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COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE
Publie le vendredi 26 décembre 2008 par Open-Publishing12 commentaires
Les Comores avaient reçu de la part de la France la promesse de l’octroi de l’indépendance dans le respect de l’ « intégrité territoriale » en témoigne la déclaration sur les Comores, de Monsieur Valery Giscard d’Estaing président de la république française fraichement élu dans le monde daté du 26 octobre 1974 :
« C’est une population qui est homogène, dans laquelle il n’existe pratiquement pas de peuplement d’origine française, ou un peuplement très limité. Est-il raisonnable d’imaginer qu’une partie de l’archipel devienne indépendante et qu’une île, quelle que soit la sympathie qu’on puisse éprouver pour ses habitants, conserve un statut différent ?
Je crois qu’il faut accepter les réalités contemporaines. Les Comores sont une unité ; il est naturel que leur sort soit commun, même si, en effet, certains d’entre eux pouvaient souhaiter – et ceci naturellement nous touche, et bien que, nous ne puissions pas, ne devions-nous pas en tirer des conséquences – même si certains pouvaient souhaiter une autre solution. Nous n’avons pas, à l’occasion de l’indépendance d’un territoire, à proposer de briser l’unité de ce qui a toujours été l’unique archipel des Comores. ».
22 décembre 1974, à la question, souhaiteriez-vous que le territoire des Comores devienne indépendant ? Les Comores ont répondu à une très large majorité pour le « oui ». (94,5 %)
Cela signifie que 94,5 % des comoriens souhaitent que le territoire des Comores dont Mayotte fait partie devienne indépendant.
Le 6 juillet 1975 Ahmed Abdallah déclare unilatéralement l’indépendance des Comores.
Le 12 Novembre 1975 l’Union Africaine (UA ex OUA), la Ligue Arabe et les Nations Unies ont admis les Comores (Gd-comore, Mohéli, Anjouan et Mayotte) en leur sein selon la résolution 3385 (XXX) : Les Comores est un pays indépendant composé de quatre îles : Gd-Comore, Mohéli, Anjouan et Mayotte.
Le 8 avril 1976, la France organise une consultation à Mayotte. (Alors que juridiquement Mayotte fait partie des Comores. C’est comme aujourd’hui, la France pose les mêmes questions aux anjouanais. Le 8 avril 1976, Mayotte avait le même statut que le statut actuel les 3 autres îles.)
Questions :
Je souhaite que Mayotte demeure au sein de la république française ou
Je souhaite que Mayotte fasse partie de l’Etat Comorien
Inscrits : 21671 Votants : 18061. Une très large majorité (17845 voix) avait choisi le maintien avec la France.
Le 11 avril 1976, la France organise une autre consultation à Mayotte.
Question :
Souhaitez-vous que Mayotte conserve ou abandonne le statut de territoire d’outre-mer ?
Inscrits : 21659
Votants : 17384
Bulletins blancs et nuls : 13 837 (ENVIRON 80%)
Exprimés : 3547(20,40%)
Abandon statut : 3457
Maintien : 90 (2,53%)
Marcel Henry (de parti mahorais) avait introduit un autre bulletin « parasite » (ce qui doit annuler normalement le scrutin) demandant le statut de département. On pouvait lire dans le TEMOIGNAGES du 13 avril 1976 :
« LA FRANCE RIDICULISEE
Au cours d’un referendum, elle pose deux questions à la population de Mayotte … QUI REPOND A MARCEL HENRY
De bout en bout, la consultation électorale qui s’est déroulée dimanche dernier 11 avril, à Mayotte a été une opération truquée, un vaste jeu de dupes et un coup de poker, perdu d’avance, d’aventuriers sur la scène internationale.
Chaque élément de la mascarade est à mettre au passif d’Olivier Stirn qui a couvert, incité, officialisé une duperie qui alourdit le dossier de la France, mise en accusation devant les instances internationales ; l’Organisation des Nations unies (O.N.U), l’Organisation de l’Union africaine (O.U.A) et la Ligue arabe.
Ce « referendum » a donné un résultat inattendu : la population de Mayotte avait à répondre par oui ou par non à la question de savoir si elle désirait que l’île qu’elle habite et qui n’était que l’une des portions d’un ancien territoire d’outre-mer conserve, à elle seule, ou non le statut qui s’étendait jusqu’en 1975 à l’ensemble de l’archipel des Comores.
A 87%, le corps électoral de l’île a répondu à une autre question que celle qui lui était posée et a donc donné une réponse que Paris ne lui demandait pas.
Car le gouvernement français était sensé organiser ce « referendum ». Mais, Marcel Henry, son groupe de pression économique et politique dans l’île s’est moqué de l’autorité gouvernementale française : il a posé à la population la question qu’il a estimé bonne à poser. Il a demandé aux habitants de l’île de se prononcer pour la transformation de Mayotte en département français. Il s’est saisi de l’exercice du pouvoir constitutionnel au nez et à la barbe de Paris qui, décidément, a perdu le contrôle de l’affaire.
