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Communiqué de l’UD FO 29

Publie le samedi 30 octobre 2010 par Open-Publishing
8 commentaires

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Forte de la mobilisation de la journée de grève et de manifestation du 28 octobre, et pour prendre le relai des grévistes, des raffineries… continuer et étendre le mouvement de rejet de la loi sur les retraites, l’Union Départementale FORCE OUVRIERE du Finistère appelle à une journée de grève et de manifestation le jeudi 4 novembre. Elle invite l’ensemble des organisations syndicales du Finistère à se joindre à cet appel.

Messages

  • pareil pour le morbihan
    il me semble que FO 56 donne RDV a Lorient le 4 novembre 15h

    • a vérifier car ils en ont peu parler mais a Lorient le mardi 2 novembre il y aurait une conférence de presse devant la sous préfecture (CGT mais vont ils laisser parler les autres syndic ? les étudiants ? lycéens ? et bien sur les non syndiqués ?)

      Je ne savais pas pour l’appel de FO 56 il me semble aussi que la ceget appellerai a aller a Plouay le 4 novembre.

      Il faut appeler a des AG populaire ou les gens prendraient des décision et que les Syndic suivent (et non l’inverse comme actuelement)

    • Pour plus de précisions
      Voici un communiqué de l’AG interlutte dont entre autres, l’UD FO 29 et Sud étaient présents à brest

      Communiqué du 30 octobre 2010

      Ce dernier mois, le blocage du pétrole s’est révélé être l’enjeu stratégique capable de faire plier le gouvernement face à la réforme des retraites. Nous avons reçu un fort soutien de la part des automobilistes et passants lorsque nous bloquions le dépôt pétrolier de Brest. Nous avons ainsi réussi à créer un réel rapport de force.

      Depuis quelques jours, le gouvernement veut nous faire croire que la mobilisation est en déclin. Pourtant, en période de vacances scolaires, la manifestation du 28 octobre a rassemblé deux millions de personnes.

      Aujourd’hui, l’enjeu du blocage économique reste d’actualité, mais il nous faut trouver de nouveaux moyens de l’effectuer. Nous ne voulons pas que la lutte se fasse par procuration. Se mettre en grève est nécessaire. Il appartient à chacun et chacune de rejoindre la lutte. C’est pourquoi le jeudi 4 novembre aura lieu une journée de grèves et d’actions appelée par plusieurs unions départementales des syndicats FO et SLB. D’autres organisations syndicales se joindront sans doute à ces appels.

      L’assemblée Interluttes appelle le jeudi 4 novembre tou-te-s les salarié-e-s, chômeur-euse-s, étudiant-e-s et lycéen-ne-s à se mettre en grève et à participer à une journée de blocage des marchandises en ciblant en priorité les centrales d’achat et à défaut les supermarchés, et ceci à l’échelle départementale.

      L’assemblée Interluttes rappelle qu’un Point d’Information et de Coordination (PIC) se tient quotidiennement à la salle de la maison des syndicats.

      Assemblée Inteluttes
      PIC, salle des syndicats, rue de l’Harteloire
      http://retrait.canalblog.com/

  • Le journaliste Frederic Charpier vient de publier un ouvrage intitulé "LA CIA EN France 60 ans d’ingérence dans les affaires française." Le site Bakchich en a publié quelques extraits. Nous présentons de notre côté la partie syndicale du livre proposée par ce site et notamment les financements et le rôle de la CIA dans la création de FO. Il est également question de la CFTC dans l’octroi de fonds transitant par la CIA et la centrale syndicale américaine l’AFL. L’ingérence de la CIA dans ces années de guerre froide est partiellement connue, l’intérêt du livre étant d’en étayer les différentes étapes.

    … extraits du livre ci dessous...

    L’ingérence de la Central Intelligence Agency dans les affaires françaises depuis 60 ans est méconnue. Le livre du journaliste Frédéric Charpier "La CIA en France" (Le Seuil) lève un coin du voile. Extraits exclusifs et petits plus de Bakchich. Premier volet de notre série : quand la CIA finançait ses alliés anti-communistes dans les années d’après-guerre.

