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La contesse de Ségur rencontre Antonin Artaud

Publie le vendredi 11 décembre 2009 par Open-Publishing

« Mardi ça fait désordre » voit le monde autrement

Ils voient le monde autrement, c’est le thème principal de Mardi ça fait désordre n°3 ,le magazine vivant critique et poétique qui aura lieu le 15 Décembre à 20 h à l’Espace Jemmapes 116 quai de Jemmapes.Plat chaud à partir de 19h

Vous saurez enfin pourquoi,avec Hamed Bouzzine et Ali Merghache, il est vital de raconter des histoires aux adultes comme aux enfants. Imaginez qu’un ministre plus poète que ministre demande qu’au moins une fois par semaine dans les villes,les villages, les quartiers, les conteurs s’expriment... la pays irait beaucoup mieux , les individus aussi . Et si en miroir la vision africaine de l’existence pouvait être partagée par un finnois, un mexicain, un japonais, cela aurait plus que de la gueule ! Demandez donc son avis à Jean Pierre Obama qui s’est souvent posé la question.

Quand Inés Khai chante, quand elle dit un texte de Césaire, n’est-ce pas à travers la Guadeloupe une autre façon de bouleverser la géographie des rencontres ? Le peuple écoute si bien , le peuple parle si bien qu’il pourrait, si on arrête de lui casser les reins et les pieds, devenir acteur de son projet. Avec la démocratie participative , on ne va pas par un coup de baguette magique changer du jour au lendemain , l’ordre des choses, mais cela vaut la peine ,d’essayer ,sans mettre sa lucidité dans sa poche.Serge Depaquit a un bel itinéraire d’homme libre.

A vous de participer au débat. Comment voit-on les français évoluer depuis la Suède ? Magnus Falkehed vous le dira en prenant des exemples précis. Au fait Mardi ça fait désordre est-il un média ?... on espère bien que oui, mais au delà de nous il est civiquement essentiel ,d’en savoir un peu plus sur leur fonctionnement .

Luc Chatel et Philippe Merlant, auteurs médias : "la faillite d’un contrepouvoir" ont étudié la question,sans préjugé. Vaut-il mieux lire des livres que des journaux ? La question est absurde . Armel Louis qui dirige la librairie la Lucarne des écrivains, 115 rue de l’Ourcq à Paris apporte lui des réponses assez formidables. En donnant son temps ,en parlant aux gens, en les invitant à des évènements,en innovant ,tout devient possible ou presque. Il suffit d’être passionné et d’avoir envie de partager.

Beau programme,c’est un peu le nôtre.D’accord on se voit Mardi15...ce sera un plaisir de faire votre connaissance. Ce sera aussi un plaisir de vous retrouver.