Cette invraisemblable situation qui complique à souhait la position diplomatique de la France dans le concert international résulte de la « politique des coups de dés » menée par Olivier Stirn, dans les DOM-TOM.
A force d’en faire, Stirn sombre dans le ridicule. Il doit entériner le principe de la transformation d’une partie du territoire de l’Etat indépendant des Comores, en « département français d’outre-mer ».
Dans l’océan Indien et en Afrique, Olivier Stirn a porté à son sommet le prestige de la France, embourbée dans « l’aventure comorienne » »
La question que je me pose : qui doit voter à la prochaine consultation ? Said le franco-comorien, Jean François (le métropolitain), Abdou le fils du mahorais de mère « clandestine », qui doit prendre part à la seconde consultation (la première a eu lieu le 8 avril 1976) pour la transformation de Mayotte en département français ? Qui ?
Je persiste et signe la France est illégale à Mayotte. Les comoriens ont parfaitement le droit d’aller librement à Mayotte. Je n’ai jamais compris pourquoi les Comores acceptent d’accueillir les comoriens expulsés de Mayotte par l’administration française.
R. Gislaine
Messages
1. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 26 décembre 2008, 18:45
Pourquoi les Comores acceptent-elles les expulsés de Mayotte ?
Le gouvernement français aident financièrement les Comores. Ceci explique cela.
2. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 26 décembre 2008, 20:48, par ahamada
nous les comoriens de souche on est fatigue de cette histoire de la france
nous sommes des comoriens la nature nous a dit .nous avons les doubles nationalite comme les autres.on a meme pas envie de departement ce sont les
profiteur qui veulent ca au lieu d ouvrir plus grand les yeux pour penser a l avenir des comores ils veulent busnesser notres pays mais l histoire les ratrapera ils seront traduits ds une justice divine et non mondaine car cette derniere est corompue
3. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 26 décembre 2008, 22:42, par FAKIH
NAUFRAGE D’UN KWASA-KWASA AU LARGE DE MAYOTTE
MAYOTTE : DES CLANDESTINS CHEZ EUX !
Communiqué
Ce lundi 13 août, un nouveau kwasa-kwasa venant d’Anjouan a fait naufrage. Il avait, à son bord, quarante passagers. Dix-sept corps ont été repêchés, quatre personnes ont été admises dans un hôpital de Mayotte, tandis
qu’on comptait dix-neuf disparus en mer.
Au cours du mois de juillet, il y a eu au total cinq kwasa-kwasa échoués et près de 100 morts et disparus. Deux autres embarcations ont pu faire demi-tour à temps.
Dans le naufrage du 22 juillet dernier, il y a eu un mort, 26 disparus et 9 rescapés. Le 27 juillet, on comptait encore 4 morts, 22 disparus et 14 rescapés.
L’océan qui entoure les quatre îles de l’archipel des Comores constituent un cimetière pour des milliers de Comoriens depuis que le gouvernement Balladur a décidé, en 1994, d’instaurer une procédure de visa entre les trois îles effectivement indépendantes (Grande-Comore, Anjouan et Mohéli) et l’île encore sous administration française (Mayotte).
Face au drame du 13 août 2007, les médias français se contentent de dire que ce sont des « clandestins Comoriens » qui souhaitent se rendre dans « l’île française de Mayotte ». Or les choses ne sont pas aussi simples puisque la France, pour des raisons de stratégie militaire, a pris la décision en 1975 (au moment de l’indépendance des Comores), de couper Mayotte de ses îles sœurs en organisant en 1976 un référendum jugé nul par l’ONU. Elle a été condamnée plus d’une vingtaine de fois par des résolutions de l’ONU pour son maintien dans « l’île comorienne de Mayotte », reconnue par la communauté internationale dans son ensemble comme étant une des quatre îles de l’Etat comorien.
C’est cette revendication qui vaut à l’Etat comorien les nombreuses déstabilisations depuis plus de trente ans par l’intermédiaire de mercenaires français, comme le reconnaissait l’un d’entre eux lors du procès du tristement célèbre Bob Denard et trente de ses acolytes qui s’est tenu à Paris l’année dernière.
Mais une des armes redoutables de l’Etat français reste le chantage à la coopération ou au « co-développement » pour utiliser le nouveau vocable du néocolonialisme à la française. Ainsi, le nouveau gouvernement des Comores qui avait l’intention de réintroduire la « question de l’île comorienne de Mayotte » à l’ONU dès 2006 s’est vu signifier par l’Ambassadeur de France à Moroni qu’en marge des Accords de Coopération signés en 2005, un accord secret avait été également paraphé par les deux parties interdisant aux Comores de parler de cette question à l’ONU jusqu’en 2007.
