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Sarkozy nous prend vraiment pour des cons, et il rend hommage aux partenaires syndicaux
Publie le jeudi 31 décembre 2009 par Open-Publishing4 commentaires
Souhaitons nous à tous une bonne année de lutte et surtout l’éradication du virus de l’UMP .
Nicolas Sarkozy souhaite que 2010 soit une "année de renouveau"
L’année écoulée a été "difficile pour tous" mais "nous avons évité le pire", a estimé le chef de l’Etat lors de ses voeux aux Français. Tout en minimisant l’échec du sommet de Copenhague, le président a réaffirmé sa détermination à taxer l’utilisation des énergies fossiles en France.
Nicolas Sarkozy a souhaité, jeudi 31 décembre, que 2010 soit une "année de renouveau" pour la France, après un an 2009 "difficile pour tous", et il a profité de ses vœux aux Français pour ébaucher un programme d’action.
Le président de la République, qui a essuyé ces dernières semaines une série de revers diplomatiques et politiques en France et à l’étranger, a adopté un ton inhabituellement modeste pour cette brève allocution radio-télédiffusée.
"Nous avons évité le pire"
"Ensemble, nous avons évité le pire", a-t-il ainsi déclaré en soulignant notamment que le "modèle social français", qu’il décriait jadis, avait contribué à amortir le choc de la crise économique et financière mondiale.
A l’orée d’une année 2010 potentiellement périlleuse pour l’exécutif, avec les élections régionales de mars, une reprise économique incertaine, un chômage élevé, des réformes délicates et le risque d’un regain de revendications sociales, il a rendu hommage "au sang-froid et au courage" des Français.
Nicolas Sarkozy a également tenu à rendre "un hommage particulier" aux partenaires sociaux, "qui ont fait preuve d’un grand sens des responsabilités".
Habituellement prompt à se présenter en seul véritable responsable de l’action gouvernementale, il a associé le chef du gouvernement, François Fillon, et ses ministres, à la tâche qui s’annonce pour l’année à venir.
"Il nous reste encore bien du travail. Je le conduirai avec le Premier ministre et le gouvernement dans le dialogue et avec un esprit de justice", a déclaré Nicolas Sarkozy.
Il a énuméré les grands axes de son programme d’action : "Faire reculer le chômage et l’exclusion, réduire nos dépenses courantes pour nous permettre d’accroître nos dépenses d’avenir, simplifier notre organisation territoriale trop lourde (...) consolider notre système de retraites ..."
Il a jugé de son devoir d’assurer la pérennité financière de ce système de retraites et de relever le défi de la dépendance et promis une nouvelle réforme de la Justice, "pour qu’elle protège davantage les libertés" et soit "plus attentive aux victimes".
La taxe carbone
Deux jours après l’invalidation de la "taxe carbone" par le Conseil constitutionnel, il a réaffirmé sa détermination à taxer l’utilisation des énergies fossiles en France - "Je ne suis pas un homme qui renonce à la première difficulté", a-t-il souligné.
Nicolas Sarkozy a minimisé l’échec du sommet de Copenhague sur le climat, dans lequel il s’était personnellement beaucoup impliqué, en estimant que cette conférence avait tout de même "ouvert une porte sur l’avenir".
Après une année 2009 marquée, surtout depuis l’été, par des polémiques à répétition, la fronde d’élus de la majorité contre plusieurs réformes et les dérapages d’un débat sur l’identité nationale, Nicolas Sarkozy a lancé un appel à l’unité.
"Dans ce moment si crucial nous devons rester unis comme nous avons su l’être au plus fort de la crise", a-t-il dit.
"Respectons-nous les uns les autres, faisons l’effort de nous comprendre, évitons les mots et les attitudes qui blessent. Soyons capables de débattre sans nous déchirer, sans nous insulter, sans nous désunir", a insisté Nicolas Sarkozy.
Il a estimé que les efforts faits depuis son arrivée à l’Elysée, il y a deux ans et demi, allaient porter leurs fruits et souhaité que le mot "fraternité", inscrit dans la devise de la République, retrouve tout son sens en 2010. (Reuters)
Messages
1. Sarkozy nous prend vraiment pour des cons , et il rend hommage aux partenaires syndicaux, 31 décembre 2009, 22:57, par Gnafron
" Sarkozy nous prend vraiment pour des cons "
Le vraiment, c’est parce que c’est découverte ou quoi, parce qu’enfin, depuis que l’on parle de lui dans la TSF et la TV, il nous prend pour des cons ... au fait, ça fait combien d’année, maintenant, qu’il nous prend officiellement pour des cons ?
2. Sarkozy nous prend vraiment pour des cons , et il rend hommage aux partenaires syndicaux, 1er janvier 2010, 10:16, par momo11
Je nous souhaite une année d’espoir,de lutte et de victoire.momo11
3. Sarkozy nous prend vraiment pour des cons , et il rend hommage aux partenaires syndicaux, 1er janvier 2010, 13:49
Je connaissais le H1N1 (H pour hémagglutinine et N pour neuraminidase) mais UMP ...?...Là il doit être grave !
Quand l’on sait que le H1N1 est responsable de 198 décès (nombre officiel au 29 décembre)... que la grippe saisonnière fait ... de 4000 à 6000 morts (évaluation de l’InVS)...
Le virus UMP ne serait-il pas responsable (en partie...) des près de 350 décès de SDF...et autres...
1. Sarkozy nous prend vraiment pour des cons , et il rend hommage aux partenaires syndicaux, 3 janvier 2010, 00:06, par al1nantais
Sarkozy est la preuve que "nous" sommes vraiment des cons !
Mais même si nous "effacions" cette preuve, tant que nous resterons cons, d’autres preuves surgiront dans "le paysage politique"...
Comment donc transformer un peuple con en peuple intelligent ?
That is the question !
Il faudrait que le peuple se la pose pour avoir des chances de trouver la réponse !
Il s’agit donc d’une question "Constituante" !
Car le peuple qui se la pose se constitue en peuple émancipé.
Il résulterait de cette étincelle de lucidité que le peuple y hiérarchiserait ses "revendication" selon cette "intelligence" :
la première revendication n’est pas "Sarko dehors !", mais bien plutôt :
"régime présidentiel stop !"
Toutes les autres revendications prennent ensuite du "sens", y compris "le pouvoir de gestion des entreprises aux travailleurs"...
...car il y va de l’acceptation ou pas de "notre connerie originelle de salariés-esclaves"...