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Capitalisme et loi de la jungle

Publie le mercredi 23 mai 2007 par Open-Publishing
3 commentaires

C’est un peu la même chose. Le capitalisme, c’est la loi du plus fort, impitoyable envers le plus faible. Le capitalisme, s’il n’est pas social-démocrate dans le véritable sens du mot, est une variante du fascisme.

Malheureusement, par les temps qui courent, on semble s’éloigner de plus en plus de la sociale-démocratie. Aux États-Unis, on ne l’a jamais connu et on voit ce que cela donne. Ce pays est dévasté par des inégalités sociales criantes. Au point de vue international, ce pays n’hésite pas à employer la force ou à menacer de la force.

Le monde a besoin d’une société où règne l’harmonie et dans laquelle les besoins de chacun sont comblés comme le demande d’ailleurs la déclaration des droits de l’homme ; un revenu décent permettant de combler les besoins élémentaires comme le logement, la nourriture, l’habillement.

Ne sommes-nous pas tous nés pour le bonheur ? Et la raison de vivre d’un être humain sur cette terre n’est-elle pas de rendre les autres humains heureux ?

Messages

  • En lisant cet article, je me suis dit que ça serait intéressant de décortiquer la politique libérale des USA, de façon à ce que les gens qui veulent du Sarko sachent à quoi s’attendre. Parce qu’après ça sera trop tard pour revenir en arrière.

    Passer au peigne fin les pays nordiques comme la Suède, la Norvège, et puis l’Allemagne. Faire un tableau comparatif entre tous aiderait bien à la compréhension du débat qui agite les français, mais que les journalistes sont infichus de voir, parce qu’ils ont abandonné leur déontologie. Ils peuvent tenter de se vicitimiser à la TV comme j’ai vu un certain jour, la sauce ne prend pas. Ils sont la honte du métier qui va finir par crever tout seul. D’ailleurs les infos on va se les chercher par d’autres voies. j

  • L’auteur à cru bon signaler :
    « Malheureusement, par les temps qui courent, on semble s’éloigner de plus en plus de la sociale-démocratie »

    Tant mieux, le fossé doit être clairerment délimité entre les tenants du capitalisme et leurs représentants "vaseline-light" que sont les soc-dems.
    Le centrisme n’est qu’une vague fumisterie destiné destiner à diluer la gauche molle dans le marigo de l’indécision profitable au système.