"En ce moment, ils peuvent toujours courir, je ne vois pas quel ouvrier pourrait encore croire à la droite !"
je me demanderais plutôt comment se vivent les ouvrières et les ouvriers (les salariés, quoi) qui ont pu y croire, et qui voudraient peut-être y croire encore - et toute cette machine de propagande sur l’ordre est bien faite pour elles et eux : que la pensée les hantant ne se concrétise pas, et, toujours renouvelée, qu’une crainte plus vaste les entraîne à placer leur confiance dans les moyens proposés par le pouvoir pour restaurer leur enthousiasme, ou leur silence, leur accord ; du coup, on pige mieux le suivisme des socialistes, non ?
"En ce moment, ils peuvent toujours courir, je ne vois pas quel ouvrier pourrait encore croire à la droite !"
je me demanderais plutôt comment se vivent les ouvrières et les ouvriers (les salariés, quoi) qui ont pu y croire, et qui voudraient peut-être y croire encore - et toute cette machine de propagande sur l’ordre est bien faite pour elles et eux : que la pensée les hantant ne se concrétise pas, et, toujours renouvelée, qu’une crainte plus vaste les entraîne à placer leur confiance dans les moyens proposés par le pouvoir pour restaurer leur enthousiasme, ou leur silence, leur accord ; du coup, on pige mieux le suivisme des socialistes, non ?