Après la rencontre entre l’actuel Ministre des relations extérieures comoriennes, M. Ahmed ben Saïd Jaffar et le Secrétaire d’Etat à la coopération, Jean-Marie Bockel, puis le Secrétaire d’Etat chargé des DOM-TOM, Christian Estrosi, la société civile comorienne craint qu’encore une fois le gouvernement comorien n’ait accepté de retirer de l’ordre du jour de l’Assemblée Générale de l’ONU à l’automne prochain « la question de l’île comorienne de Mayotte » contre une aide économique. Pourtant, pour mettre fin aux drames que connaissent les Comoriens, il faudrait que les deux Etats trouvent une solution juste et conforme au droit international.
Les Comoriens n’ont jamais renoncé à Mayotte et ne le pourront jamais, d’abord parce que quasiment toutes les familles comoriennes ont des membres de leur famille établis dans cette île, ensuite parce que les transferts d’argent (ou le système d’assistanat) de l’Etat français ont rendu cette île de l’archipel plus riche que les autres constamment déstabilisées.
C’est en constatant cela que l’ancien Président du Conseil Général de Mayotte, Younoussa Bamana, qui vient de disparaître avait déclaré : « On peut en renvoyer tous les jours, ils reviendront. Allez pisser sur le mont Choungui, ça tombe quand même dans le lagon ». Pourtant, Mayotte demeure « l’illusion de la France » qui pense qu’il suffit de rajouter un troisième ou un quatrième radars pour empêcher ceux qui veulent se rendre à Mayotte de continuer à s’y rendre.
Depuis 1994 et l’instauration du « visa Balladur », il y a près d’un millier de morts comoriens chaque année dans des naufrages de kwasa-kwasa entre Mayotte et Anjouan. La France, en usant du droit du plus fort, a établi une frontière artificielle au sein d’un même Etat reconnu par toutes les instances internationales. Ainsi, elle porte la responsabilité de toutes ces morts et pourrait être poursuivie, entre autres pour déplacements de populations (qu’elle assimile à des reconduites à la frontière) à l’intérieur d’un même pays.
Collectif Comores-MasiwaMane
Comores_masiwamane@yahoo.fr
1. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 26 décembre 2008, 22:47, par salim soula
Selon le quotidien « les Nouvelles de Mayotte » de ce vendredi 4 janvier 2008, un drame de kwassa kwassa s’est déroulé le dernier jour de l’année 2007 à Anjouan. Un kwassa kwassa s’apprêtait à partir pour la traversée nocturne vers Mayotte. Comme d’habitude sur la plage c’est l’effervescence. On règle les derniers détails du voyage on embarque avec son maigre baluchon et l’ont part pour le voyage de l’espoir ou de la mort.
Retrouvés à Chirongui, les membres d’une famille sont dans l’angoisse de ne pas revoir leur femme, soeur, ou tante qui se trouvait à bord de l’embarcation. « J’ai eu un coup de fil vers 15 heures de ma femme qui était à Anjouan et qui m’a dit qu’elle prenait le kwassa, qu’il fallait que je recharge mon téléphone car elle m’appellerait dans la soirée, à minuit toujours aucune nouvelle. Je me suis levé et j’ai commencé à me renseigner pour savoir si la police n’avait pas intercepté un kwassa. Mais j’ai eu une information qu’un kwassa aurait coulé après son départ d’Anjouan. J’ai appelé là bas et on m’a confirmé qu’un kwassa s’était retourné après son départ. Une connaissance me l’a confirmé car cet ami devait monter sur le kwassa sur lequel se trouvait ma femme, mais il a renoncé au dernier moment car le kwassa était trop chargé. » explique le mari qui a appris par la suite que l’embarcation s’était éloignée pour mettre le cap sur Mayotte mais que devant les conditions météo défavorables le passeur a fait demi tour et c’est à ce moment là que le bateau a chaviré précipitant tout le monde à l’eau. Zaïna (photo) âgée de trente quatre ans qui ne savait pas nager, a disparu tandis que six personnes ont pu être récupérées vivantes.
Les autres ont disparu mais personne ne sait ce qu’il est advenu exactement. Certaines auraient pu regagner la rive à la nage le kwassa n’étant pas trop loin. Par contre 9 cadavres ont été récupérés par la population. Dans la famille de Zaina c’est la consternation car, le doute sur son sort existe encore d’autant qu’hier matin une autre nouvelle est arrivée d’Anjouan à son mari. Deux femmes et un enfant ont été retrouvés vivants dans un autre village. Sans plus de détail. L’espoir renaissait alors et l’attente se prolongeait car le rendez-vous téléphonique de midi n’a rien donné. « C’est pas sûr. Il faut que quelqu’un aille jusqu’au village pour savoir et il est loin » nous a confié la nièce de la portée disparue.
En attendant, la longue attente continue et la famille espérait avoir un contact dans la soirée qui permettrait à coup sûr de dire si oui ou non l’une des deux femmes retrouvées est Zaïna.
Déjà interceptée il y a deux semaines
Zaïna est l’une de ces femmes qui effectuent le voyage pour rejoindre leur famille installée à Mayotte.
