Je ne sais si Marie-George a fait du vélo, mais la vitesse des coureurs cyclistes laisse pantois. Quiconque a fait du vélo ne peut croire que des gens montent des cols à la vitesse d’une mobylette, sans une goutte de sueur pour certains, avec des visages blancs comme des linges, sans que soit outrepasser des règles de bonne santé.
Impossible.
Pour ceux qui seraient pour un sport avec le moins de dopage possible il y a des moments où on ne peut plus se baser sur les substances trouvées mais sur des impossibilités :
Au delà d’une certaine puissance développée, la course ne peut être propre. Ca se calcule, et ça a été calculé. Ne sont-ce pas des éléments de preuve ? Si un homme dit qu’il a rejoint par la route nationale Paris à Nice en 2 heures, on dira de lui que c’est un tricheur, qu’il n’a pu le faire. Pourquoi ne pas appliquer ce type de regard au contrôle ?
J’ai des doutes sur les premiers, pas seulement un Danois qui partirait en Italie. Cette course est un spectacle payé sur la santé de 170 jeunes hommes, une arène ou meurent des gladiateurs, à petit feu, avec des risques pour le coeur, des risques de cancer, passée la quarantaine.
Le mal est très profond et trouve sa source dans un esprit de compétition poussé à l’extrême, où les secrets sont des secrets de polichinelle (ou l’essentiel est qu’on ne mette pas des mots publics et des preuves rendues publiques sur des connaissances implicites), où on abuse de jeunes hommes,....
Pourquoi tant de firmes privées aiment sponsoriser le vélo ? Vous avez compris... Du moment que n’éclatent pas de scandales, c’est la vitrine de leur idéologie : la compétition extrême, le dévouement extrême, la glorification de la souffrance des corps....
Et les firmes oublient toujours que cette compétition n’est en sus jamais pure, ne peut être pure, comme l’ultra-libéralisme dont elles se nourrissent : les ententes, les tentatives d’influence sur les arbitres, les tricheries sont les orages obligés des nuées de l’idéologie du compétitisme uber alles.
Le Tour de France doit s’arrêter, les jeux du cirque doivent cesser. La mascarade s’éteindre.
Je ne sais si Marie-George a fait du vélo, mais la vitesse des coureurs cyclistes laisse pantois. Quiconque a fait du vélo ne peut croire que des gens montent des cols à la vitesse d’une mobylette, sans une goutte de sueur pour certains, avec des visages blancs comme des linges, sans que soit outrepasser des règles de bonne santé.
Impossible.
Pour ceux qui seraient pour un sport avec le moins de dopage possible il y a des moments où on ne peut plus se baser sur les substances trouvées mais sur des impossibilités :
Au delà d’une certaine puissance développée, la course ne peut être propre. Ca se calcule, et ça a été calculé. Ne sont-ce pas des éléments de preuve ? Si un homme dit qu’il a rejoint par la route nationale Paris à Nice en 2 heures, on dira de lui que c’est un tricheur, qu’il n’a pu le faire. Pourquoi ne pas appliquer ce type de regard au contrôle ?
J’ai des doutes sur les premiers, pas seulement un Danois qui partirait en Italie. Cette course est un spectacle payé sur la santé de 170 jeunes hommes, une arène ou meurent des gladiateurs, à petit feu, avec des risques pour le coeur, des risques de cancer, passée la quarantaine.
Le mal est très profond et trouve sa source dans un esprit de compétition poussé à l’extrême, où les secrets sont des secrets de polichinelle (ou l’essentiel est qu’on ne mette pas des mots publics et des preuves rendues publiques sur des connaissances implicites), où on abuse de jeunes hommes,....
Pourquoi tant de firmes privées aiment sponsoriser le vélo ? Vous avez compris... Du moment que n’éclatent pas de scandales, c’est la vitrine de leur idéologie : la compétition extrême, le dévouement extrême, la glorification de la souffrance des corps....
Et les firmes oublient toujours que cette compétition n’est en sus jamais pure, ne peut être pure, comme l’ultra-libéralisme dont elles se nourrissent : les ententes, les tentatives d’influence sur les arbitres, les tricheries sont les orages obligés des nuées de l’idéologie du compétitisme uber alles.
Le Tour de France doit s’arrêter, les jeux du cirque doivent cesser. La mascarade s’éteindre.
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