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Les Juifs et les Arabes ne pourront jamais vivre ensemble...

Publie le lundi 6 novembre 2006 par Open-Publishing
2 commentaires

Les Juifs et les Arabes ne pourront jamais vivre ensemble, déclare le vice-Premier Ministre israélien

Par Harry de Quetteville
Commentaires du rédacteur en chef (VB) : Cela s’appelle de l’Apartheid. Il a déjà été testé en Afrique du Sud. En plus d’être vicieux, cela a mené à l’effondrement de l’ensemble du pouvoir dirigé par les Blancs.

Quand Avigdor Lieberman, un politicien israélien populiste fréquemment comparé à Jorge Haider en Autriche et à Jean-Marie Le Pen en France, a proposé d’emmener des milliers de Palestiniens jusqu’à la Mer Morte pour les noyer, il ne faisait pas encore partie du gouvernement. C’était il y a de trois ans.
Mais la semaine dernière, le nationaliste controversé a rejoint le gouvernement de coalition dirigé par Ehud Olmert dans un rôle bien plus important.

En tant que vice-Premier Ministre, il a la responsabilité spéciale du sujet le plus pressant d’Israel : la menace iranienne.

Dans sa première interview depuis son arrivée au gouvernement - en exclusivité pour le Sunday Telegraph - M. Lieberman a déclaré que le meilleur moyen d’obtenir la paix au Moyen-Orient serait que les Juifs et les Arabes vivent séparés, y compris les Arabes qui vivent actuellement à l’intérieur d’Israel.

Israel est sur "la ligne de front du "clash des civilisations" entre le monde libre et l’Islam extrémiste" dit-il.
Sur l’Iran, il dit : "Chaque semaine, le président iranien déclare son intention de nous détruire."

Mr Lieberman, 48 ans, chef d’Yisrael Beitanu (Israel Notre Maison), qui avait auparavant demandé qu’Israel bombarde Teheran, dit : "L’Iran est à la base d’un axe du Mal, ce qui pose un problème pour le monde entier."

M. Lieberman, dont l’arrivée dans la coalition en tant que Ministre aux Affaires Stratégiques" a provoqué la démission d’un collègue du gouvernement, a également indiqué que la minorité des 1,25 millions d’Arabes en Israel était un "problème" qui nécéssitait une "séparation" de l’Etat Juif.

"Nous avons établi Israel en tant que pays juif", dit-il. "Je veux fournir un Israel qui soit un pays Juif et Sioniste. Il faut savoir quel genre de pays nous voulons voir à l’avenir. Ou ce sera un pays (éthniquement mélangé) comme tous les autres, ou il continuera en tant que pays Juif."

