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Que se passe-t-il vraiment dans le Golfe du Mexique ?

4 septembre 2010, 11:25

Conspiration BP dans le Golfe du Mexique

http://www.rrrevolution.net/images/stories/pdf/Conspiration%20BP.pdf

(extrait)

Accident, vous dit-on !

Et au diable les théoriciens de complot qui nous fatiguent tant avec leurs histoires à dormir debout…

Mais dites-moi,

Si c’est BP qui fait sa loi dans le Golf du Mexique, après le désastre qu’elle y a provoqué et qui menace formellement la planète entière, en employant des compagnies de sécurités privées pour faire appliquer la politique de l’omerta par l’intimidation,

s’agit-il d’un accident ?

Si BP, au lieu de tout entreprendre pour tenter de réparer ses dégâts, organise une vaste opération de simulation baptisée « Poney et ballon », à l’attention de toute autorité extérieure se rendant sur place, ce afin de donner l’illusion que tout est entrepris pour tenter de nettoyer le site,

s’agit-il d’un accident ?

Si en réalité rien, absolument rien n’est entrepris pour lutter contre la marée noire, mais que par contre des moyens colossaux sont engagés pour faire taire les gens, les tenir éloignés, les réduire au silence et faire disparaître les cadavres d’animaux échoués sur les milliers de kilomètres de plages,

s’agit-il d’un accident ?

Si toutes les aides ont été immédiatement et jusqu’à nouvel ordre, froidement et sans aucune raison, refusées par l’administration OBAMA et son donneur d’ordre BP,

s’agit-il d’un accident ?

Si aucun média ne veut parler de ce qui se passe réellement là bas,

s’agit-il d’un accident ?

Si il est subitement et jusqu’à nouvel ordre interdit par l’administration OBAMA à tout avion privé, de ligne ou autre, de survoler cette gigantesque zone grande comme un tiers de l’Europe, de peur que des témoins ne prennent des films et des clichés de celle-ci,

s’agit-il d’un accident ?

Non, bien sur. Les faits sont là !

A qui profite cet « accident », dites moi ?

.../...

Ça ne serait pas à ceux qui ont acheté, comme par hasard, juste avant l’accident, des compagnies de nettoyage de marées noires, pourtant en ce moment curieusement inactives ?

Ça ne serait pas aux dirigeants de BP et de ses filiales, qui comme par hasard, avant l’accident, se sont débarrassés des actions et des parts de leurs propres entreprises ?

Il faut dire qu’en fait de « regrettable accident », un sérieux faisceaux de preuves indirectes aurait tendance à prouver qu’il s’agit de tout le contraire