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Développer une tumeur au cerveau est de 240% plus importante chez les utilisateurs de portables (video)

Publie le vendredi 7 décembre 2007 par Open-Publishing
12 commentaires

Si le téléphone portable était dangereux, ça se saurait... !

de Florence N.

Il y a une quinzaine de jours, une des plus importantes études épidémiologiques concluait que le risque de développer une tumeur au cerveau était de 240% plus importante chez les utilisateurs de portables. Et ceci surtout pour les utilisateurs "précoces" (avant 20 ans) ou intensifs (plus d’une heure par jour). 48 millions de Français ont un portable.

Pourtant, l’info est passée très discrètement dans la presse...

Soissante morts à l’autre bout de la planète et on a sorti les chars et les tanks de l’information... Ce n’est pas tant le nombre de morts qui compte, on m’a dit. C’est que, si ça arrive, la grippe aviaire, on risque de tous y passer. Ah... Vu la gravité, théorique, de la situation, la presse a fait son boulot. Elle a informé. Pendant des mois. En boucle. Du poulet, je n’en ai pas trop mangé, mais de la grippe aviaire, ça, j’en ai bouffé. A tous les repas.

Personnellement, cela m’a rassurée. Je me suis dit : bigre, ça ne rigole pas avec la santé. Genre, il y aurait un problème avec le portable, on le saurait illico. Je prends le portable, mais c’est juste à titre d’exemple... Parce que le téléphone portable, je ne crois pas que ce soit dangereux, ça n’émet rien : pas de fumée, pas d’odeur. On ne voit rien, on ne sent rien : la preuve que ce n’est pas nocif.

L’autre jour, c’était il y a une quinzaine de jours environ, je tombe sur une dépêche de presse. Oui, je reçois les dépêches sur mon portable... Des fois qu’il y ait une information importante... En gros la dépêche affirme qu’une des plus grandes études épidémiologiques jamais menées jusqu’ici conclu que le risque d’avoir une tumeur au cerveau, pour les utilisateurs de portables, est supérieure à 200%.

Avec beaucoup de détails, cette étude suédoise, menée par l’Institut national suédois du travail, dirigée par Kjell Mild, confirme l’accroissement du risque de tumeur au cerveau lié à l’usage du portable. Cette étude épidémiologique est une des plus importantes du genre. Parce que le portable s’est développé précocement en Suède, dès 1984, ce qui permet à l’étude en question d’avoir un certain recul. D’autre part, l’échantillon considéré n’est pas des moindres : 2200 personnes, dont 905 avaient une tumeur maligne au cerveau.

L’étude constate un risque accru de 240% pour les utilisateurs intensifs du portable (plus d’une heure par jour) ou les utilisateurs précoces (usage du portable avant l’âge de 20 ans). Et, last but not least, l’étude montre que la tumeur est située du côté de la tête où l’usager met son téléphone.

De peur, j’ai refermé l’écran de mon portable. Une heure par jour, entre les appels émis et les appels reçus, c’est peanuts. Mais eux, ils rangent ça dans la catégorie "usage intensif".... 48 millions d’utilisateurs de portable en France... 2,4 fois plus de risque d’avoir une tumeur au cerveau quand on utilise un portable plutôt qu’un coton tige pour se distraire l’oreille...

Ca allait faire l’ouverture du 20h, une information pareille. Peut-être un flash spécial. Interruption des programmes pour diffuser l’info en boucle. Parce que le portable, en France, à part les très jeunes enfants, le 4e âge et quelques babas-cools opiniâtrement opposés aux bienfaits du progrès technique, le portable, donc, tout le monde en a un. Le rhume des volailles en cage, à côté de la tumeur au cerveau des usagers de portable, c’est du pipi de chat.

Je suis rentrée fissa chez moi pour me jeter sur le poste de télévision. Histoire d’être informée, comme ils disent. Je suis bien tombée ; c’était pas encore le journal télévisé, c’était l’heure de la pub. Guess what ? Pour le dernier forfait illimité d’un de ces Fisher-Price. Communiquer sans compter, ils disaient. Avec ma mère, peut-être ?

J’ai attendu le 20h. Et là, rien. La speakerine, Claire Chazal, ronronnait comme d’habitude. Manifs, Sarkozy, fait divers, pédophile, promo d’un chanteur, météo. That’s all folk ! TF1, France 2, M6, FR3, Canal+, Arte. Rien. Nada.Que dalle. Grosse déception.

Le lendemain, j’ai acheté la presse écrite. Celle qui est libre et indépendante. Le Figaro, Libération, Le Monde. Je ne suis pas sectaire. Même Charlie Hebdo. Parce qu’ils sont pour la liberté d’expression. Des courageux. Mais c’était kif-kif à tous les étages. Rien sur les tumeurs au cerveau des portables.

