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Bush - Cheney : Leur Empire de Drogue

Publie le vendredi 22 juin 2007 par Open-Publishing

L’implication de la famille Bush dans le trafic de la drogue est un secret de polichinelle, mais le lien direct de Dick Cheney à un pipeline mondial de drogue à travers une compagnie de construction AMÉRICAINE
lui est bien moins connu.

© 2000 ; 2001 Par Michel C. Ruppert
Éditeur / rédacteur de "From the Wilderness"
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Traduit Par Francois Pierre aka Nenki le 19-09-01,
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DE MEDELLIN À MOSCOU AVEC BROWN & ROOT

La Société D’Halliburton du nom de Brown & Root est un des composants principaux de l’Empire de la Drogue de Bush-Cheney. Le succès du co-listier de Bush à la vice présidence, Richard Cheney, chef de file d’Halliburton Inc. grâce à des contrats fédéraux au montant de $3.8 milliards échelonnés sur cinq ans avec des prêts guarantis par les contribuables, n’est seulement qu’un ’indice partiel’ de ce qui peut arriver, maintenant que Bush a gagné les élections présidentielles américaines.

Un regard plus approfondi dans la recherche disponible, incluant un rapport fait par le Centre pour l’Intégrité Publique (CPI) ( www.public-i.org ), le 2 août 2000, suggère que l’argent de la drogue ait joué un rôle dans le succès réalisé par Halliburton sous la tenure de Cheney comme PDG de 1995 à 2000. C’est particulièrement vrai pour la plus célèbre subsidiaire d’ Halliburton, Brown & Root, le géant de la Méga-Construction et du pétrole. Si on jette un coup d’oeil dans l’histoire qui révèle le passé de Brown & Root -aussi bien que celui de Dick Cheney - on voit qu’ils ont été reliés au trafic international de la drogue à plus d’une occasion et de plusieurs façons.

En juin dernier, un des plus grand avocat de Washington DC pour une grande compagnie pétrolière russe, bien instruit dans les mesures du "Law Enforcement" (renforcement de la loi), rapporte que la contrebande d’héroïne et aussi des prêts bénéficiaires "backés" (appuyés) par les Etats-Unis pour payer les contrats de Brown & Root en Russie, ont tenu une collecte de fond de 2.2 millions $ pour remplir les coffres déjê débordants du candidat présidentiel George W. Bush. Ce n’est pas la première fois que la cie Brown & Root est été reliée aux drogues illégales et le fait que cet "enfant tête d’affiche" de l’industrie américaine peut aussi être un joueur clef dans les efforts de Wall Street à maintenir sa domination dans le "demi-trillion de dollars annuel" provenant du trafic mondial de la drogue et des profits qui en découlent.. Et Dick Cheney, qui s’est tenu plus près du marché des drogues illégales qu’on ne puisse s’en douter et qui est aussi le plus grand actionnaire individuel d’Halliburton (45.5 millions $), a un intérêt "investi" à ce que le succès de Brown & Root puisse continuer.

De toutes les sociétés américaines ayant affaire directement avec les E.U. et fournissant une couverture militaire pour la C.I.A., peu de sociétés peuvent compétitionner avec la présence mondiale de cette puissance industrielle de la méga-construction géante qui emploit 20,000 personnes dans plus de 100 pays. À travers ses sociétés fililiales ou "joint-ventures", Brown & Root peut percer les nappes de pétrole "off-shore" (en mer) et en construire les puits ; enfin ils peuvent construire à peu près n’importe quoi à partir de ports maritimes et "pipelines" à pétrole jusqu’ê des réacteurs nucléaires.

Ils peuvent former et armer des "forces de sécurité" et peuvent maintenant nourrir, approvisionner et abriter des armées. Une des balises principales de Brown & Root qui fait l’attrait des agences comme la C.I.A. est qu’ils s’annoncent fièrement sur leur propre page corporative Web comme étant ceux qui ont reçu le contrat pour démonter les têtes nucléaires russes des ICBM dans leurs silos. En outre, les rapports entre les institutions clefs, les participants et les Bush eux-mêmes suggèrent que sous l’Administration de la famille de George "W" Bush et de ses alliés, utilisant Brown &Root comme interface opérationnelle, peuvent bien être capables de contrôler le trafic de la drogue tout le long du chemin de Médellín à Moscou.

