale prouve la nécessité d’un mouvement révolutionnaire intraitable avec ses ennemis comme nous le voyons dans le Kurdistan et même en Ukraine .

      Fidel Castro a raison de dire qu’il faut se méfier du capitalisme américain qui veut faire dévier Cuba de son orientation socialiste . L’alliance , par exemple , avec les "frondeurs" du PS est un leurre et un cul de sac . Le FDG doit s’ouvrir aux vrais révolutionnaires avec un PCF renforcé idéologiquement sans aucune compromission avec le PS bourgeois . Hollande-Vals-Macron ne sont que des pantins consentants au service de la bourgeoisie . Tout le monde le constate .

      Cela étant dit je suis fier de mes textes dits communistes que Bellaciao a accepté de publier et qui ont permis un débat de fond avec d’autres sur la stratégie d’union et d’action de tous les révolutionnaires . Ce site mérite le respect pour sa déontologie révolutionnaire et son pluralisme . Le FDG peut évoluer et ne pas rester un conglomérat d’organisations plus ou moins anticapitalistes si le peuple et ses travailleurs s’en emparent pour virer l’UMP-PS du pouvoir . La Grèce montre la voie avec ses contradictions , mais c’est quand même un signe que la bourgeoisie , malgré ses manœuvres frauduleuses et violentes, n’a pas toujours l’initiative et qu’elle peut s’affaiblir si nous sommes coriaces dans l’action pour la supprimer au plus vite pour le bien de tous .

      Bernard SARTON

    • Le PCF n’appartient pas à Laurent and co mais à tous ses militants par leurs cotisations actuelles et même anciennes par ceux qui en sont sortis momentanément depuis quelques années comme Alain Chancogne

      Non Non, Bernard, t’es mal informé !

       :)

      Pss"momentanèment"

      Je me suis cassé justement pour ne pas atteindre ton degré de schyzomarxime

      Pondre du LENINE sur BC et nourrir du Laurent dans ta"vrai vie"

      . Ce parti peut évoluer comme à Aubagne et revenir à ses fondamentaux marxistes

       ???
      Tu dois avoir mal construit ta phrase..

      A AUBAGNE, TON parti n’est qu’une petite annexe du PS des Bouches du Rhône !!

      http://www.pcf-aubagne.org/

      Le comité exécutif de la section souhaite aux camarades une bonne et heureuse année 2015 ainsi qu’à leur famille.

      Dans le cadre des élections départementales des 22 et 29 mars 2015, les communistes doivent désigner leurs candidats pour ce scrutin. Pour rappel, le conseiller général sortant du canton d’Aubagne Ouest est notre camarade Daniel FONTAINE.

      Après redécoupage, la nouvelle entité se compose désormais d’Aubagne, Roquevaire et La Penne sur Huveaune.

      Le choix des candidats relève d’une réflexion départementale basée sur le refus des mesures d’austérité du gouvernement et de la réforme territoriale.

      La situation particulière d’Aubagne avec une droite dure et un Front national à l’affût nous impose une campagne dynamique et rassembleuse.

      Le comité de section vous invite donc à participer à l’assemblée générale qui se déroulera :

      Mercredi 28 janvier à 18 h 30 Cercle de l’Harmonie à Aubagne

      FONTAINE !!
      L’ex maire P."c" allié au PS et au MODEM , ce qui a fait des encartés en 2014...les "idiots utiles" " de la Droite..

      Ta section qui s’empresse de reproduire cet Appel des plus NULS , après les attentats récents..?

      Appel à l’unité nationale de toutes les forces républicaines face à la barbarie qui vient de frapper l’équipe de Charlie-Hebdo.

      Le carnage barbare dont a été victime la rédaction de Charlie-hebdo nous plonge dans l’horreur et la peine et appelle une réponse nationale de grande ampleur.

      Pierre Laurent et la direction nationale du PCF appellent à ce que partout dans le pays s’exprime l’unité nationale de toutes les forces républicaines face à la barbarie.

      .