Ophir Pines-Paz, l’ancien Ministre de la Culture qui a démissionné en signe de protestation, qualifie la politique de M. Lieberman de "raciste", en ajoutant que le nouveau vice-Premier Ministre - un ancien videur de discothèque qui a émigré de l’ancienne république soviétique de Moldavie en 1978 - était lui-même une menace stratégique pour Israel. Pourtant, au-delà de ça, la protestation a été mise en sourdine. Il n'y a pas eu de manifestations massives. Peu d'électeurs ou politiciens semblent scandalisés comme ils l'étaient en 2003. Les analystes disent que la nomination d'un homme qui était récemment considéré comme un extrémiste-meneur de foules est un signe de radicalisation politique en Israel. {"Après la guerre de cet été au Liban, beaucoup d'Israéliens ont évolué à Droite"}, déclare {{Gideon Doron}}, un professeur de science politique à l'université de Tel Aviv. {"Ils pensent que la sécurité est mauvaise et ils ont moins confiance dans les Palestiniens et les Arabes. Ils ne croient en une possibilité de paix par des négociations, donc Lieberman est devenu le centre d'un nouveau consensus."} M. Olmert a insisté sur le fait que l'arrivée dans sa coalition d'Israel Notre Maison est stratégique plutôt que politique. Cela a consolidé sa majorité à la Knesset de 78 à 120 sièges, lui donnant ainsi une marge de sécurité dans un pays connu pour ses changements de gouvernements. Mais tandis que M. Olmert dit qu'Israel Notre Maison ne changera pas la politique du gouvernement, il semble presque inconcevable que la principale promesse électorale du Premier Ministre qui était de retirer des dizaines de milliers de colons juifs de Cisjordanie soit mise en application avec M. Lieberman - lui-même un colon - au gouvernement. M. Lieberman, pour sa part, a d'autres idées. Il n'a aucune intention de retirer les colonies juives des Territoires Palestiniens Occupés. Au lieu de cela, il veut les maintenir et "en retour", redessiner les frontières d'Israel pour éjecter du pays des milliers d'Arabes israéliens. {"Les minorités sont le plus important problème au monde"}, dit-il dans son Anglais teinté d'accent Russe. Quand on lui a demandé si les citoyens israéliens d'origine Arabe seraient forcés de quitter le pays par une redistribution territoriale, il a déclaré : {"Je pense que la séparation entre deux nations est la meilleure solution. Chypre est le meilleur modèle. Avant 1974, les Grecs et les Turcs vivaient ensemble et il y avait des frictions, des bains de sang et de la terreur." "Après 1974, ils ont installé tous les Turcs sur une partie de l'île, tous les Grecs sur l'autre partie de l'île et il y a eu la stabilité et la sécurité".} Quand nous avons précisé qu'à Chypre, des milliers de personnes avaient été obligés de quitter leurs maisons, il a répondu : {"Oui, mais le résultat final était mieux."} Plus tard, un collaborateur de M. Lieberman a insisté sur ses remarques. "Les Arabes israéliens ne sont pas obligés de partir" dit-il. "Mais s'ils restent, ils doivent faire un serment d'allégeance à Israel en tant qu'Etat Sioniste Juif." M. Lieberman n'explique pas comment il pense séparer les Juifs et les Arabes à Jérusalem, dont la moitié Est est le foyer de plusieurs centaines de milliers de Palestiniens mais qu'Israel a annexé pour former sa "capitale éternelle et unifiée" . _ Le collaborateur ajoute : "Il ne fera pas de compromis sur Jérusalem". De tels sentiments bellicistes ont fait de M. Lieberman la nouvelle plus importante force dans la politique israélienne. Depuis qu'il s'est séparé du parti du Likud et de son chef, l'ancien premier ministre Benjamin Netanyahu, pour former son propre parti en 1999, il a en effet monopolisé les voix de plus d'un million d'immigrés Russes. Aux élections qui ont eu lieu en ce début d'année, Israel Notre Maison a démoli la mainmise traditionnelle sur la Droite du Likud pour gagner 11 sièges. M. Lieberman insiste sur le fait que le monde doit s'unir contre "un axe du mal mené par l'Iran". L'Iran est la plus importante menace. C'est un problème pour le monde entier, mais Israel est vraiment situé à un mauvais endroit. Nous sommes sur la ligne de front du clash des civilisations entre le monde libre et le monde Islamique extrémiste. Son utilisation de l'expression "clash des civilisations" est un autre exemple de ce que M. Doron appelle "le franc-parler populaire" de M. Lieberman. Mais il y a un sujet sur lequel M. Lieberman est plus timide. Quand on lui a demandé s'il voulait diriger le pays un jour, il a souri et a dit :{C’est trop tôt pour cela".

source de l’article


Remarques personnelles :

il faut avoir une réponse politique au terrorisme d’Etat.