    La Central Intelligence Agency, la principale agence de renseignements américaine, traîne une réputation sulfureuse. Et c’est souvent justifié. Depuis sa création dans le contexte de la guerre froide en 1947, elle n’a cessé d’espionner et d’intervenir, au nom des intérêts américains, aux quatre coins du monde. En France, ses ingérences sont encore méconnues. Et c’est bien le mérite du journaliste Frédéric Charpier de nous en dévoiler certains volets, dans un livre-enquête « La CIA en France, 60 ans d’ingérence dans les affaires françaises, (Le Seuil, sortie le 10 janvier) fourmillant de détails et de personnages parfois aussi inquiétants que pittoresques.

    Hommes politiques, patrons, syndicalistes, intellectuels, journalistes : il est peu de milieux que les agents de la CIA en France n’aient tenté d’approcher, d’infiltrer, d’influencer de manière directe ou indirecte. Au nom de la lutte contre le communisme, ennemi suprême, les espions se sont mêlés de beaucoup de choses, souvent à tort et à travers, allant jusqu’à établir des plans secrets (le « Plan Cloven ») avec le gouvernement français en 1952 pour tenter de « liquider » le Parti communiste français.

    Sans être toujours décisive, « l’ingérence » de la CIA a pu semer le trouble, déstabiliser des personnes, influencer des stratégies, financer des amis, mener une guerre clandestine, autant psychologique que politique. Le livre de Frédéric Charpier raconte quelques-unes de ces opérations clandestines, principalement celles des années d’après-guerre jusqu’aux années 70. Avec quelques jolis épisodes que vous dévoile Bakchich, en exclusivité et en plusieurs épisodes.

    Un joli coup de coupe à Force ouvrière

    1947. La Guerre froide bat son plein. L’URSS veut pousser ses pions en Europe, notamment en France et en Italie, où les partis communistes disposent de bases électorales et syndicales solides. Créée sur instruction du président américain Truman, la CIA entend bien contrer cette offensive. Elle envoie pour cela à Paris l’un de ses agents d’influence les plus actifs, Irving Brown, nommé officiellement délégué général pour l’Europe du puissant syndicat américain AFL (American federation of labor). C’est lui qui se charge de soutenir la scission du syndicat ouvrier CGT, dominé par les communistes, pour créer Force ouvrière (FO).

    « Depuis 1946, Brown intrigue et manœuvre pour rompre l’hégémonie communiste à la direction de la CGT. Dans ce but, il appuie la fraction Force ouvrière qui s’est constituée depuis 1944, dirigée par Léon Jouhaux et surtout Robert Bothereau, un militant syndicaliste aguerri qui, depuis le 27 août 1944, siège au bureau et au secrétariat général de la CGT, réinstallée dans ses locaux historiques de la rue Lafayette. Divisée avant la guerre, la CGT s’est réunifiée lors d’une réunion clandestine qui s’est déroulée au Perreux en 1943.

    Or, les anciens clivages sont toujours vivaces. Beaucoup de militants n’ont jamais admis cette réunification. Depuis décembre 1944, Robert Bothereau encadre une fraction anticommuniste regroupée autour d’un journal intitulé Résistance ouvrière, et, en septembre 1946, il suscite des groupe baptisés « les amis de FO », qui formeront bientôt Force ouvrière.

    Car la scission est en route. Officiellement, Robert Bothereau défend une stratégie de reconquête de la CGT. Mais les chances que ses amis et lui puissent prendre le contrôle de l’appareil dirigeant, où ils restent minoritaires, sont minces. Officieusement, le but poursuivi est plus réaliste : entraîner dans une scission le plus grand nombre de militants de la CGT, objectif atteint à la fin de 1947.