      L’heure est aujourd’hui à rassembler autour des valeurs républicaines le maximum de forces, de citoyennes et de citoyens. Par millions, exprimons partout dans le pays notre détermination à faire vivre les valeurs de Liberté, d’Egalité et de Fraternité.

      Les militants communistes, les élus communistes et républicains, seront de toutes les initiatives qui, dans les prochains jours, permettront le rassemblement de la nation dans un esprit de grande confiance en notre peuple réuni sur l’essentiel, sans distinction des pensées philosophiques et politiques, de convictions religieuses.

      Alors tu m’excuseras, Camarade..

      Quand ce poison "d’unité nationale" permet que les lois Macron ne soient pas l’essentiel des préoccupations de smasses,

      qu’un adhérent du Peuceufeu, aussi sincère et sympa soit il, ce qui est ton cas, vienne , dans un premier temps accuser B.C de censure.,

      ....puis dans un second , s’empresse de relayer les positions du PRCF -groupe dirigé par des "patriotes" qui caricaturent la perpective COMMUNISTE,
      .... et nous livre sa niéme tirade du "classe contre classe", ça me fait chier, encore plus ce mois ci que l’an dernier..

      Pour ceux qui n’auraienr pas en mémoire un sketch que je t’avais ironiquement mis en ligne il y a quelques mois

      .Je le replace

      https://www.youtube.com/watch?v=0U0rQqKGyQQ

      Tu es un Bourvil de REVOLUTION, Bernard..!!

       :)

      Ne m’en veux pas trop de ma franchise - y compris tu peux m’envoyer me faire voir chez les Grecs ", ce qui sera la Syrisa sur un gâteux de mon genre..mais (référence au sketch.....
      ..... TU NOUS SAOULES

      Dit sans méchanceté..

    • Bernard arrêt de nous prendre pour de cons !!!!

      Je te repropose la même question tu a publié des liens vers des sites rouge- brunes donc quoi on doit penser ??? Viens pas a nous faire la victime si tu est viré de notre site... et reste avec tes pots du PRCF ou encore mieux du URCF... est que tu a pas compris que on aime pas ces gens ?????

    • Tu dois te tromper ...Je ne connais pas les sites rouges-brunes et si certaines personnes ont utilisé mon nom pour affirmer des conneries je ne suis pas au courant car je ne parcours pas ces sites fascistes . Quand au PRCF je suis proche de ce qu’ils disent sur l’Euro-Otan et la lutte des classes sans être adhérent . L’URCF je ne connais pas .
      Roberto , tu es communiste tendance NPA ou SIEL ??? Moi je suis tendance marxiste et Robespierriste . Etre au PCF ce n’est pas une tare au contraire . Chancogne est en rogne contre Laurent and co ..Mais qu’y faire ? Aubagne n’a nullement validé la candidature de Fontaine au contraire . Le secrètaire de section a simplement indiqué qu’il était sortant ... Toute ces affirmations sur mon compte pour me déstabiliser dans mes convictions cela ne sert à rien car je ne suis qu’un petit rouage militant dans la grande troupe de révolutionnaires qui s’expriment partout en France et dans le monde . Roberto je peux très bien cesser d’écrire sur ce site que tu diriges avec d’autres et continuer à vous lire avec plaisir sans m’offusquer de vos affirmations politiques qui sont en débat dans tout le corps militant .

      Amitiés quand même ... Bernard SARTON

    • être exploité en euros ou en francs , c est évidemment la même exploitation , un changement de monnaie ne remet pas en cause le capitalisme , toujours d’accord, par contre sortir de l euro implique obligatoirement sortir de l europe , il ne s agit donc pas seulement d une mesure "technique" mais d une décision politique qui certes ne changerait pas le système mais foutrait quand même un sacré bordel dans l UE à la BCE et chez le cheval de troie des USA , l ALLEMAGNE ;qui impose l austérité à toute l europe ...

