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"Contre la diplomatie capitaliste. Les "ancêtres" bolchéviques de Wikileaks"

16 décembre 2010, 19:07, par Copas

Chère LL,

Pas d’accord ou tu n’as pas bien lu ce que disait le camarade belge en question.

Personne n’idolâtre Assange ni ne dit quoique ce soit en ce sens, la seule tentative se fait en comparant à de Markine et encore.

Par contre le titre a des ambiguïtés accrocheuses ainsi que l’alinéa d’accroche.

Par contre, oui, ce qui est dit c’est que la publication de documents de la diplomatie secrète n’est pas une nouveauté, comme d’ailleurs un certain nombre s’imaginait que la publications dans les années 70 de documents de l’empire étaient une nouveauté

La bataille dans la révolution russe, murie des longues années de clandestinité, puis une gigantesque boucherie a donné une furieuse envie de transparence

Le sujet (Wikileaks) est très bon pour aborder la question de la diplomatie secrète et la nécessité révolutionnaire de la transparence absolue des affaires qui concernent le peuple, par le peuple.

Personne n’a prétendu autre chose.

Je crains que tu partes d’un apriori sur la lecture du problème wikileaks.

Wikealeaks apparait à la suite d’une longue série d’évolutions facilitées par le net démocratisant d’une façon considérable l’accès à la connaissance et à beaucoup d’aspects cachés du fonctionnement des états.

Il y a une montée en puissance depuis des années de ceux qui peuvent craquer les systèmes de protection de la diplomatie des grands états

Wikileaks est un peu d’air frais de ce point de vue et pour l’instant, presque partout, a affaiblit l’appareil d’état US.

Ces éléments de transparence dont une partie est très probablement vraie vue les réactions haineuses des appareils d’état surgissent et sont portés à la lumière au delà de ceux qui savent et s’imaginent que tout le monde sait.

Non il n’y a rien de dingue de parler des mesures du gouvernement révolutionnaire de 1917 en terme de transparence démocratique comme précurseurs.

Les pré-supposés des sites en question partent de la même volonté prétendue de rendre transparents les états.

Sont-ils sincères ? On ne sait on verra, mais le désir prétendu, avec d’autres mots, est le même, sur ce point précis.

Quand à Chien Guevarra, comme son maître Fidel lui a tiré sur la laisse il doit être en plein rétropédalage.

Dingologiquement tien