    La conférence nationale des Amis de FO se prononce le 18 décembre pour la création d’une nouvelle centrale. Bothereau remet sa démission du secrétariat confédéral de la CGT le 29 décembre 1947. Tout au long de la crise, il a chroniqué l’événement dans la rubrique « Le drame confédéral » de Force ouvrière. Il y passe sous silence le soutien logistique et financier que les scissionistes ont reçu d’Irving Brown, mais aussi du puissant syndicat allemand DGB et des trade-unions britanniques qui servent de relais à l’AFL (…)"

    En 1949, la CIA intervient dans la foulée, via l’AFL et l’une de ses branches étrangères, le Free Trade Union Committee (FTUC) dirigée par un agent de la CIA, Jay Lovestone, et son ami Irving Brown, pour diviser la Fédération syndicale mondiale. L’AFL et le FTUC envoient régulièrement de l’argent à Force ouvrière, qui peine à boucler ses fins de mois, comme le prouvent les documents inédits que Bakchich a exhumé de ses cartons, évoquant des versements de 25 000 dollars à FO et des soutiens financiers à certaines fédérations(voir doc joints). Or l’argent de l’AFL et du FTUC provient notamment des officines de la CIA et des crédits détournés du plan Marshall, qui aident à la reconstruction de l’Europe.

    "De 1948, les fonds du plan Marshall alimentent aussi le FTUC, qui peut compter sur au moins 5% des 13 milliards de dollars destinés à l’Europe occidentale. En fait bien davantage, puisque ce sont 800 millions de dollars qui seront finalement attribués aux opérations de l’AFL à travers le monde. Ces largesses s’expliquent par les relations amicales qu’entretiennent à Paris, Irving Brown et Averell Harriman, le responsable du plan Marshall, dont les bureaux, d’abord installés dans l’hôtel de Talleyrand place de la Concorde, non loin de l’ambassade américaine, émigreront dans un appartement plus discret de la rue Barbet-de-Jouy, dans le VIIème arrondissement (…)

    Lorsque la manne du plan Marshall se tarit, en 1951, la CIA prend le relais : sa division des organisations internationales subventionne les activités clandestines de l’AFL, comme le révélera publiquement Thomas Braden, qui a tenu les cordons de la bourse pendant quelques années (…)

    Braden a fait l’aveu de ces financements non pour les critiquer, mais pour en faire l’éloge. De 1951 à 1954, sa division a versé à Lovestone et Brown 1 million de dollars par an, et même 1 600 000 dollars en 1954. Ces fonds étaient destinés à Force ouvrière, mais aussi aux syndicats italiens, aux dockers de Marseille et d’autres ports méditerranéens et à d’autres opérations à caractère syndical. Œcuménique, Braden a reconnu avoir fourni des fonds à la CFTC (Confédération française des travailleurs chrétiens) et en a même précisé le cheminement. »

    Des fonds secrets pour la presse socialiste

    Durant la même période, la CIA n’hésite pas à soutenir, outre les syndicats « réformateurs », les partis politiques capables de barrer la route au communisme. Parmi eux, figurent, à leur yeux, les socialistes français de la SFIO (ancêtre de l’actuel Parti socialiste, né en 1971) qui se débattent, eux aussi, dans de sombres difficultés financières, notamment pour éditer leurs journaux. Heureusement, ses dirigeants, dont Léon Blum, savent frapper aux portes de la CIA, ou plus exactement de ses guichets que sont, via l’OPC (une antenne du Département d’Etat), le syndicat FTUC et l’ILGWU, un syndicat américain dirigé par David Dubinsky, proche de la centrale de renseignements.

    « Depuis la Libération, certains journaux français ne survivent que grâce aux subsides du plan Marshall. En particulier ceux du groupe de presse socialiste de la SFIO. Le FTUC, dont l’OPC est un des bailleurs de fonds, a versé 20 000 dollars, puis 15 000 supplémentaires. Ces aides remplissent les caisses vides et permettent de faire face aux échéances critiques, sans néanmoins apporter un remède au mal chronique dont souffre la presse socialiste.

