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Grève des pilotes d’Air France : une lutte emblématique...

24 septembre 2014, 11:39, par A.C

Heureusementque pour sauver la compagnie , les travailleurs toutes catégories(des commandants de bord au mécano ou "simples bagagistes" )ont reçu en son temps l’extraordinaire secours de classe d’un "communiste", GAYSSOT

Cegarçon-qui vvientde perdre un ami cher , si, le truculent Frêche qui le recevait dans sa villa insistait , dans uneaudition devant la Commision parlementaire, enquétant surla"disparition d’AIR LIB, après la fessée de 2002 à la"gauche plurielle"

http://www.assemblee-nationale.fr/12/rap-enq/r0906-t2-7.asp

. Jean-Claude GAYSSOT : Je n’avais pas les moyens en tant que ministre des transports - et tel n’était pas mon rôle - de vérifier les aspects financiers et techniques.

M. le Président : C’est le rôle du ministre des finances, vous avez raison, mais il l’a fait.

M. Jean-Claude GAYSSOT  : C’est pourquoi j’ai approuvé totalement au cours de la réunion à Matignon les conditions posées par le ministre des finances et mises en avant par le Premier ministre. Je n’émets pas la moindre réserve sur les conditions de restructuration. Qu’ont fait ceux qui nous succèdent ? Ils prolongent, non une fois, mais deux fois

un bloggueur du PCF note

http://www.editoweb.eu/nicolas_maury/Air-France-Jean-Claude-Gayssot-ex-PCF-et-l-ouverture-du-capital-d-Air-France_a6738.html

Le PCF a payé le prix fort pour s’être couché devant le PS et l’UE

En juin 1997, le ministre "communiste", Jean Claude Gayssot, lançait "l’ouverture du capital" d’Air France et annonçait à la commission européenne «  le jour où je ne serai plus là, vous direz, ça y est, c’est privatisé. »
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La privatisation d’Air France est un sujet récurrent
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Dès son arrivée au ministère des Transports en 1997, Jean-Claude Gayssot fut confronté à une offensive favorable à ce projet, menée notamment par le président de la compagnie nationale à l’époque. Le ministre se déclara alors opposé à ce projet, tout en considérant qu’il était nécessaire d’obtenir une respiration de l’entreprise pour nouer de nouvelles alliances.

Le 10 septembre 1997, peu de temps après la démission de Christian Blanc, Jean-Claude Gayssot expliquait dans le quotidien la Tribune que " l’ouverture du capital d’Air France ne doit pas conduire à la privatisation ". Peu de temps auparavant, il avait déclaré, à propos d’une probable ouverture du capital de la compagnie nationale : " ni privatisation, ni statu quo "


Faux cul !

Juste un rajout

je trouve étonnant les commentaires qui font des pilotes ? des espèces de "nantis" égoîstes

Se battre contre des délocalisations et défendre une compagnie pourdes emplois perreins, moi, ça me convient..!

Le reste..c’estplus que secondaire.

.Inutilement de renfort à la Direction§

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L’adversaire c’estleCAPITAL, pas le pilote ou l’ingénieur .

A.C
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