Que l’EASA, en Europe, néglige le retour d’expérience et que la DGAC, en France, « ne sache pas quoi en faire » n’est pas du tout étonnant. Ces deux instances maintiennent la sécurité du transport aérien à un niveau qui ne pénalise pas les objectifs industriels et commerciaux des uns et des autres… tout en affirmant, de façon très hypocrite, maintenir la sécurité « à son plus haut niveau ».
Que l’EASA, en Europe, néglige le retour d’expérience et que la DGAC, en France, « ne sache pas quoi en faire » n’est pas du tout étonnant. Ces deux instances maintiennent la sécurité du transport aérien à un niveau qui ne pénalise pas les objectifs industriels et commerciaux des uns et des autres… tout en affirmant, de façon très hypocrite, maintenir la sécurité « à son plus haut niveau ».