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La faillite de Dubaï, de la Grèce, de l’Espagne ... La Bourse de Tokyo toujours dans le rouge.

Publie le jeudi 10 décembre 2009 par Open-Publishing
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Jeudi 10 décembre 2009 ;

La Bourse de Tokyo toujours dans le rouge.

Les prises de bénéfices continuent sur les marchés japonais, après le rally des dernières semaines. Les craintes des investisseurs sur la santé financière de Dubaï, de la Grèce et même de l’Espagne pèsent sur la tendance.

La Bourse de Tokyo a fini en baisse de 1,42 % jeudi 10 décembre, les inquiétudes sur les finances publiques grecques et espagnoles pesant sur la confiance des investisseurs tandis que la hausse du yen pénalisait une nouvelle fois les exportateurs.

Le Nikkei a perdu 142 points à 9.863 et l’indice, tandis que l’indice élargi Topix a cédé (- 1,25 % à 874 points.

L’annonce mercredi que l’Espagne risque une dégradation de sa note souveraine par Standard & Poor’s d’ici deux ans, n’a pas rassuré les investisseurs, loin de là. D’autant plus qu’elle intervient au lendemain de l’abaissement de la note de la Grèce par Fitch.

http://www.latribune.fr/bourse/20091210trib000451537/la-bourse-de-tokyo-toujours-dans-le-rouge.html

Messages

  • L’effet domino s’etend :

    Hypo Adria, 6e banque d’Autriche : semaine décisive pour éviter la faillite

    Vienne - La sixième banque autrichienne, Hypo Group Alpe Adria (HGAA), filiale de la banque bavaroise BayernLB, doit trouver d’ici à vendredi, jour d’une assemblée générale extraordinaire de ses actionnaires, au moins 1,5 milliard d’euros d’argent frais faute de quoi elle sera déclarée en faillite.

    L’ultimatum, auquel précède une réunion du conseil de surveillance jeudi, avait été lancé par les autorités de contrôle autrichiennes pour procéder impérativement à une augmentation de capital de l’ordre de 1,5 milliard d’euros afin de respecter ses obligations légales en termes de fonds propres.

    Le ministre autrichien des Finances Josef Pröll (conservateur), refusant jusqu’à présent toute nouvelle intervention de l’Etat fédéral autrichien, a promis à la sortie du conseil des ministres mercredi qu’il "ne laissera pas tomber les épargnants" de la HGAA. Il a cependant exigé "un premier pas" de la part de l’actionnaire principal, la banque publique allemande BayernLB avant de puiser à nouveaux dans les caisses de l’Etat autrichien après les 900 millions d’euros déjà octroyés fin 2008 pour faire face à la crise financière.

    Le chancelier autrichien social-démocrate, Werner Faymann, a, lui, averti qu’on ne pouvait pas toujours dire qu’une banque "va bien quand elle est privée et réclamer sa nationalisation quand elle va mal".

    Or l’actionnaire principal bavarois qui détient 67,08% des actions est lui-même lourdement endetté et rechigne à injecter encore de l’argent frais pour sauver sa filiale acquise en 2007.

    Ce à quoi le ministre autrichien des Finances à rétorqué mercredi : "la République d’Autriche a elle aussi dû financer son programmes d’aides aux banques sur le marché des capitaux et a ainsi augmenté sa dette pour soutenir les banques".

    L’avertissement s’adressait également à la province de Carinthie, actionnaire à 12,42% de la banque HGAA, et elle-même déjà dans le rouge. Après une réunion de plusieurs heures mercredi, l’agence des participations de la province n’a pas exclu une participation à une augmentation de capital avec les autres actionnaires, ce à quoi elle se refusait jusqu’à présent.

    Le troisième principal actionnaire est la compagnie d’assurances autrichienne Grazer Wechselseitige (20,48%).

    HGAA a annoncé des pertes "supérieures à un milliard d’euros" pour 2009, mais sa disparition pourrait entraîner une onde de choc catastrophique dans les Balkans où la HGAA détient entre 10 et 35% du marché selon les pays.

    09 décembre 2009 18h21

    http://www.romandie.com/infos/News2/200912091821190AWP.asp

  •  >DUBAI (Emirats arabes unis) - La Bourse de Dubaï a fermé en hausse de 7% jeudi, pour la première fois depuis l’annonce des difficultés financières de l’émirat le 25 novembre.

    Je ne suis jamais les indicateur capitalistes, ils sont de très mauvais indicateur de la santée du monde.

    Ce n’est pas en s’instruisant des idées capitalistes que nous créerons la révolution de demain.

    Nous devons étudier la pensée libérale pour la metre en déroute et ne sutout pas tombé dans le panneaux d’indicateur non révélateurs.