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Quand Marcela Iacub... ...quitte le registre des boutons de braguettes.

par arthur

Publie le lundi 26 janvier 2015 par arthur - Open-Publishing
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Cette cocotte du 21ème siècle, devrait se contenter de commenter ses graveleuses histoires de cul et laisser les travailleurs concernés s’exprimer sur le travail de nuit et des dimanches que patrons et gouvernement veulent nous imposer. Ce tout-petit-phénomène-de-foire-médiatique, s’est en effet permis de disserter sur cette question dans sa chronique de Libération, du samedi 21 décembre.

Pour ceux et celles qui seraient peu au fait de ce qui agite le twitterland médiatico-télévisuel, cette écrivaillonne du week-end, produit blablateur de l’école en sciences sociales (EHESS) où apprennent à pérorer les rejetons de la bourgeoisie, s’est particulièrement fait connaître, en 2013, par l’ouvrage [1] voyeur et racoleur qui relatait sa liaison éphémère avec Dominique Strauss-Kahn et depuis six mois, par sa participation affligeante aux émissions grasses de Laurent Ruquier.

A n’en pas douter, les « fortes » réflexions qu’elle nous soumet, indiquent de quel côté de la barricade, son exercice argentin d’avocate spécialisée en droit du travail l’avait placée, avant qu’elle ne décide de venir en France nous abreuver de ses pompeuses logorrhées libérales.

Comme il est d’habitude dans son monde fasciné par son propre nombril, cette soi-disant chercheuse au CNRS fait de la sociologie de comptoir en circuit fermé. Loin de chercher quoi que ce soit, elle ne trouve dans son entourage, personne : « qui aime le dimanche ». Si jamais cette dernière se trouvait à cours d’imagination nous ne pouvons que lui conseiller de disserter alors sur la liste des cocktails de la jet-set, ou sur l’impossibilité de trouver des promeneurs de chiens, le cadre de ces études correspondant mieux à son environnement.

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