      De plus qu ’est ce qui nous obligerait à rembourser en partie ou en totalité la dette à la BCE et autres pays européens si nous sommes plus dans l europe , car en y restant je ne vois pas trop comment y arriver , alors que il s agit d une mesure essentielle ; sauf erreur de ma part , je n ai jamais entendu une explication crédible sur comment ne pas payer la dette en restant dans l europe et dans la zone euros .
      A ce jour je n ai pas de position arrêtée sur " sortir ou non de l euros et de l europe " mais je note toutefois avec un certain agacement que les partisans du statu quo utilisent trop à mon gré sans rien démontrer , l ’argument que cela n aura aucune incidence dans la lutte contre le capitalisme , or je constate que les tenants du système eux pensent le contraire .

      JE SUIS DONC EN ATTENTE D AUTRES ARGUMENTS POUR ME PRONONCER , peut-être que ce qui va se passer en GRECE va nous éclairer

    • Roberto, je réponds tardivement à ton message parce que j’ai eu des problèmes de connexion...

      Je ne vois pas, mais alors pas du tout, en quoi ce que j’ai dit a pu te faire comprendre que je disais le contraire de toi !

  • bonjour.

    Je pense que la question d’une alliance de Syrisa (pour deux voix) avec un parti quel qu’il soit est une erreur.

    Syrisa n’a qu’une chose a faire : Présenter son programme devant les députes et chacun se déterminera, notamment le parti communiste Grec.

    Cordialement

    Dedalus

    • Syrisa n’a qu’une chose a faire : Présenter son programme devant les députes et chacun se déterminera, notamment le parti communiste Grec.

      Et mettre les masses en mouvement sur la base de son programme social pour inciter le parlement a voter dans le sens populaire .

      Ce n’est pas dans des pourparlers d’état major que l’on a des chances contre le K.

      Des élections même victorieuses n’ont jamais apportés de changements
      notables,sans une mobilisation populaire et une LDC ACHARNÉE.

      Quant a la DETTE, CELLE D’ORIGINE( HORS LES INTERÉTS ODIEUX ) elle a été déjà largement était remboursée par la souffrance des travailleurs Grec.

      Ils ont besoin de nous, de notre solidarité de classe. A quant une action en ce sens ???

    • Tsipras se dit peut être que lorsqu’il presentera des mesures radicales qui vont dans le sens des plus pauvres, il lui manquera 2 voix car la droite ne suivra pas...De là il aura tout le loisir de renvoyer tout le monde aux urnes.
      Le peuple s’exprimera alors en connaissance de cause et une majorité absolue est possible cette fois...

      Il n’est pas impossible d’avoir de nouvelles elections en mai.

      Pour le KKE ,il à refusé l’idée même d’une rencontre, c est dommage le PC chez nous fait alliance avec les pseudo socialiste et le KKE fait la fine bouche en grèce, ils comptent peut etre faire 37% au prochaines elections
      En tout cas, il à une lourde responsabilité dans l alliance avec la droite que syriza doit faire.

      Alors ok,Tsipras aurait pu dire pas d alliance, et donc les conservateurs arrivé deuxieme aurait presenté une majoritée pro europpeen, pas sur que le peuple grec eu été gagnant....

    • La question c est les 2e et 3e auraient ils pu former un gouvernement ? Pas sûr. De tte manière cette situation va amener un nouveau retour aux urnes dans quelques mois, c est inévitable. L aile gauche de Syriza ni le mouvement social ne laisseront sacrifier les promesses sociales pour de "simples" intérêts "souverainistes" sans contrepartie sociale...
      Affaire à suivre de très près donc.
      Comme on le disait il y a qq jours, cette élection, loin d’etre une fin en soi, n’est qu’un début. Et je me marre en pensant à tous les récupérateurs de la gauche radicale hier, Mélenchon le premier, qui peroraient sans prudence, sans recul, essayant de nous vendre du rêve, comme si ce résultat était le leur ici. Peuple de Grèce, en avant dans les luttes ! Peuple de France, bouge ton c....aussi !!

    • Alors ok,Tsipras aurait pu dire pas d alliance, et donc les conservateurs arrivé deuxieme aurait presenté une majoritée pro europpeen, pas sur que le peuple grec eu été gagnant....