Brown & Root Services Helps NASA Keep Costs From Skyrocketing
Project : Johnson Space Center
Client : NASA (National Aeronautics Space Administration)
Location : Houston, Texas
Time Frame : 1998-2003

Originalement formée comme une société de construction lourde pour construire des barrages, Brown & Root ont fait croître leurs opérations via les contributions politiques judicieuses du candidat au Sénat de 1948, Lyndon Johnson . Après son expansion dans la construction des plates-forme pétrolières en mer, de bases militaires, , d’installations nucléaires, de ports maritimes et de tunnels, Brown & Root a pratiquement endossé la carrière politique de LBJ. Par conséquent, Brown & Root prospéra durant la guerre du Viêt-Nam, empochant des milliards sur des contrats du gouvernement américain.
Le "Austin Chronicle", dans un éditorial du 28 août 2000 "Op-rédacteur", intitulé "le
Candidat de Brown & Root", étiquette le républicain Cheney comme le distributeur politique de la générosité de Brown & Root. Selon les rapports de la campagne électorale, la présence des 5 années de Cheney à la firme Halliburton, les contributions politiques de la société ont plus que doublé à 1.2 millions $. Il n’est pas surprenant que la plupart de cet argent fut dirigé du côté des candidats républicains.

L’agence de presse indépendante Newsmakingnews décrit également comment en 1998 la cie Halliburton, avec Cheney comme président, dépensa 8.1 milliards $ pour acheter de l’équipement relié à l’industrie du pétrole et du forage provenant de la cie Dresser Industries. Ceci a fait d’Halliburton une société qui aura une présence dans presque n’importe quelle opération future de forage de pétrole n’importe où dans le monde. Et cela ramena dans la famille la société qui avait un jour (également en 1948) envoyé un avion pour aller chercher le nouveau diplômé de Yale, George H.W. Bush, pour débuter sa carrière dans le monde des Affaires du pétrole au Texas. Prescott Bush, grand-père des 2 Bush, servit comme directeur de la société qui un jour avait été les propriétaires de Dresser Industries : Brown Brothers Harriman.

LES OPÉRATIONS SPÉCIALES ??? DE BROWN & ROOT

Il est clair que partout où il y a du pétrole, il y a Brown & Root. Mais de plus en plus, partout où il y a de la guerre ou de l’insurrection il y a encore une fois Brown & Root. De la Bosnie et du Kosovo à la Tchétchénie, le Rwanda, la Birmanie, le Pakistan, le Laos, le Viêt-Nam, l’Indonésie, l’Iran, la Libye, le Mexique et la Colombie, les opérations traditionnelles de Brown & Root se sont étendues de la construction lourde pour inclure la disposition de support logistique pour les militaires américains. Maintenant, au lieu des quartiers-généraux de l’Armée US, le monde va probablement voir Brown & Root diriger la gestion de l’entreposage et l’approvisionnement de tous les uniformes et rations alimentaires jusqu’aux véhicules.

L’expansion spectaculaire des opérations de Brown & Root en Colombie suggère aussi que Bush se prépare dans une frénésie suscitant la guerre comme faisant partie du "Plan Colombia". Tout ceci coïncide avec les actions de l’ancien Ministre de l’Économie et des Finances Américaines, Nicholas Brady du temps de Bush père, pour partir une association jointe d’investissement Colombienne/Americainne, nommé Corfinsura, pour le financement de projets de construction importants avec le Syndicat Colombien Antioquia , dont le siège est à Médellin. (voir FTW, juin 2000).

Et les attentes d’une guerre au sol en Colombie peuvent expliquer pourquoi le classement de la "2000 Commission Securities Exchange" ( SEC) annonçait qu’en plus de posséder au-delê de 800,000 pieds carrés d’espace d’entrepôt en Colombieque, la cie Brown & Root loue un autre 122,000 pieds carrés. Selon le Brown & Root Energy Services Group les seuls autres endroits où la société entretient des espaces d’entrepôt sont au Mexique (525,000 pieds carrés) et aux Etats-Unis (38,000 pieds carrés).