    Le 16 juin 1948, Léon Blum appelle de nouveau à la rescousse le président de l’ILGWU, David Dubinsky, et l’informe que sans aide urgente, Le Populaire risque d’affronter une tempête qui pourrait lui être fatale. La même année, Léon Blum tente d’obtenir de Dubinsky qu’il finance en remplacement du Populaire un nouveau quotidien socialiste. Le projet n’aura aucune suite. Dans les années d’après-guerre, hormis les fonds secrets gouvernementaux, d’ailleurs le plus souvent d’origine américaine, David Dubinsky et son syndicat ont été une source régulière de financement pour le quotidien de la SFIO. Sans doute ont-ils sauvé la presse socialiste française du naufrage. »

    Un appui direct aux mouvements pro-européens

    La CIA multiplie les contacts avec les milieux intellectuels, soutenant des revues, des journaux, des agences de presse, de symposiums, des rencontres, des congrès où l’on croise notamment le sociologue Raymond Aron. Elle soutient surtout les mouvements politiques pro-européens, où officient des leaders tels que l’ancien résistant Henri Frenay, le futur père de l’Europe Jean Monnet, ou le jeune ministre François Mitterrand.

    « A l’échelon politique, Washington appuie et finance donc les courants de pensée proeuropéens, alors représentés par les fédéralistes et les partisans d’une union européenne. Il s’agit en fait de donner une substance politique à l’esprit de reconquête, de consolider le bloc occidental qui, en cas de conflit, sera naturellement en première ligne (…) En novembre 1947, se crée un comité de coordination qui rassemble l’UEF (Union européenne des fédéralistes (présidée par Henri Frenay), l’United Europe Movement de Winston Churchill, le Mouvement pour les Etats-Unis socialistes d’Europe de Jean Monnet et les Nouvelles équipes internationales.

    Du 7 au 10 mai 1948, le Comité international de coordination organise à La Haye un congrès international, sous la présidence d’honneur de Winston Churchill et en présence des souverains des Pays-Bas. Trois ans seulement après l’armistice en Europe, ce congrès marque la naissance du Mouvement européen, qui n’existera officiellement que le 5 janvier 1949, à la suite d’une réunion solennelle qui se tiendra à New York sous les auspices de la fondation Woodrow Wilson, du nom de l’ancien président des Etats-Unis.

    Présidées par l’Anglais Enthony Eden et le Hollandais Paul Van Zeeland, les séances plénières (du congrès de mai 1948) se déroulent dans un ancien relais de chasse, la Ridderzaal, dite salle des chevaliers du château de La Haye. Dix-sept pays sont représentés, dont la France, la Grande-Bretagne, la Belgique, les Pays-bas, l’Italie et l’Allemagne, les même qui vont en 1949 créer l’OTAN et signer le Pacte atlantique.

    Près d’un millier de délégués sont présents, dont douze anciens premiers ministres (parmi eux les Français Paul Ramadier et Paul Reynaud), de nombreux ministres et parlementaires (dont François Mitterrand), ainsi que des intellectuels qui, pour la plupart, participeront l’année suivante à la fondation du Congrès pour la liberté et la culture. (…)

    Quelques fonds du plan Marshall ont servi à l’organisation du congrès de la Haye, couvrant les frais d’hébergement des 750 participants. Mais s’il veut s’inscrire dans la durée , le Mouvement européen a besoin d’aides financières importantes, régulières et d’un camouflage approprié pour ses canaux de financement.