Son cas est particulier dans la mesure ou elle est de père Mahorais comme ses deux sœurs qui ont obtenu leurs papiers (malheureusement l’une d’elles est décédée) alors qu’elle, malgré de nombreuses demandes ne les a jamais obtenus. « Elle a vécu toute sa jeunesse à Moroni avec sa mère donc pour elle c’était plus dur d’avoir des papiers car la préfecture lui demandait toujours d’autres certificats impossibles à produire explique la nièce. Un jour elle a été expulsée puis est revenue il y a deux semaines environ à bord d’un kwassa mais il a été arrêté par la police et elle a été de nouveau renvoyée.
Le 31 décembre elle a encore tenté de revenir mais il y a eu ce drame » explique sa nièce Fatouma (prénom d’emprunt).
L’espoir s’amenuise mais son mari et le reste de sa famille gardent l’espoir. L’espoir qu’une des deux femmes soit Zaïna. Elle sera vivante ce sera le principal.
4. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 27 décembre 2008, 12:49, par polémique
Une aide financière, avez -vous dit ?
Moi, je réponds " pinuts" ou cacaouettes pour les pigeons.
Ne confonfondez pas les millions d ’euros déversés, à juste titre peut être à Mayotte, et tant mieux, avec les "pinuts" donnés aux Comores semant ainsi la confusion dans les esprits naïfs.
Ce qu’il faudrait c’est une vraie coopération franche, sans intervention dans les affaires comoriennes( déstabilisation mercénariale,soutien au séparatisme......etc, etc ), des échanges libres dans les deux sens, y compris avec Mayotte, et profitables pour tout le monde.
Pour ce faire commencer par supprimer le visa baladur avec ses lots de morts.
5. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 29 décembre 2008, 11:37, par Souk Khan
L’Union des Comores reste, à vous lire, la victime expiatoire et innocente de la méchante France, ce léviathan, qui n’a jamais cessé de la destabiliser !?
Depuis plus de 30 ans c’est le seul refrain qu’on ne cesse de nous chanter pour expliquer la pronfonde misère qui grangrène ce pays. C’est visiblement l’explication et la réponse à tous les problèmes que rencontre cet Etat. Nombre de dirigeants irresponsables et tout bonnement incompétents se sont réfugiés derrière ce pseudo-argument.
L’Histoire avance, évolue, l’ère de la décolonisation, et de la "libération des peuples", est révolue. Il s’agit d’un thème démodé que seuls des pseudo-humanistes nostalgiques, des "cocos" et des "rouges" que l’Histoire a oublié derrrière elle, ressortent encore de temps à autre.
A Mayotte, à ma connaissance, il n’y a ni gisements de pétrole, ni mines d’or ou de cuivre, qui feraient défaut à l’Etat comorien pour se développer.
Comme dans nombre d’anciens pays colonisés, notamment en Afrique, la lutte pour l’indépendance, la vraie, a été pervertie et dévoyée de son sens par une minorité d’élite qui a plongé tous ces pays dans les plus grands désastres, faisant regretter, à certains moments, aux populations le choix qu’elles avaient fait.
La pression migratoire vers Mayotte ne s’explique pas uniquement sur une question de lien familial. Elle repose avant tout et surtout sur des difficultés économiques. Les candidats à l’aventure, pareillement à ce qui se passe dans la méditerrannée, prennent tous les risques pour fuir la misère avec le grand espoir de trouver une vie meilleure au-delà des mers.
Si les Comores avaient réussi à se développer, le débat actuel autour de Mayotte, ne déchainerait pas toutes ces passions insensées.
Toutes ces citations et ces évèments relatés dans l’article sont sortis de leur contexte et corrigés pour un nouveau scénario dans lequel une "victime" idéale subit les manoeuvres inavouables d’un "coupable" idéal.
Cette propension qu’ont certaines personnes pour ré-ecrire constamment l’Histoire est assez dangeureuse, car elle désigne à la vindict populaire des coupables "attitrés", qui ne sont pas forcément les bons, pour expliquer tout leurs malheurs !
Tout cela ne sert qu’à attiser la haine ! Et les Comores ont besoin de tout en ce moment, sauf de cela !
6. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 29 décembre 2008, 20:56, par kirikou
mayotte n’appartient plus aux comores,donc dire que les comoriens doivent rentrer à mayotte librement je ne suis pas d’accord.il ya des lois et elles sont faites pour etre respecteés ;ces comoriens nuient la santé ecomnmique de mon ile et apauvrissent mon ile.mayotte c’est la france que tu l’accepte ou pas et c’est pas tes dire qui vont changer les choses.
va voir comment ils nous pourrissent lavie là bas avant de faire de commentaires.
on ne rentre pas chez quelqu’un sans avoir farppé à la porte,(fais toi comprendre)
1. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 30 décembre 2008, 15:31, par grationnay
Mayotte, île des Comores
Du point de vue du droit international les choses sont claires, Mayotte appartient à l’Etat des Comores et la présence française y est tout à fait illégale -le territoire est toujours inscrit sur la liste des territoires à décoloniser de l’ONU-. On peut remarquer que la France reste le seul pays possédant des territoires à décoloniser pour l’ONU, mis à part quelques cas très particuliers comme certaines iles néozélandaises, avec par aileurs la Nouvelle Calédonie et la Polynésie. De ce fait les Comoriens se rendant à Mayotte ne sont pas dans l’illégalité mais bien dans leur droit. Faire de l’île un espace d’assistanat généralisé n’est absolument pas une solution viable à terme, à un moment de toute façon la France se retirera de Mayotte comme des derniers confettis de son Empire, il faut que l’île se réinsère dans son espace national et régional seule solution assurant son avenir.
2. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 31 décembre 2008, 14:07, par baba
Monsieur ya qelque cose que tu n’apas encore comprit, je t’invite vivement à lire trés bien à cet article dés le débuit. tu comprendra que c’est une histoir trés compliqué. et si s’été lés anjouannais qui on été pasé la question du 08 avril 1976 ?
7. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 31 décembre 2008, 13:57, par baba
Comme vous l’avez bien démontrer que la france voulait garder mayotte au sein de la république et éloigné les 3 autres s’était pa la meilleur. Mais je pense que même si c’est illégale aujourd’hui la plus part des habitants de l’archipel y comprit mayotte pensent que c’est la meilleur solution. On voie bien que mayotte à une liberté, a une vie meilleur que ces 3 soeurs. Certe, voir les cousins passé des épreuves trés difficils à mayotte ça fait mal, mais qui est ce qu’on peut faire ? Seul la république française à la solution. Faire révoter les comoriens comme il avait fait aux mahorais le 08 avrIl 1976, ça seré pas mal
8. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 7 janvier 2009, 08:51, par ali alimo m’djahila
POUR MOI mayotte fat parti des iles comores on a pas a jujé la dessus
si aujourd’hui c apelé les ils comores il ya ken mem une réson sur le drapeau il ya 4éTOILES ki represente les 4 iles il ya longtemps l’arrivé des africains sur c iles il ya vé pa de division on eté tous solider alors pourquoi ken un anjoiné immigre a mayotte on l’acueil pa comme il le fau c’est nos voisin,nos fréres,nos soeurs,nos meres,nos peres,nos grand-parents alors memes si la france ne pa avc eux me on doi etre solider il ya eu beaucoup des naufragés les freres risques leur vie ala recherche d’une belle vie alors ils prennent la mer commes chemain
Ps:je suis né d’une mere maoraise d’un pere malgache mé osi mon grand pere paternel venu de gr-comore mé g des couz1 osi sur les autres iles é les histoires des clandestins je trouve ke c bidon je vois ke nous les maorés on a tous perdu la foi on est des musulman ke sur la bouch me pa dans nos coeurs ALIMO ALI M’DJAHILA MAORé mé comorien ala vie juska la mort il fo ke ça change aréton les massacres assalam’anly’koum cher frere
9. COMORES / FRANCE : MASCARADES ELECTORALES A MAYOTTE, 25 janvier 2009, 12:26, par Jeunesse Anjouanaise Avertie (R)
UNION DES COMORES
COMORES/ POLITIQUE
QUI doivent donner les leçons aux autres ?
Un éminent politicien Anjouanais disait : « on peut se prétendre si fort mais pas devant le verdict de l’histoire, un verdict sans appel car c’est du vécu ».
Voyons le fil des évènements depuis l’Indépendance des Comores en 1975 jusqu’à nos jours :
1/ De 1975 à 1978, le Président ALI SOILIHI arrive avec sa jeunesse révolutionnaire ; DOSSAR, l’actuel Directeur de Cabinet de SAMBI et DHOIFFIR BOUMOU, Président de l’actuelle Assemblée de l’Union connaissent quelque chose. Ils ont dirigé les Comores avec des militaires étrangers, des Tanzaniens. Ils se réclamaient des nationalistes. Ça n’a pas empêché leur déchéance et l’assassinat d’ALI SOILIHI.
2/ De 1978 à 1989, le Président AHMED ABDALLAH arrive avec ses Dinosaures ; Messieurs MROUDJAE, ALI MLAHAILI, OMAR TAMOU, SAÏD HASSANE SAÏD HACHIM, Colonel ABDOURAZAC, AHMED ABDOU MOUHADJI…. Connaissent quelque chose ; ils ont dirigé les Comores avec les mercenaires de BOB DENARD. Ils revendiquent la paternité de l’Indépendance, bœuf à trois pattes, et se présument des nationalistes. Néanmoins, ça n’a pas empêché leur déchéance et l’assassinat du Président AHMED ABDALLAH.
MOUSTOIFA SAÏD CHEIK doit quand même se rappeler des sacs plastics de farine avec les cadavres des militants du FD jetés devant la mosquée de MAGOUDJOU.
3/ De 1989 à 1995, le Président DJOHAR arrive avec les Dinosaures d’AHMED ABDALLAH, puis avec ses bandits ; MCHANGAMA, MOHAMED ABDOU MADI, OUKACHA, MSAÏDIE, SAGAF connaissent quelque chose. Ils ont fait diriger les Comores par des Comoriens. Ils ont au moins institué le multipartisme, enterrant le parti unique d’AHMED ABDALLAH (UDZIMA).