Cessons de tergiverser : il faut boycotter Israël, tout de suite ! , un article de Virginia Tilley, suivi
 de l’appel au boycott par la Société Civile Palestinienne
 de l’appel au boycott par Droits Devant, Confédération Paysanne, Association Franco Palestinienne d’Echanges Culturels (AFPEC), Association France Palestine Solidarité (AFPS), Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR), Collectif Marseille pour le Respect des droits du peuple palestinien, Commission Boycott de la Campagne Civile Internationale pour la Protection du Peuple Palestinien (CCIPPP), Droit Au Logement (DAL), Evry Palestine, Palestine 12, Palestine 33,Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF), Abnah Philistine Enfants de Palestine, Coordination des Comités Solidarité Palestine Ile de France, Coordination des Appels pour une Paix Juste au Proche-Orient (CAPJPO), Femmes en Noir, Parti Communiste des Ouvriers de france (PCOF), Forum Palestine, Alternative Libertaire, Association des Jumelages france Palestine (AJFP), Association des Palestiniens en France, ASHDOM, Association des Marocains de France (AMF), Mouvement Européen pour la Paix, Femmes Solidaires, Les Alternatifs, ATTAC, les VERTS et de l’Union Juive Française pour la Paix.

 de la résolution du congrès de l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP)

et enfin, Danielle Bleitrach nous explique pourquoi Il faut en finir avec l’Etat d’Israël et le sionisme


Le sionisme montre son vrai visage : une idéologie raciste, une gangrène de la société Israélienne

Le sionisme de "gôche" d’ici est ainsi fait : un article sur le site LPM La crise est grave et le silence assourdissant, on pleure un peu, et on oublie.

Il y a peu, sur les sites Indymédia, nos sionistes de "gôche" faisaient les louanges d’Amir Peretz, ancien syndicaliste. Un homme de paix nommé "ministre de la défense" ! on allait voir ce qu’on allait voir ! La Paix tout de suite, à n’en pas douter !

On a vu : la guerre au Liban, les massacres, la dévastation d’un pays entier. En Palestine, les assassinats ciblés, l’opération Pluie d’Eté, les crimes quotidiens, les chars, les avions, les hélicoptères terrorisant la population toute entière. Quelques centaines de morts palestiniens de plus, des milliers de blessés, quelle importance ? La colonisation de la Cisjordanie qui a repris de plus belle, et les budjets sociaux en Israël rognés mieux que sous l’extrème droite de Sharon.

A présent, la guerre de saison s’appelle "nuages d’automne"

Au prochain article, on accusera les Palestiniens : on parie ?

L’ultra sionisme a déja franchi le rubicon.

On attend avec impatience la suite des sionistes de "gôche" d’ici, emboitant le pas des sionistes de "droite" et d’ultra droite

On justifiera une fois le plus l’épuration ethnique des palestiniens sous quelques considérations politiciennes de lutte contre les "barbus" : Gaza est le laboratoire, la Cisjordanie le [champ d’expérimentation, Jerusalem les travaux pratiques

Peretz se contentera dans quelques jours de faire évacuer quelques avants postes de Cisjordanie : c.a.d. quelque caravanes. Rassurez vous néanmoins : elles ne seront pas détruites

En Cisjordanie, la situation est d’ailleurs préoccupante : hier, des terroristes Palestiniens ont lancé des pierres sur un véhicule israélien qui circulait au sud de Shehem (Naplouse). On ne déplore aucun blessé, mais l’automobile a été endommagée.

Libierman donne le "LA" : les réactions à mes propos sont teintées d’hypocrisie. C’est ce qu’a déclaré le chef du parti Israël Beteinou dans une interview accordée à Kol Israël. « De nombreux conflits en Europe et dans le monde ont été résolus grâce à la séparation entre deux peuples », a-t-il affirmé

Libierman affime aussi qu’il faut s’inspirer de Chypre et à séparer les Juifs des Arabes pour faire du pays un Etat juif sioniste : on attend encore les protestations de Shalom Arshav

Messages

  • EN TUNISIE PLUS DE 10 % DE LA POPULATION DE DJERBA EST JUIF
    MAROC IRAN IRAK EGYPTE JORDANIE ET DSUREMENT D’AUTRE PAYS ARABES OU IL Y A DES JUIF
    ZERO ATTENTAT
    (sauf à Djerba mais l’état sioniste a déjà bombardé Tunis et le Maroc )

    • Colloque du MRAP "Antisionisme et antisémitisme"

      Les actes du colloque "Antisionisme et antisémitisme" organisé le 13 mai 2006 par le MRAP viennent d’être publiées dans sa revue Différences n° 260 (1). Les militants du MRAP absents à ce colloque ont pu réagir aux contributions qu’en octobre 2006. Voici ma contribution (qui regroupe deux messages sur liste interne).

