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Plainte en justice du Réseau et de brousse contre des antinucléaires : Stéphane Lhomme à nouveau convoqué par les gendarmes

18 octobre 2010, 10:00, par spk

Pour mémoire :

Ce que je dénonçais déjà ici en ce début d’année, ici comme ailleurs (cf affaire ex permanent de la Cf ?t de Brest) et de l’arrogance intolérable de bureaucrate à se prendre pour le timonier d’une organisation, usant de pratique de délation et d’accusation irrecevable dans notre partition à valeur déontologique et respectueuse de l’engagement des militants surtout quand il s’agit de personnalité qui a été menacée par les plus hautes instances policières de cet état ultra-nucléaire.

Porter plainte à titre personnel pour régler via la justice ses propres contradictions, il faut se séparer du mauvais soldat brousse, il y a urgence au nom du combat antinucléaire, qui y perd toute crédibilité à laisser l’hurluberlu à la tête de fichier informatique, dont il a prétention d’en être le gardien en sanctuaire...

extrait

Une crise dont l’origine et le vrai motif sont loin d’être de ceux qui nous ont été présentés jusqu’à lors. Pour étayer le propos, combien d’entre nous sont en mesure d’accepter que Monsieur Philippe Brousse se permette d’écrire au CA (le 10 janvier 2010) :

"… Je vous rappelle que, selon l’avenant à mon contrat de travail, mes fonctions de Directeur Administratif et des Ressources Humaines ne font l’objet d’aucune limitation de la part du conseil d’administration (…) Sont notamment concernées les procédures disciplinaires, parmi lesquelles ; toute procédure de licenciement …."

On dirait du Sarkozy, moi je peux licencier ! C’est tout simplement un abus de pouvoir, qui a été probablement remis en perspective par un malicieux (ou une malicieuse) stratège juriste et qui en a détecté la faille juridique sur l’avenant au contrat de travail du DRH et Administratif. De la part d’un militant rémunéré pour le combat antinucléaire, cette opération de tripatouillage juridique, pourrait être de mon point de vue assimilé à de l’abus de biens sociaux. Pour la simple et bonne raison, que le service attendu et à venir de ce salarié, n’est pas de recadrer à lui tout seul les limites de son pouvoir disciplinaire, combien même ces limites ne sont pas inscrites au contrat. Des contournements de juristes et recherches réalisées sans aucun doute pendant les heures de travail, elles payées par l’ensemble des donateurs et contributeurs au réseau Sortir du nucléaire. D’autant plus qu’à cette date du 10 janvier 2010, la crise interne était largement entamée.

Pour aller plus loin :

http://www.facebook.com/note.php?no...