Les bandits de DJOHAR se revendiquent réformistes et revendiquent la paternité du pluralisme politique aux Comores.
Néanmoins ça n’a pas empêché leur déchéance mais avec une différence : leur Président DJOHAR est déposé, déporté et non assassiné.
4/ De 1996 à 1998, le Président TAKI arrive avec ses UNDC ; Dr MOUHOUTARD, AHMED ABDOU MOUHADJI, HILAL… connaissent quelque chose. Les Comores restent entre les mains d’opérateurs douteux, les BOSONS de HILAL et les Arabes jamais apparus.
Néanmoins ça n’a pas empêché leur déchéance, mais une nouveauté : le Président TAKI disparaît par une mort au lit avec un doute d’empoisonnement. Le refus d’une autopsie par la famille de TAKI laisse planer le doute.
5/ De 1999 à 2006, le Colonel AZALI arrive avec ses militaires de la FCD. Le Colonel AZALI passe d’un régime putschiste à une Démocratie du style de l’Union Africaine. Il se dispute la paternité de la réconciliation Nationale avec l’UA.
Néanmoins ça n’a pas empêché son départ avec une autre version : un départ imposé et diligenté par des soldats étrangers sous drapeau de l’UA.
6/ 2006 à ce jour : SAMBI arrive, débarque à ANJOUAN avec des militaires étrangers et dépose MOHAMED BACAR qui arrive à échapper aux coups de feu mortellement prémédités.
Synthèse
Revenons en arrière : de 1997 à 2008, les Anjouanais se sont révoltés et se sont soustraits pour un moment de la République.
Néanmoins, durant toute cette période, l’Ile d’ANJOUAN a appartenu aux Anjouanais. Il n’y a eu, ni secours Tanzaniens, ni Soudanais, ni mercenariat de quelque nature que ce soit. Le 25 mars 2008, les AND et les Tanzaniens et Soudanais n’ont trouvé aucun soldat étranger. Ils ont procédé à la tuerie de compatriotes anjouanais comoriens. Ils n’ont trouvé aucun expatrié. Une Ile d’ANJOUAN aux anjouanais, et c’est ça le vrai nationalisme.
Une question aux Comoriens :
Le séparatisme est-il celui « d’ANJOUAN aux ANJOUANAIS » ou « les Comores aux mercenaires étrangers » ?
Remarque : SAMBI a coalisé avec les Dinosaures d’AHMED ABDALLAH et les jeunes révolutionnaires d’ALI SOILIHI pour bâtir une stratégie militaire destinée à démolir ANJOUAN et tuer les Anjouanais. Les deux générations ont un point commun : la violence mercenariale.
– l’une s’était confiée aux mercenaires de BOB DANARD et l’autre aux dictateurs Tanzaniens.
Les Comoriens jugeront un jour prochain.
Jeunesse Anjouanaise Avertie
UNION DES COMORES
COMORES / UA / Référendum Constitutionnel :
l’UA change de casquette- les Comores à la traîne
L’UA a bâillonné les anjouanais hier, elle inquiète tous les Comoriens aujourd’hui.
En 2001, l’UA conseille et préside à la paix aux Comores pour faire taire les armes, et mettre fin au séparatisme en offrant des garanties aux anjouanais.
En 2009, les anjouanais se rendent comptent que c’était de la ruse, de la tromperie.
La même UA est derrière SAMBI aujourd’hui pour faire revenir les Comores dans ses anciens statuts objets de la révolte de 1997 à savoir la centralisation du pouvoir à Moroni. C’est ce qui a fait fuir Mayotte, c’est ce qui a provoqué les anjouanais en 1997 et leur fuite n’est pas écartée.
A ANJOUAN, avec l’aide et la complicité de l’UA, les militaires de l’AND, de la Tanzanie et du Soudan ont impunément mutilé, handicapé, déporté les anjouanais avec tous les dégâts dans les foyers : adultères, viols et on ne citera jamais assez…
Assise à BANDJANANI - Moroni dans leur palabres, la classe politique de Ngazidja s’en réjouissait ; elle réclamait même qu’on fasse traverser à pieds la ville de Moroni les déportés d’ANJOUAN. Que DIEU leur prête bon cœur pour la suite des événements.
La classe politique de l’autre côté retiendra
Il a été vérifié que les Responsable anjouanais se seraient accaparés de l’Ile mais jamais ils ne l’ont vendue à des riches pour avoir des dividendes, jamais « l’anjouanneté » n’est vendue à aucun apatride friqué soit-il, n’est ce pas Monsieur le Député CRC Nationaliste, Président du groupe parlementaire de l’opposition et vice- Président de l’Assemblée de l’Union ?