      L’amitié entre les peuples et le peuple juif.

      Certes un certain antisémitisme peut se cacher derrière l’antisionisme et c’est bien le rôle du MRAP de le dénoncer mais le CRIF (2) a beau hurler à l’antisémitisme, cela ne saurait empêcher la critique du gouvernement israélien, de sa classe politique, de sa haute administration, de son armée, de ses colons, et de la plupart des hauts dignitaires religieux. Et si "remettre en cause le droit d’Israël à exister c’est de l’antisémitisme" l’objection à l’antisionisme n’en est pas quitte pour autant. Car si le peuple juif peut avoir droit à un territoire et à un Etat la nature de cet Etat ne saurait être préservé de la critique. Au-delà de la critique gouvernementale, c’est la forme de l’Etat qu’il convient d’observer . Pour introduire de gros changements concernant la forme étatique voire l’Etat lui-même il faut extirper sa logique sioniste et instaurer des réformes importantes l’inscrivant dans un cadre laïc et non impérialiste. Ce n’est certes pas au MRAP de les définir dans le détail. Mais il n’est pas mauvais qu’il se pose ses questions du point de vu de "l’amitié entre les peuples" qu’il souhaite promouvoir.

      En fait la solidarité internationaliste comme la critique antisioniste débarrassée d’antisémitisme s’adresse au peuple juif luttant contre l’oppression interne et externe. La contribution de Pierre STAMBUL a le grand mérite de clarifier ce sujet en trois points comme son titre l’indique "antisémitisme, antisionisme et "antiisraélisme". Et si un blog douteux peut reprendre sa contribution ce n’est que grâce à une lecture trop superficielle. Une autre contribution de lui (3) fait le point sur la question de l’identité juive rapporté à l’identification à Israel.

      Mais qu’est-ce que le peuple juif ? Pascal LEDERER (dans le n 260 de Différences) se demande si la diaspora en fait parti intégrante sans donner de réponse claire avant de souligner que pour ce peuple c’est l’aspect culturel qui est déterminant notamment au travers de l’expérience de la discrimination et ce beaucoup plus que par référence à la religion qui n’est qu’un facteur de plus en plus résiduel. Et l’auteur d’ajouter que contrairement à la notion classique de peuple, celle de "peuple juif" comprends en son sein les grands actionnaires, la bourgeoisie et les dirigeants des firmes multinationales qui bénéficient de la mondialisation capitaliste. Peut-être faudrait-il parler de "peuples juifs". En tout cas il est sans doute bon de se souvenir de la spécificité du contenu de la notion de "peuple juif" sans pour autant la faire pleinement sienne à toute occasion. Pour ma part, j’intègre bien le fait que les tous juifs sans distinction de classe sociale ont une expérience historique du nazisme et de la discrimination antisémite mais lorsque j’évoque à propos des logiques collectives "l’amitié entre les peuples" c’est au peuple comme fraction de la population israélienne juive dirigée et dominée que je pense . Il s’agit donc de la fraction inscrite dans un rapport social gouvernant-gouverné tant au plan politique institutionnel qu’au plan social et économique global. Et bien souvent c’est même à la fraction progressiste du peuple juif que la solidarité de lutte s’adresse ; la fraction solidaire de l’émancipation du peuple palestinien. Car à la racine de la solidarité il y a la conception de "pas de liberté possible pour un peuple qui en opprime un autre" via un appareil d’ Etat construit comme une machine de guerre .

      Alors n’oublions pas ces juifs - israéliens ou non - qui continuent de mener un combat antisioniste. Le fait de vouloir "deux Etats pour deux peuples" n’évacue pas totalement la question du sionisme maintenu. Et lorsque j’entends des gens qui critiquent la politique de l’Etat sioniste mais en parlant des juifs je rectifie toujours, car effectivement oublier la distinction antisionisme / antisémitisme autorise l’amalgame.