Selon le site Web de l’Agence de Promotion Étrangère D’investissement de la Colombie, Brown & Root n’était pas présente dans le pays avant 1997. Que savent Brown & Root sur la Colombie -qui selon l’AP (l’Associated Press) a fait plus de 2 milliards $ de profit à soutennir et approvisionner les troupes américaines- que le le public américain ne sait pas ? Pourquoi ce besoin de posséder presqu’ un million de pieds carrés d’espace d’entrepôt lesquels peuvent être transférés des opérations Brown & Root (les services d’Énergie) à un autre département (le support militaire) avec le seul coup d’un stylo ?

Comme décrit par l’AP, pendant l’ère du "Contra-Iran", Dick Cheney, membre de la House Intelligence Commity, était un partisan engagé du lieutenant-colonel des U.S. Marines, Oliver North. Ceci en dépit du fait que North avait menti à Cheney en 1986 durant un entretient privé à la Maison Blanche. Le propre journal personnel d’Oliver North et les enquêtes faites par l’inspecteur général de la C.I.A. qui ont suivies, l’ont irrévocablement lié directement au traffic de la cocaïne durant les années 1980 et l’ouverture de comptes bancaires pour une firme qui déplaçait quatre tonnes de cocaïne par mois. Cela
cependant n’a pas arrêté Cheney de donner activement son soutien (sans succès) à North en 1994 lors de sa candidature au US Senate de Virginie, juste un an avant qu’il n’ait repris les rênes de la société mère de Brown & Root, en 1995, soit la firme Halliburton Inc., basée à Dallas, Texas.

Comme Ministre de la Défense Nationale de Bush durant la guerre de "La Tempête du Désert" (1990/91) Cheney dirigea egalement des opérations spéciales impliquant les rebelles kurdes en Iran du Nord. La source primaire du revenu des Kurdes depuis plus de 50 ans provenait de la contrebande de l’héroïne en Afghanistan et au Pakistan à travers l’Iran, l’Irak et la Turquie.

Ayant moi-même vécu une expérience personnelle avec Brown & Root, je pris soigneusement en note l’article du Los Angeles Times qui déclarait que le 22 mars 1991 un groupe de bandits armés fit irruption à Ankara, en Turquie dans les bureaux des compagnies jointes de "Risquez Vinnell et Brown & Root", et assassinèrent le retraité Sergent Chef de l’Armée de l’air, John Gandy.

En mars 1991, des dizaines de milliers de réfugiés kurdes, des ’actifs’ de longue date de la C.I.A., étaient massacrés par Saddam Hussein à la suite de la Guerre du Golfe. Saddam, cherchant à détruire les espoirs qu’une révolte kurde puisse être couronnée de succès , trouva facile de tuer des milliers de Kurdes indésirables qui s’étaient enfuis à la frontière de la Turquie pour y trouver refuge. Lê, des forces de sécurité turques - entraînés en partie par les associés Vinnell / Brown & Root - retournèrent de la frontière des milliers de Kurdes vers une mort certaine.

Aujourd’hui, la Société Vinnell (une cie de TRW) est une des trois principales corporations privées de mercenaires dans le monde, avec les sociétés MPRI et DynCorp (voir FTW, juin 2000). C’est aussi l’entité dominante dans la formation des forces de sécurité partout au Moyen-Orient.

Pas étonnant que les zones frontières turques en question étaient des points primaires de transportation pour l’héroïne produite en Afghanistan et au Pakistan, destiné pour les marchés de l’Europe.

Une source confidentielle de la région avec une certaine expérience dans l’Intelligence (services secrets) m’a par la suite affirmé que les Kurdes " ont reçu des ripostes de la part des gens qui avaient l’habitude de les aider à transporter leur drogue. Il a ouvertement reconnu que les deux firmes, Brown & Root et la Société Vinnell, avaient l’habitude de fournir une NOC ( couverture non officielle) pour les Officiers la C.I.A.. Mais ça, je le savais déjê .

De 1994 à 1999, pendant l’intervention américaine militaire dans les Balkans où, selon la revue du Christian Science Monitor et celle du Jane’s Intelligence Revue, l’Armée de Libération de Kosovo (KLA) contrôlait 70 pourcent de l’héroïne qui entrait en Europe Occidentale - Dick Cheney de Brown & Root a fait des milliards de dollars en approvisionnant les troupes américaines en équipements à partir des vastes installations situées dans la région. Jusqu’ê ce jour, Brown & Root appuient les opérations continues en Bosnie, au Kosovo et en Macédoine.