Le jour même, j’ai reçu, par mail cette fois, une dépêche de Reuters (je mange à tous les râteliers). La même dépêche déjà reçue, mais avec un petit commentaire final en plus : "Les résultats de l’enquête suédoise contredisent les conclusions d’autres chercheurs. Une étude menée par le Conseil néerlandais de la santé, qui avait passé en revue l’ensemble des travaux de recherche menés dans le monde, et une autre, britannique, menée sur quatre ans avaient toutes deux conclu que l’usage du portable ne présentait pas de risques pour la santé."

Ah, donc.... Parce que d’autres études (pas de détails les concernant : échantillon, recul, financeurs, etc.) avaient des conclusions différentes, il n’était donc pas utile de la ramener au sujet de cette nouvelle étude de l’Institut national suédois du travail ? Un petit commentaire, bien placé, pour discréditer le contenu de la dépêche. Sournois, mais efficace.

D’ailleurs, je l’ai retrouvée dans des journaux, ma dépêche Reuters. Notamment dans La Dépêche du Midi, dans un journal informatique sur Internet, etc. Des médias de premier plan, quoi. La majorité des quelques journaux qui avaient relayé l’information n’avaient pas manqué de reprendre le commentaire final de Reuters. Pas vraiment recopié tel quel : paraphrasé. Je les comprends, les journalistes : pendant qu’on recopie, on ne réfléchit pas. Comme ça, le cerveau reste disponible pour des activités plus utiles que penser. Humain comme réflexe.

Quelques jours plus tard, le temps qu’elles lisent les journaux (elles n’ont pas Reuteurs sur leur portable), les associations y sont allées de leur couplet habituel pour demander des mesures de la part du ministère de la Santé. Priartem, Agir pour l’environnement, Robin des Toits. C’est bien les seules à s’intéresser au portable et aux antennes relais. Les associations demandaient des mesures d’information sur les risques encourus et prônaient un usage "raisonné" du portable, surtout par les jeunes, qui, justement, utilisent le portable précocement et intensivement.

Un usage "raisonné" du portable ? Si même les associations se défilent... Il y aurait donc un usage "raisonné" du portable comme il y a un usage raisonné de la cigarette ? J’ai toujours dit à ma fille qu’il ne fallait pas qu’elle fume avant ses vingt ans. De fumer moins d’un paquet par jour, aussi. Et à mon mari, je lui interdis de fumer au volant... Au sujet d’un usage "raisonné" du portable, il existe une plaquette d’information, émanant d’un organisme du ministère de la Santé, datant de 2002 et diffusée à... 100 000 exemplaires. Comme à l’époque il y avait 35 millions d’usagers de portable, ça fait 1 plaquette pour 350 personnes. Collector, la plaquette. Heureusement, la pièce rare est visible sur leur site. Evidemment, pour aller consulter la plaquette sur Internet, faut déjà savoir qu’elle existe.

Sur cette plaquette, figurent donc des recommandations pour un usage "raisonné" du portable. A savoir, je cite :

1. "Eviter les conversations inutiles ou trop longues"
La définition du mot "inutile" fait défaut sur la plaquette.... De même pour "trop longue". C’est plus de 5 minutes comme le recommandent certains scientifiques chatouilleux du portable ? Ou bien c’est 1 heure ? Impossible de savoir.

2. "Soyez vigilant dans les zones de mauvaise réception (entre son niveau minimal et maximal, la puissance de votre téléphone mobile peut être multiplié par 1000)"
Décidément, il manque un lexique. "Vigilant" ? Mon dico à moi, il dit que "vigilant" signifie : surveiller de manière attentive et soutenue. Donc, si j’ai bien compris, quand je téléphone dans un endroit qui capte mal, faut que je zyeute mon bigophone, en douce, des fois qu’ils se mette à fumer ou péter un câble subitement ?

3. "Conseillez à vos enfants un usage modéré du téléphone mobile".
Je me répète, mais c’est eux qui ont commencé. "Modéré". C’est 3 fois par jour comme les repas, une fois par semaine comme le dimanche ou une fois par an comme les congés payés de 36 ?

4. "Evitez de téléphoner en vous déplaçant".
Là, c’est l’humour impayable des notices ministérielles. Comme le dit un porte-parole d’une association : avec le téléphone mobile, on a réinventé le téléphone fixe.