Actuel Projet de Constitution de SAMBI et de l’UA
La nouvelle Constitution de SAMBI et de l’UA se résume en trois Institutions : un ¨Président à vie (SAMBI) , un Gouvernement de l’Union (de SAMBI) et une Assemblée de l’Union (de SAMBI à mettre en place avec l’aide des militaires arabes déguisés en Apatrides très milliardaires mais qui fuient leur pays respectifs et qui renoncent à leur propre nationalité). Pour SAMBI, la récréation pour la classe politique est terminée : elle se soumet, ou elle choisit entre la mort et l’exil.
Qui vivra verra, n’est ce pas Messieurs MLAHAILI, MROUDJAE, Dr MOUHTAR, Patron du FD !!!
Jeunesse Anjouanaise Avertie
UNION DES COMORES
COMORES / un pays record en Constitutions
Classe politique comorienne interpellée
Depuis l’Indépendance des Comores en 1975, les Comores sont passés de : Etat Comorien (ALI SOILIHI) à République Fédérale Islamique des Comores (AHMED ABDALLAH avec deux révisions 1982 et 1989), République Islamique des Comores (MOHAMED TAKI), République des Comores (Colonel AZALI et sa Charte), Union des Comores (Constitution de l’UA). Au total, les Comores ont déjà vécus sept Constitutions y comprises les révisions.
SAMBI s’enflamme encore et progresse vers la huitième Constitution.
Il est surprenant que la Classe Politique Comorienne croit encore que les Comores deviendront riches et que les Comoriens s’aimeront beaucoup plus à travers un type de Constitution qu’on cherche toujours depuis plus trente ans.
Message honnête aux Comoriens- Politique politicienne en récréation
Il y a toujours eu une ruse toujours développée par la classe politique Comorienne. Il faut changer. Les politiciens comoriens ont toujours pris en otage le vocabulaire « nationalisme » en otage.
Aux Comores, tout repose sur la définition des vocabulaires : Unité nationale, nationalisme.
Unité nationale et nationalisme ne sont pas conditionnés à un système politique totalitaire, avec la centralisation du pouvoir entre les mains d’un seul homme.
Les Fédérations, les Confédérations, les Organisations Régionales ont bien montré leur preuve d’Unité, que ce soit en politique ou en matière de Développement Economique. La première puissance politique et Economique mondiale n’est autre qu’une Union d’Etats, (Etats Unis d’Amérique).
L’autonomie des régions en Afrique du sud, au Nigéria, en Suisse… n’ont jamais été un handicap pour un Développement économique et un rôle de premier plan politiquement. Arrêtons de tromper les Comoriens en leur disant que les autonomistes sont des séparatistes et que les unionistes associés à des mercenaires sont les vrais nationalistes qui s’inspirent pour tout décollage économique du pays.
Voyons ailleurs : à l’est de l’Europe, on avait commencé par URSS (Union des Républiques Soviétiques Socialistes) pour revenir à un système d’Etats éclatés en Etats Indépendants qui se développe encore mieux.- A l’ouest : on avait commencé par le renforcement de l’éclatement avec des Etats Indépendants et rivaux (Allemagne – France) pour atterrir sur l’Union Européenne.
Jeunesse Anjouanaise Avertie
UNION DES COMORES
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Comores/Autonomie des Iles
Quelle formule pour une efficacité dans le temps.
Il est question de s’y adapter.
Les Comores sont un Pays- archipel, des frontières inter-Iles naturellement imposées par l’Océan. Il faudrait y tenir compte et tout serait facile. Quant les comoriens se rencontrent, à travers l’expression, l’Ile de provenance s’affiche sans pour autant qu’on invoque la notion d’ethnie. Les secteurs économiques promettant varient d’une Ile à une autre avec un peu de commun.
La compétition économique positive inter-Iles peut bien constituer un vecteur d’engagement de nos populations.
En regroupant tous ces éléments, le centralisme administratif et politique ne peut avoir de place. L’Autonomie des Iles s’impose ; il sera question d’éviter toute orientation négative de l’Autonomie.
Que faut-il éviter pour renforcer l’Autonomie ?
Regardons- nous en face : on ne peut parler d’Autonomie des Iles, de Tournante, d’équité politique sans parler d’équité économique et financière :
1-Tournante : équitablement chaque Ile occupe la Présidence à tour de rôle et pour la même durée.
2-Autonomie des Iles : chaque Ile gère librement ses propres affaires.
Il reste deux aspects à clarifie, et tout sera sur rails : le financement des Institutions et le partage de l’Aide Internationale.
3-justice : Cour Constitutionnelle
4-Armée : Forces de Sécurité Intérieure dans les Iles.
Pour ce qui est de la Tournante, Autonomie des Iles et Justice, le financement du fonctionnement se ferait dans l’équité : les membres du cabinet Présidentiel de l’Union et ceux de la Cour Constitutionnelle et de l’Assemblée de l’Union relèveraient financièrement de leur Ile respective. D’ailleurs il serait conseillé que les délibérations des dispositions législatives relevant de l’Union puissent se prendre à travers une Assemblée Nationale qui ne serait autre que des Congrès des Assemblées des Iles convoqués pour la circonstance par le Président de l’Union en exercice.