      Alors LeChatNoir t’est pas bon en mathématique, tu peux nous expliquer comme la droite peux avoir la majorité avec Siriza et le KKE qui font bien plus de la moitie des parlamentires ?????

      Non la solution est un deuxième tours, mais l’aliance de Syriza avec la droite n’est pas nouveau ici nous de bellaciao on avez deja dénoncé cet forfaiture dans le passé, et oui c’est pas nouveau...

    • ah parceque MELENCHON c ’est la gauche radicale ...et moi je suis enfant de MARIE ...

    • Syrisa n’a qu’une chose a faire : Présenter son programme devant les députes et chacun se déterminera, notamment le parti communiste Grec

      Pardon de préciser , après vérification, que laGRECE a une constitution, et une "jurisprudenc"e en la matière, qui ne permet pas à un Président de la REPUBLIQUE de nommer un Premier Ministre sans un accord préalable de certitude de majorité parlementaire
      (Contrairement à la France ou Rocard, Cresson ou Berogovoy furent nommés sans majorité parlementaire assurée , entre 88 et avril93)

      Si j’en crois la traduction de la Constitution de 75

      1. Le président de la République nomme le Premier ministre et, sur proposition de ce dernier, nomme et révoque les autres membres du gouvernement et les secrétaires d’État.
      2. Est nommé Premier ministre le chef du parti qui dispose à la Chambre des députés de la majorité absolue des sièges. Si ce parti n’a pas de chef, ou si celui-ci n’a pas été élu député, ou s’il n’y a pas de porte-parole du parti, la nomination s’effectue lorsque le groupe parlementaire du parti en question a désigné son chef, dans les cinq jours au plus tard après que le président de la Chambre ait communiqué au président de la République la force parlementaire des différents partis.

      3. Si aucun parti ne dispose de la majorité absolue, le président de la République donne un mandat exploratoire au chef du parti qui dispose de la majorité relative, afin de scruter la possibilité de formation d’un gouvernement jouissant de la confiance de la Chambre, conformément aux dispositions du paragraphe précédent.

      4. En cas d’échec, le président de la République peut confier une nouvelle mission exploratoire au chef du parti qui occupe la seconde place à la Chambre, ou nommer Premier ministre, après avoir entendu le Conseil de la République, un membre de la Chambre ou une personnalité extraparlementaire qui pourrait, à son avis, recevoir un vote de confiance de la Chambre. Le président de la République peut accorder au premier ministre ainsi désigné le droit de dissoudre la Chambre afin de procéder à de nouvelles élections.


      Reste la question KKE

      je prends le risque de caricaturer(puisque si on me flingue ici "je suis chancogne" sera le nouveau slogan d’union),

       :)
      Ce parti est une queue de comète à crise multiples

      Selon moi,comme le PCF il démontre qu’un passé héroïque et l’enracinement dans les masses ne réste pas à deuxtypes déviation

       Comme en France se peindre en rose pour "aller à la soupe" programmatique, et finir avec un Gayssot champion de privatisations, un Hue déjà en quête de costume made in Rue de Solférino, un Laurent tragi comique pacsé avec unCHE d’opérette...
      Avec un programme simple :"ou est la soupe ?"

       Comme en Grèce, en oubliant d’enlever du mur du Siège le calendrier 1953.

      .ce qui sur son site français lui fait écrire, je cite"Après le renversement du système socialiste en Europe, ".....pour parler de l’effondrement de ce qui ne fut qu’une caricature de socialisme et de marche au Communisme..

      Du coup, les positions du KKE qui avait effectivement refusé toute alliance possible avec SYrisa relève, selon moi, d’un double motif, de fait complémentaires par absence de référence..communiste

       Restes évidents de haines nées de scissions en son sein (qui ont aidé à l’essor de ceui s’aplle aujourd’hui SYRISA)

       Positionnements sectaires et , avec pourtant des prises de positions que je partage parfois - notamment son refus d’intégrer le PGE de Laurent...-un rapport aux masses qui nepeut plus en faire un "parti de la classe ouvrière"

      (Même si son score, ignoré de nos médias, montre qu’il garde une influence certaine dans certains secteurs ouvriers, syndicaux...certainement davantage chez les sexta-nangénaires que dans la jeunesse)

    • Sauf que celui qu’on a enterré en 53 n’avait pas empêché le soutien au PS en 36 en France ni le soutien à la République bourgeoise espagnole....