5. "Eloignez votre téléphone mobile des zones sensibles de votre corps (...) Pour limiter l’exposition de la tête un kit piéton peut aider" Mais, vu que c’est pas dangereux le portable, pourquoi que je l’éloignerais de mon corps, mon joujou sans fil à ondes pulsées ? Et si je l’éloigne de mon body, où que je le mets alors ? Rangé dans un placard à la maison ?

La morale de toute cette histoire (je veux parler de la dépêche de Reuteurs), c’est qu’elle vient corroborer un argument qu’on peut retrouver dans 2 vidéos. L’une d’elles est un reportage récent de la TSR intitulé "Téléphoner peut nuire à votre santé". Il est visible sur leur site.

L’autre est un documentaire, au titre tout aussi rassurant : "Téléphonie mobile, sommes-nous tous des cobayes ?". Diffusé par Next-Up, il est visible ici ou sur DailyMotion.


Telephonie mobile

L’avantage de ces 2 films... c’est que ce sont des films. Ouiche. C’est à dire qu’en peu de temps et de manière plus ludique qu’une recherche labyrinthique sur Internet, on a accès à la sacro-sainte information avec laquelle on nous bassine, mais qui fait défaut dans la presse. A savoir : dangereux ou pas, le portable ?

Si c’est dangereux, pourquoi ne le sait-on pas ? Et si ce n’est pas dangereux, alors pourquoi ces recommandations euphémiques de la part des autorités publiques ? Pourquoi ces notices d’informations à sous-texte, incluses obligatoirement dans les packs de vente de portables ? Pourquoi ces articles récurrents mais distillés de façon homéopathique dans la presse, au sujet d’études flippantes ?

Dans le premier film, le coordinateur de l’étude REFLEX, le Dr Adlkopfer, affirme qu’il ne faudrait pas faire comme pour la cigarette et l’amiante : attendre 50 à 100 ans avant de réagir. Le deuxième film dénonce l’état de fait actuel : la non-prise en compte des nombreuses études qui accusent la nocivité du portable.

C’est assez cocasse de voir ces 2 films ensemble. Ils sont complémentaires.

Le plus ancien, Téléphonie mobile, sommes-nous tous des cobayes ? (2003), affirme que les lobbys industriels dénigrent systématiquement les études prouvant la nocivité du portable, souvent pour des prétextes fallacieux. Ainsi, parmi ces arguments plus on moins bidons, on dit qu’un protocole n’a pas été respecté ou que l’étude est "critiquable". D’autre part, le film souligne que les études financées par les industriels de la téléphonie mobile, concluent toujours, ô surprise, à l’innocuité du portable.

De fait, dans le l’autre film Téléphoner peut nuire à votre santé (2005), on a en quelque sorte la preuve en images de ces procédés. Ainsi, une chercheuse, menant une étude pour le compte des industriels de la téléphonie mobile, critique l’étude REFLEX au prétexte que "les protocoles de l’étude REFLEX ont été "critiqués". Par qui ? Pourquoi ? On n’en sait rien, mais ils ont été critiqués, et ça, c’est un argument.

Et cette scientifique, dont les travaux sont donc financés par les industriels, de se montrer très rassurante, quant aux risques sanitaires des portables.

Cette dame ne mentionne pas que l’étude REFLEX, étude en laboratoire, est une des plus importantes du genre : menée par 12 groupes de recherche dans 7 pays, de 2000 à 2004, financée en majeure partie par l’Union européenne. Ce qui est critiquable dans l’étude REFLEX, ce sont, bien sûr, les résultats. REFLEX, constate en effet que les rayonnements émis par la téléphonie mobile provoquent la cassure des liens ADN des cellules. Effet cancérigène. Rien que ça... Dans le film, un autre scientifique, chargé de reproduire l’étude REFLEX, en arrive à la même conclusion : cassure de l’ADN. Le reportage ne mentionne pas que d’autres études, antérieures à REFLEX, avaient déjà montré la même chose. Pour n’en citer qu’une : le "test COMET" d’Henri Lai, dès 1994.

Paraîtrait, aux dires du plus grand nombre qui s’exprime, qu’on vit dans un monde de "communication" et d’"information". Que le moindre évènement, à l’autre bout du monde, on en serait informé, ici and now, grâce aux grands tuyaux de l’information que sont notamment le satellite, l’Internet et le tutti quanto. Paraît qu’on y a accès directement, instantanément, librement, à la grande source de clarté qu’est "l’information". Là, en occurrence, les informations, elles entrent bien dans le gros bitoniau ; le hic, c’est qu’elles n’en ressortent pas. Doivent être bouchées quelque part, les canalisations. Alors, des fois qu’il y ait un plombier de l’informatique quelque part...

Florence N.