Il serait trop illogique de revendiquer la parité au niveau des compositions des superstructures sans parité au niveau des prises en charge sur le fonctionnement.
Aides Internationales
Les aides Internationales doivent être reparties proportionnellement aux destinataires qui ne sont autres que les Comoriens.
Il est entendu que si on parle parité politique, ça ne peut aucunement concerner une parité pour les Comoriens.
Quand il s’agit des aides Internationales, elles sont destinées aux populations donc il doit y avoir parité mais au niveau des destinataires des aides, d’où un des quotas proportionnels au nombre d’habitant de chaque Ile.
Armée –Sécurité
Il n’y a plus de guerre en ces temps. De plus, les Comores ne peuvent se doter de moyens exclusifs pour se défendre en cas d’attaque étrangère. Avec un pays- archipel, seule la responsabilisation des Iles en matière de sécurité pourrait être efficace. La Force de Sécurité Intérieure peut être dotée de compagnies spécialisées pour les domaines Jugés plausibles.
Une AND stationnée à Moroni sans transall, sans sous-marins, sans bateaux de guerre, sans même centrale de Télécommunications, on ne voit du tout pas son utilité si ce n’est « naïlé- yilalé », manger et dormir, et éventuellement la guerre contre ses propres citoyens dont ils ont la charge de défendre. Sinon se livrer au contrôle routier pour des rançons etc.
Au fait, l’attribution de la Défense Extérieure des Comores à la France comme jadis reste une des Solutions les plus pragmatiques. On peut évoluer un jour vers une force Régionale de l’Océan Indien qui inclurait toujours la France par rapport à Mayotte et la Réunion.
Jeunesse Anjouanaise Avertie
UNION DES COMORES
COMORES /MAYOTTE- département français
Pour SAMBI : l’argent du beurre et non le beurre.
J.A.A se sent à l’aise d’avoir opté pour le respect du choix mahorais de rester française ; même en politique il faut connaître dire tout haut ce qu’on pense et surtout ce qu’on ne peut s’y opposer. Un adage ridiculisant « détester le beurre tout en aimant l’argent du beurre ».
J.A.A interpelle SAMBI
1- Si Mayotte n’était pas restée française, que seraient devenus les centaines d’anjouanais pourchassés par votre armée alliée aux mercenaires tanzaniens ? ils auraient succombés sous les coups des tortures, des séquestrations et des balles des kalaches-Nikov des assassins de l’AND, tanzaniens et soudanais. Mayotte avec son statut, ça a volé au secours de milliers de vies anjouanaises.
Merci la France, merci Mayotte
2- En décembre 2008, sans avoir eu froid aux yeux, SAMBI vous avez réceptionné du matériel à l’hôpital El Maarouf de Moroni, matériel payé et convoyé à Moroni par le Conseil Général de Mayotte.
Les arabes tant loués demeurent toujours à la pose des premières pierres de leurs investissements ; ils continuent à s’approprier ce qui existe déjà acquis par la Coopération Internationale transparente pendant que les comoriens crèvent de faim et de maladie.
SAMBI, tu dois dire merci à la France, merci à Mayotte française.
3-SAMBI, tu dois avoir honte. L’épouse de ton chouchou Président d’ANJOUAN MOUSSA TOYBOU, a pris l’avion à ANJOUAN vers l’hôpital de Mamoudzou pour son accouchement la semaine dernière sous les yeux moqueurs des anjouanais présents à l’aéroport d’OUANI. MOUSSA TOYBOU lutte pour la Nationalité Française à son futur enfant en application du principe du droit de sol.
SAMBI ! Tu dois dire merci à la France et aux mahorais.
4-SAMBI, tu as payé quatre mois d’arriérés de salaire avec l’argent du FMI dirigé par le français D.S.K. et de l’Union Européenne.
Dis merci à la France.
SAMBI où sont les dollars de tes apatrides arabes ?
5- SAMBI ! Un hôpital de référence est en projet pour ANJOUAN par des crédits du Conseil Général de Mayotte.
SAMBI, tu dois dire merci à la France et aux mahorais.
Aux mahorais qui hésiteraient encore pour un oui au référendum, réfléchissez plus d’une fois.
Les anjouanais se battent pour être là où vous êtes aujourd’hui, ils n’y arrivent pas.
En Union des Comores c’est le vrai désastre ; ce sont les comoro-français qui posent de problèmes sinon chez nous : privation de liberté, de grève ; la faim et la maladie sont les règles ; les détournements de deniers publics font rage ; les terroristes arabes deviennent maîtres du pays ; la Comorienneté est mise en vente, le territoire, les hommes, les femmes, les filles…
J.A.A souhaite beaucoup de réussite aux mahorais au Référendum Départemental pour qu’ils puissent nous venir en aide à ANJOUAN.
Que de bons vœux à Mayotte pour son admission comme 101 ème Département Français.
Jeunesse Anjouanaise Avertie