Les empreintes de pas de Dick Cheney sont venues plus près de la drogue qu’on pourrait le soupçonner. Le rapport du mois d’août 2000 du Centre for Public Intégrity les a rapprochés de plus près encore. Il serait correct de dire qu’il y a un lien direct à partir des installations de Brown & Root- souvent établies dans des régions éloignées et dangereuses - avec chaque région qui produit la drogue et chaque région qui consomme cette drogue dans le monde. Ces coïncidences, de par elles-mêmes, ne prouvent pas leur complicité dans ce commerce. Mais d’autres faits, cependant, mènent inévitablement dans cette direction.

UN LIEN DIRECT DE LA DROGUE À DICK CHENEY

Le rapport du CPI intitullé "Cheney a conduit Halliburton au Banquet du Fédéral ", écrit par les journalistes vétérans Knut Royce et Nathaniel Heller, décrit comment, pendant cinq ans sous le leadership de Cheney, la cie Halliburton, en grande partie par la filiale Brown & Root, a bénéficié de contrats fédéraux et des prêts guarantis par les contribuables pour la somme de 3.8 milliards $. Ces prêts avaient été accordés par la Export/Import Bank (EXIM) et la Société Privée d’Investissement Outre-mer (OPIC). Selon Ralph McGehee, de la base de la C.I.A., les deux établissements sont profondément infiltrés par la C.I.A. et fournissent routinièrement des NOC (couvertures non-officielles) à ses officiers.

Un de ces prêts fait au conglomérat banquier/financier russe du Groupe des Sociétés Alfa , comprenait une somme de 292 millions $ pour payer le contrat de Brown & Root qui consistait à remettre à neuf un gisement de pétrole sibérien appartenant à la ’Russian T Oil Company’. Le Groupe Alfa compléta son acquisition de 51 % pour cent du pétrole de Tumène dans ce qui était supposément une offre manipulée faite en 1998. Un rapport du gouvernement officiel russe revendique que les dirigeants oligarques du Groupe Alfa, Mikhail Fridman et Pyotr Aven, ont supposément participé au transit de
la drogue de l’Asie du Sud-Est à la Russie et dans l’Europe ". Ces mêmes cadres, Fridman et Aven, qui ont censément fait de la contrebande de l’héroïne en connexion avec la famille Solntsevo de la pègre russe , étaient ceux-lê mêmes qui avaient fait application pour des prêts que plus tard le lobby de Halliburton en guarantissa la sécurité. Par ce fait même, les opérations de Brown & Root dans les gisements de pétrole d’ Alfa Tyumen pourraient continuer et s’étendre.

Après avoir décrit comment les intérêts organisés criminels du Groupe Alfa avaient prétendument volé d’une façon frauduleusedes gisements de pétrole, l’histoire du CPI - utilisation de rapports officiels provenant du FSB (l’équivalent russe du FBI), des sociétés pétrolières telles BP-Amoco, d’anciens officiers de la C.I.A. et du KGB et de revues de presse - établissèrent alors un lien solide entre Alfa Tyumen et le transport d’héroïne. En 1995, les sacs d’héroïne déguisés en sucre avait été volés d’un conteneur de train loué par Alfa Eko et vendu dans la ville Sibérienne de Khabarovsk. Un problème surgi lorsque plusieurs résidants de la ville devinrent "intoxiqués" ou "empoisonnés".

Le récit du CPI rapporte également que : "le rapport du FSB affirmait que quelques jours avant l’incident, des agents du Ministère des Affaires Internes (MVD) avaient conduit des raids dans les entrepôts d’Alfa Eko et y avait trouvé de la drogue et d’autre documents compromettants.

"Les deux rapports prétendent que la Banque Alfa a blanchi les fonds d’argent provenant des cartels de drogue russes et colombiens.

