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Finkielkraut-Badiou : le face-à-face sur l’identité nationale
Publie le vendredi 25 décembre 2009 par Open-Publishing2 commentaires
Exclusif. Identité nationale, sarkozysme, Israël...
Finkielkraut-Badiou : le face-à-face
Par Aude Lancelin
Réunis pour la première fois dans la presse, l’auteur d’« Eloge de l’amour » et celui d’« Un coeur intelligent », débattent de l’identité nationale, de la politique sarkozyste et d’Israël. Un affrontement idéologique d’une rare violence, qui a été arbitré au « Nouvel Observateur » par Aude Lancelin, et dont voici le verbatim intégral. La suite (5 pages) sur bibliobs.nouvelobs.com.
Curieuse la photo mise à la fin de l’entretien, où l’on voit les deux protagonistes du couple Finkielkraut-Badiou affalés tranquillement dans le même fauteuil, dans une pose symétrique, se touchant presque la main...
Messages
1. Finkielkraut-Badiou : le face-à-face sur l’identité nationale, 25 décembre 2009, 17:45, par Mengneau Michel
Finalement Fikielkraut c’est emmélé dans un discours assez stéréotypé devant les arguments de Badiou avec lesquels j’ai eu l’impression parfois qu’il y adhérait. C’était hard à certains moments, mais j’ai néanmoins rigolé quand il a comparé les suportaires du foot actuel à ceux du rugby d’antan, car je suis aussi aller jouer avec le Stade Niortais à Tyrosse il y a fort longtemps, eh bien, comme le Racing qui était dans notre poule, on s’est fait huer et siffler parce qu’on étaient des mecs du Nord. Pourtant Niort est bien en dessous de la Loire !
1. Finkielkraut-Badiou : le face-à-face sur l’identité nationale, 25 décembre 2009, 20:48, par Brutus
A mon avis vous auriez été de Rome ou de Sète, ou bien de Zanzibar et même de Montcuq, les sifflets auraient été les mêmes. Parce qu’à Tyrosse, comme ailleurs, on rencontre autour des terrains de sport un maximum "d’imbéciles heureux qui sont nés quelque part".
Quand un "philosophe", qui "honore l’intelligence Française" (Sarkozy dixit), en est réduit à faire référence à des comportements de supporters d’équipes de foot pour argumenter dans un débat socio-politique il se situe plutôt dans le domaine de la cuistrerie que dans celui de la philosophie.