Parce que… au bout du compte, nos ventres aspiraient à cette pause libératrice et décongestionnante.
La vie n’était-elle pas qu’un jeu truqué ?
Nous allions tous mourir un jour ou l’autre.
Nos os ressembleraient aux autres os, perdus et dispersés dans l’humus bienfaiteur.
Nos os seraient égaux face à la faucheuse.
Ce rire a traversé le café où un feu de cheminée avait été allumé pour réchauffer nos carcasses fatiguées par les doutes et les questionnements… Il s’est propagé à l’infini.
Et puis on a senti que les caméras de surveillance caressaient nos visages adoucis et on s’est mis à caillasser les délatrices robotisées par des âmes de nains de jardin et nous avons pensé :
Rien ne nous empêche de croire à un autre monde,
Nous avons des idées
Ils possèdent la technique.
Mais les idées perdurent
Et la technique tombe souvent en panne.
Le rire du Yéti nous a réchauffés.
Il était clair et communicatif.
Parce que… au bout du compte, nos ventres aspiraient à cette pause libératrice et décongestionnante.
La vie n’était-elle pas qu’un jeu truqué ?
Nous allions tous mourir un jour ou l’autre.
Nos os ressembleraient aux autres os, perdus et dispersés dans l’humus bienfaiteur.
Nos os seraient égaux face à la faucheuse.
Ce rire a traversé le café où un feu de cheminée avait été allumé pour réchauffer nos carcasses fatiguées par les doutes et les questionnements… Il s’est propagé à l’infini.
Et puis on a senti que les caméras de surveillance caressaient nos visages adoucis et on s’est mis à caillasser les délatrices robotisées par des âmes de nains de jardin et nous avons pensé :
Rien ne nous empêche de croire à un autre monde,
Nous avons des idées
Ils possèdent la technique.
Mais les idées perdurent
Et la technique tombe souvent en panne.
Merci le Yéti pour ce texte chaleureux.
Franca Maï