"Le document du FSB revendique qu’ê la fin de l’année 1993, un officiel en chef du groupe Alfa a rencontré Gilberto Rodriguez Orejuela, ’maintenant emprisonné’, le cerveau financier du cartel renommé de Cali en Colombie, afin de conclure un accord pour le transfert d’argent dans la Banque Alfa à partir des zones "off-shore" comme le Bahamas, le Gibraltar et autres. Le plan était d’infiltrer cet argent dans l’économie russe par l’achat de valeurs/actions dans des sociétés russes.

"... Il [l’ancien agent du KGB] annonça qu’il existait des évidences pointant à la participation [de la Banque Alfa ] au blanchissage de l’argent des... cartels de drogue de l’Amérique Latine. "

Il est alors plus difficile pour Cheney et Halliburton d’affirmer que tout cela n’est que pure coïncidence, alors que le CPI rapportait qu’un avocat célèbre de Washington pour le Tyumen , James C. Langdon jr., de la firme d’Aikin Gump, avait "... coordonné la levée de fonds de 2.2 millions $ pour la campagne de Bush en juin. Il a alors consenti à aider à recruter 100 avocats et membres d’un groupe de pression de la capitale pour leur demander de verser 25,000 $ chacun dans la campagne de W. "

L’héroïne mentionnée dans l’histoire du CPI était originaire du Laos, où des alliers de longue date de Bush et des combattants secrets tels que Richard Armitage et le retraité de la C.I.A. Ted Shackley, ADDO (Associé Sous-directeur des Opérations), ont été liés à plusieurs reprises avec le trafic de la drogue. Ensuite il fit sa voie à travers l’Asie du Sud-Est au Viêt-Nam, probablement le port de Haiphong. Alors l’héroïne fut expédiée au port du Pacifique de la Russie de Vladivostok, duquel la drogue rebondissait à travers la Sibérie par train et ensuite par camion ou le rail vers l’Europe, passant à travers les mains des leaders de la Mafia russe en Tchétchénie et dans l’Azerbaïdjan. La Tchétchénie et l’Azerbaïdjan sont tous deux des foyers de conflits armés et d’exploration pétrolière et Brown & Root ont des opérations tout le long de cet itinéraire.

Comme décrit dans les publications précédentes de FTW, cette route longue , coûteuse et tortueuse fut établie à la hâte après que l’envoyé personnel du président Georges Bush, Richard Armitage, tenant le rang d’Ambassadeur, avait voyagé dans l’ancienne Union Soviétique en 1989 pour l’aider avec son "développement économique" . Les obstacles à créer un itinéraire plus direct, profitable et efficace de l’Afghanistan et du Pakistan par la Turquie vers l’Europe était un gouvernement cohésif Yougoslave/Serbe contrôlant les Balkans et perpétuant l’instabilité dans le Croissant D’or du Pakistan / Afghanistan. Aussi, il n’y avait aucune autre voie, employant l’héroïne du Triangle D’or (la Birmanie, le Laos et la Thaïlande) pour composer avec la Chine et l’Inde que de contourner ces pays.

Ce n’est peut-être pas encore une fois par coïncidence que Cheney et Armitage partage leur adhésion comme membres du prestigieux Institut Aspen, un groupe bipartisan exclusif de réflexion et de recherche et aussi dans le US/ Chambre de Commerce d’Azerbaïdjan. En novembre 1999, dans ce qui pourrait être un aperçu des choses de venir, Armitage a joué le rôle de Secrétaire de la Défense Nationale durant un exercice pratique au Conseil des Relations Étrangères, duquel Armitage et Cheney sont tous deux membres.

Beaucoup des meilleurs ’apparatchiks, serviteurs de longue date de Bush, tels Richard Armitage et le vétéran de la C.I.A. Ted Shackley, possèdent un lourd bagage en politique. Étant donné que le pouvoir du gouvernement est si également divisé après la longue élection arrangée de toute pièce, il est peu probable que des candidats controversés aux positions de cabinet comme Armitage ou Shackley feront face à un Sénat 50/50, lequel va plus vraisemblablement les valider. Armitage apparaîtra probablement comme conseiller quasi-officiel dans les régions troublées de l’Europe. Cela ressemble aux rôles qu’il exécuta pour George Bush en 1989 en Russie et en 1992 en Albanie. Les voyages d’Armitage sont prévus pour les conflits au Tchetchén et Kosovar et l’expansion effrénée du trafic de la drogue de ces régions.