  • C’est vrai , une majorité du Peuple n’est pas acquise ! Raison de plus pour aller le plus vite possible vers la justice sociale et convaincre ainsi ceux qui hésitent encore souvent par peur ! Faire donc que la peur change de camp pour refouler dans l’opposition totale les acharnés du capitalisme ! L’Unité retrouvée jamais un Peuple ne sera vaincu !

    • le contenu de certaines contributions m’étonne , en effet on fait dire à SIRYZA ce qu’elle na jamais promis ou en tout cas n a pas promis au cours de cette dernière campagne électorale : ainsi SIRYZA n’ appelle pas à sortir de l’europe , et ne propose pas de mettre en place une politique de rupture avec le capitalisme , TSIPRAS ne déclare pas comme qui vous savez que son ennemi est la finance ...SIRYSA propose de combattre l’austérité imposée par la troika essentiellemnt en renégociant l’ étalement de la dette , SIRYZA propose également diverses mesures économiques et sociales : augmentation du salaire minimum , augmentation des impots des plus riches et imposition des armateurs milliardaires et de l’église qui échappaient à l impot ...

      RIEN donc de radical , de révolutionnaire , seulement des mesures de pures gestion dans la tradition sociale -démocrate, certes comparé à la politique d’ultra austérité des gouvernements précédents de droite et socialiste SIRIZA fait figure d’extra terrestre politique et va provisoirement recevoir le soutien populaire , mais attention au désenchantement qui arrivera rapidement si SIRYZA n ’arrive pas à faire céder la TROIKA et se retrouve donc dans l’incapacité de financer Ses mesures sociales .

      Les mesures structurelles risquent d être rapidement insuffisantes et alors SIRYZA sera face à deux choix : céder devant la troika et donc décevoir le peuple qui se tournera vers l’extrême droite ou résister à la troika en faisant appel au peuple en lui proposant de rompre avec le capitalisme notamment par l’appropriation collective des moyens de production , de la finance et l intervention des travailleurs dans tous les domaines qui les concernent , toutes mesures que pour l instant SIRYZA ne propose pas .

      pour l instant je pense qu’il est donc difficile de s’enthousiasmer tout comme il est ridicule de bouder cette victoire électorale qui met tout de même un bonne claque à L UE au FMI à la BCE et surtout permet de relancer le débat sur l’ echec total de la politique d’austérité et sur la pertinence d’autres solutions à la crise et rien que pour cela je remercie le peuple grec .

    • Il y a la ligne de Syrisa, la politique qu’il va mener (risque de déception, sans doute).

      Mais il y a aussi toute la symbolique derrière cette victoire, et l’impact qu’elle peut avoir, bien au-delà des frontières de la Grèce.
      On sort enfin du TINA de Thatcher, une rupture est possible, envisageable, même si elle ne va pas jusqu’à être concrétisée.

      La révolution, n’est-ce pas une succession d’étapes sur des temps parfois longs ? Des batailles menées, perdues, avant un éventuel aboutissement ?

      C’est comme l’homéopathie : la victoire de Syriza, je ne sais pas si ça fera du bien, mais en tout cas ça ne peut pas faire de mal. Rien à perdre, et sans doute un peu à gagner.

    • ""C’est comme l’homéopathie : la victoire de Syriza, je ne sais pas si ça fera du bien, mais en tout cas ça ne peut pas faire de mal. Rien à perdre, et sans doute un peu à gagner.""

      D’une pseudo science à une pseudo révolution !
      Enfin ,rien n ’est encore écrit,entre le 14 juillet et la déclaration de la république,l’exécution de louis 16 et enfin 93 il a fallu du temps .
      Soutenons syriza et apprenons d’eux aussi.
      la bréche est là c ’est déjà tres positif