De grands moments de novlangue, on a connu Martelli mieux inspiré :
- la nécessité vitale de concilier pluralité maximale et cohérence d’action, sans sacrifier l’une, sans renoncer à l’autre ;
– le besoin de conforter la critique exhaustive de l’existant (l’exploitation, la domination, l’aliénation articulées à l’hégémonie du capital) par l’énoncé d’une cohérence alternative et donc d’un projet d’émancipation, multicolore et argumenté ;
– la promotion d’une rupture franche, qui se démarque à la fois du marché « libre » et de l’étatisme ;
– la liaison indissoluble, dans la longue durée, entre rupture radicale et construction politique et citoyenne, entre dynamique sociale et débouchés politiques, entre luttes et élections, entre anticapitalisme et processus émancipateurs concrets.
À tout cela s’ajoute la volonté déterminée de ne pas séparer continuation et ovation, fidélité et transformation, dans la façon de penser comme dans la manière de s’organiser.
Que d’émotions !
Vaut mieux entendre que d’être sourd, voir plutôt qu’être aveugle, mais, en l’occurrence, tout juste...
De grands moments de novlangue, on a connu Martelli mieux inspiré :
Que d’émotions !
Vaut mieux entendre que d’être sourd, voir plutôt qu’être aveugle, mais, en l’occurrence, tout juste...