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Crise économique mondiale : pas d’impact sur le Venezuela, l’Argentine et l’Equateur
Publie le samedi 12 avril 2008 par Open-Publishing3 commentaires
(diplomate vénézuélien)
MOSCOU, 11 avril - RIA Novosti.
La crise financière mondiale qui risque d’éclater sur fond de récession aux Etats-Unis ne se répercutera pas trop sur l’économie du Venezuela, de l’Argentine et de l’Equateur, car la dépendance de ces pays vis-à-vis de Washington est minimale, a affirmé vendredi l’ambassadeur vénézuélien à Moscou Alexis Rafael Navarro Rojas.
Les rythmes de croissance économique aux Etats-Unis en 2007 se sont ralentis jusqu’à 2,2%, ce qui est l’indice le plus bas depuis les cinq dernières années.
Selon le président de la Réserve fédérale américaine (FED) Ben Bernanke, la récession serait possible dans le premier semestre de l’année en cours. Plusieurs experts supposent que la récession américaine peut dégénérer en crise économique globale.
"Des pays, tels que le Venezuela, l’Argentine et l’Equateur pourraient ne pas ressentir cette crise et son impact sur leurs économies seraient plutôt insignifiant", a estimé l’ambassadeur lors d’un point de presse dans la capitale russe.
Selon le diplomate vénézuélien, toute une série de structures financières internationales indiquent que les Etats d’Amérique Latine, indépendants de l’économie américaine, pourront tenir face à la crise.
"Il n’y a pas longtemps la Banque interaméricaine de développement (BID) a timidement déclaré qu’une crise économique mondiale se répercuterait différemment sur les pays d’Amérique Latine", a rappelé Alexis Rafael Navarro Rojas.
Et d’ajouter que, selon la BID, l’Amérique Latine n’était plus monolithique sur le plan économique.
Les experts de la Banque interaméricaine de développement signalent que les pays dont l’économie est plus liée aux Etats-Unis souffriraient davantage de la crise.
Le Fonds monétaire international (FMI) en est venu à la même conclusion, déclarant que l’impact de la crise ne serait pas le même sur tous les Etats.
Messages
1. Crise économique mondiale : pas d’impact sur le Venezuela, l’Argentine et l’Equa, 12 avril 2008, 04:01
Donc, c’était vraiment pas le moment de lier un peu plus le sort de la France à celui des Etats Unis.
Merci s’rako l’américain.....de nous faire us’raquer un peu plus.
2. Crise économique mondiale : pas d’impact sur le Venezuela, l’Argentine et l’Equa, 12 avril 2008, 18:23, par oeil de bison
après avoir VIRÉ LE FMI ,la BM ils se frottent les mains avec raison
la crise pour eux ,ça leur en " touche une sans faire bouger l’autre"
mais ils ont fait ce qu’il fallait DEHORS LES MULTIMICHES DE MES DEUX
3. Crise économique mondiale : pas d’impact sur le Venezuela, l’Argentine et l’Equa, 13 avril 2008, 09:12
Chavez : Castro Predicted Fall of Dollar
Thursday, April 10, 2008.
CARACAS, Venezuela (AP) — Venezuelan President Hugo Chavez said Thursday that his close friend Fidel Castro predicted the fall of the U.S. dollar. Chavez said Cuba’s 81-year-old former president mentioned the prediction some time ago before signs of a weakening dollar had begun to appear.
"Fidel told me one day, ’Chavez, it won’t be long before the crisis of the dollar occurs,’" the Venezuelan leader said in a televised speech.
Chavez said Castro handed him a document he had written during one of their meetings in Havana that said "the United States has bought half the world with paper bills that don’t have real backing. ... The world can’t sustain that bubble."
"There it is, the crisis of the dollar," Chavez said.
Chavez called the United States’ economic woes a "terrible economic crisis," noted that some Americans are losing their jobs and suggested that much worse is to come.
"I think if things continue on like this in the United States, we’ll have to start preparing to receive the refugees here," Chavez said.
The U.S. remains the leading buyer of Venezuelan oil, but Chavez is seeking to rally opposition to Washington’s stances, from free-market economic policies to the war in Iraq.
His opponents accuse him of using his perpetual conflict with the U.S. to stir up nationalistic sentiment and draw away attention from domestic problems including rampant crime, soaring inflation and sporadic shortages of some basic foods.
http://ap.google.com/article/ALeqM5i7EbR41gGVYppKaBPAobaH0KkvPwD8VVB17G0