    Ainsi apparaît en 1949 le Comité américain pour l’Europe unie (CAEU). Son staff dirigeant comprend notamment plusieurs anciens pontes du renseignement comme William Donovan (ex-patron de l’OSS, ancêtre de la CIA) qui en est le président, et sn vice-président Allen Dulles, directeur des plans à la CIA (…)

    A partir du printemps 1949, la machine se met en place. Les subventions pleuvent sur les mouvements proeuropéens. Le Comité et la CIA, son principal bailleurs de fonds, débloquent une première tranche d’u peu moins de 14 millions de francs, qui permet de financer les premières réunions du Conseil de l’Europe de Strasbourg. Peu à peu et par le biais de circuits financiers labyrinthiques, les proeuropéens empochent entre 1949 et 1951 l’équivalent de 5 millions d’euros. »

    © Editions du Seuil, 2008

    http://www.amazon.fr/CIA-France-ding%C3%A9rence-affaires-fran%C3%A7aises/dp/2020818817

    http://www.seuil.com/fiche-ouvrage.php?EAN=9782020818810

  • FO FOut le bordel à Pontivy, et à vannes, qu’ils se démerdent maintenant , à lire cet article de Ouest france.

    1200 manifestants dans les rues de Pontivy
    vendredi 29 octobre 2010 - Ouest France

    Hier, 1 200 manifestants étaient présents dans les rues de Pontivy.
    Moins de monde, c’est certain. Un chiffre qui ne traduit pas forcément une fin du mouvement, selon certains manifestants. Un nouveau rassemblement est prévu le 6 novembre sur La Plaine.
    Deux cortèges...

    C’est mieux qu’un ? Pas sûr. À l’issue de la manifestation, les représentants de l’intersyndicale se sont empoignés, verbalement, avec les représentants de Force ouvrière. Car en cours de manif’, ces derniers ont préféré rallonger le parcours intialement prévu, emmenant au passage une partie des manifestants. Vers 11 h 30, il n’y avait plus une manif mais deux, à Pontivy. « Vous donnez une image déplorable de la lutte syndicale », s’est navré l’intersyndicale à l’adresse de FO. « Restons unis, ont déploré d’autres militants. Arrêtez... » Hier, l’unité du mouvement à Pontivy en a pris un coup.

    http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-1-200-manifestants-dans-les-rues-de-Pontivy-_-1568189------56165-aud_actu.Htm

    Une partie des manifestants détournée vers la préfecture à Vannes
    Social jeudi 28 octobre 2010
    La manifestation contre la réforme des retraites n’a pas été un long fleuve tranquille, jeudi à Vannes. Des manifestants, de FO, Solidaires et Résistance 56 principalement, ont tenté en bas de la rue du Mené, de détourner le cortège de sa destination finale, l’hôtel de ville. Ils sont parvenus à entraîner quelques centaines de manifestants vers la préfecture. La très grande majorité des participants a suivi l’itinéraire prévu. Mais cette cassure et les échanges verbaux parfois tendus qu’elle a provoqués, entre partisans de l’une ou l’autre stratégie, laisseront des traces.

    http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Une-partie-des-manifestants-detournee-vers-la-prefecture-a-Vannes_42314-1567550-pere-bre_filDMA.Htm

    • FO FOut le bordel à Pontivy, et à vannes, qu’ils se démerdent maintenant

      C’est sûr qu’avec toi on avance !!

    • T es marrant toi, te faire insulter dans une manif, parce que t’es de l’intersyndical, toi tu applaudis, bravo !

      Je te le redis, qu’ils se démerdent avec le pognon de la CIA s’ils le veulent, j’irai pas à leur manif à la FO.

      Quand on prend les manifsteants pour des cons, faut pas nous prendre pour des jambons.

      La grève générale, aucun délégué FO est en grève générale dan s le morbihan !

      T’es mignon.

  • mon conseiller pôle emploi est de FO. Il m’a convoqué le jour d’une grève nationale. A lorient ils ont taggués FO GREVE GENERALE mais bon 10 personnes dans la rue cela ne fais jamais grand chose pour donner des leçons aux autres ils sont pas mal quand il s’agit de faire grève c’est zéro. Quand à la CGT elle laisserais bien parler les autres surtout sur LORIENT mais manque de bol il y avais moins de 10 personnes pas de la CGT à la sous-préfecture.