      La pertinence de la critique antisioniste en vue d’un " postsionisme "

      Critiquer le sionisme serait un débat dépassé, puisque Israël existe réellement et est reconnu. Mais précisément on constate que cela n’épuise pas la critique d’Israël et la logique spécifique de construction permanente de son Etat. Par ailleurs, il existe aujourd’hui des organisations, des individus qui se réclament du sionisme comme théorie politique d’actualité. C’est bien parce que, ainsi que le répète Pierre STAMBUL, le sionisme est à la fois un nationalisme, un messianisme, un projet colonial, un pion avancé de l’impérialisme et une illusion (Les Juifs ne pourraient vivre qu’entre eux) que la fuite en avant meurtrière continue. La notion d’état juif n’est-elle pas un cauchemar qui porte en elle la poursuite de l’occupation et de la colonisation. Qu’il y ait un ou deux états dans l’avenir, ce sera dans le cadre de l’égalité des droits, donc d’un "postsionisme" (lire Esther BenBassa).

      Pascal LEDERER pointe les différentes formes de sionisme et les différentes formes d’antisionisme, mais laisse la aussi des questions sans réponse sans doute pour laisser place au débat. Mais le débat a-t-il permis d’avancer sur ces points ? Sans doute faut-il se mettre une bonne fois pour toute dans l’esprit qu’il y a bien des sionismes . Cela ne rend alors pas aisé la réponse. Mon antisionisme porte-t-il aussi contre le "sionisme" des Refuzniks ? J’avoue ne pas connaître leur "idéal sioniste" par contre j’admire et je soutiens leur combat. Pour que je change de position, chers camarades, il ne me suffit pas de me dire en quelque sorte : "regarde ce qu’ils font et ils sont pourtant sionistes" Cette réponse n’en est pas une. Il s’agit seulement d’un fait qui interpelle et qui mérite échange plus approfondi.

      Pascal LEDERER donne une liste des anti-sionismes concevables : Les deux premières expressions sont très condamnables et injustifiables : 1 Celui qui veut détruire l’Etat d’Israël et déporter (au mieux) les juifs israéliens en Europe. 2 Celui qui légitime toute violence faite à tout Juif dans le monde ? Mais pas la troisième : 3 Celui qui souhaite voir Israël abandonner la référence juive pour devenir un Etat avec des droits égaux pour tous ? Cette position est acceptable. Elle peut elle-même être critiquée mais pas au nom de l’antisémitisme. Un antisémitisme peut éventuellement s’y cacher mais c’est autre chose. Tout dépend ici de "qui parle" ? 4 Celui qui veut l’égalité des droits en Israël ? Au non de quoi cette revendication ne pourrait être proférée ? 5 Celui qui prône un Etat binational ? Idem.

      Christian DELARUE

      Secrétaire national du MRAP

      Membre du Conseil d’Administration d’ ATTAC France

      1 Y figure une Ouverture de Mouloud Aounit, puis 1 "Antisémitisme, antisionisme et "antiisraélisme" de Pierre STAMBUL adhérent du MRAP Marseille et président de l’UJFP, 2 "Sionisme et colonialisme" par Denis SIEFFERT journaliste, directeur de la rédaction de "Politis", 3 Les difficultés du débat sur le Proche Orient en France par Pascal Boniface, directeur de l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), 4 "Antisionisme-antisémitisme" :pourquoi ce débat ? par Pascal LEDERER animateur d’UAVJ ; 5 "L’extrême droite, l’antisémitisme et le sionisme d’extrême droite par René MONZAT journaliste, spécialiste des extrêmes-droites. ; 6 "La guerre du Liban : Crime de guerre et échec militaire par Pierre STAMBUL.

      2 CRIF : Conseil représentatif des institutions juives de France

      3 "Les juifs, le sionisme et Israel" de Pierre STAMBUL