Les films cités et à voir sur les dangers du portable pour la santé :

* Téléphonie mobile, sommes-nous tous des cobayes (2003. de J. Ferreira. Avec Rufus) Le film ne "prouve" pas que le portable et les antennes relais sont nocifs pour la santé. Il montre les gros dysfonctionnements du dossier : études dérangeantes non prises en compte, méthodes employées par les lobbies industriels, charge contre le rôle des experts dans les rapports "officiels", témoignages de "victimes" des antennes relais, effets connus de la téléphonie mobile sur la santé.

* Téléphoner peut nuire à votre santé
(2005. Reportage de la TSR. Télévision suisse romande)
Reportage plus court que le précédent. Axé sur les études scientifiques en cours. Donne la parole aux scientifiques et illustre de ce fait ce qui a déjà été dit dans le film précédent : avis opposés sur la nocivité du portable selon que leurs travaux sont ou non financés par les industriels.

Les 2 films pointent les similitudes entre le dossier de la téléphonie mobile et ceux du tabac ou de l’amiante.

http://www.agoravox.fr/article.php3...


Les portables

Messages

  • Et oui !

    Jetez vos portables !

    En plus, pour être suivi par la police, il n’y a rien de mieux !

    Car votre téléphone portable vous signale à chaque borne téléphonique et la police peut ainsi vous suivre à la trace et savoir où et à quelle heure vous étiez, ou du moins où votre portable était.

    Et il paraît que, même quand le portable est éteind, il communique quand même avec les fameuses bornes de retransmission et que, même avec un portable éteind donc, la police peut vous suivre. Si quelqu’un a des infos plus précises là-dessus ! (ou un démenti vraiment argumenté scientifiquement, et que ce soit pas du vent, car se faire coincer lors d’un collage d’affiches ou de taggages ou d’autres opérations dangereuses, c’est trop con !)

    • Un bon conseil:quand tu veux faire quelque chose et ne pas que cela se sache des flics, LAISSE TON PORTABLE CHEZ TOI !!!

      François

    • moi je peux garantir que si la batterie est enlevée il n’y aucune trace possible

    • Suffit de " faradiser " le portable. J’ai mis une réponse à l’article " les portables sur écoute, meme en mode veille. Vieux stal borné.

    • Des infos :

      Dans Le Canard Enchaîné du 5 décembre 2007, un article explique comment se passent les écoutes téléphoniques avec les portables..

      La police peut demander, sans autorisation d’un juge, à tout opérateur de lui fournir le liste des appels passés depuis ou vers un portable donné (cette liste s’appelle le "fadet"). (Les opérateurs gardent ces infos 1 an.) Cela s’appelle une réquisition téléphonique. Il y en a 4 millions chaque année.

      Ils peuvent aussi suivre les déplacements du portable à qq mètres près (sur 1 an, si je comprends bien). Donc ils peuvent notamment savoir dans quel café on a été boire un coup, etc.

      Et aussi quels personnes (porteuses de portable) on a rencontré tel jour, à quel endroit, combien de temps, etc. Avec des logiciels ils peuvent par exemple saisir 2 noms, et le logiciel dit si ces 2 personnes se sont déjà rencontrées ou non (en supposant évidemment que les gens avaient leur portable -pas éteint- avec eux).

      Pour écouter une ligne, il faut demander l’autorisation à un juge, qui, souvent débordé de demandes, "ne se fait généralement pas trop prier pour donner son feu vert", pour une écoute de 4 mois (coût pour l’Etat : 700¤/mois). La ligne du portable est alors dérivée vers le centrale d’écoute. Les policiers de la PJ peuvent alors, depuis leur propre portable, écouter de n’importe où la ligne sur écoute, soit en direct, soit en différé (enregistrements automatiques). 27 000 lignes sont écoutées chaque année.

      Enfin, "tous les portables sortis récemment peuvent être transformés en micro. Il suffit que l’opérateur envoie un code informatique pour déclencher à distance le mode "écoute discrète" (à condition que le portable reste en veille). Le policier peut alors entendre tout ce qui se dit dans la salle à manger, le bureau.

    • Autant que je sache pour avoir fait des recherches avec la police, il faut que le téléphone soit excité ( au minimum allumé ) pour savoir autour de quelle borne il se trouve. S’il est éteint la police ne peut rien savoir.
      Galou des Landes

    • Exact, c’est le plus facile. Autre conseil : lire " Les oreilles de jungle " de Pierre Boule. Pendant la guerre du Viet-Nam, les Américaine avaient parachuté des émetteurs camouflés en plantes dans la jungle pour repérer l’activité du FNL. Quand l’engin émettait, sa position et le bruit environnant était transmis à un ordinateur qui se rouvait dans l’enceinte de l’aéroport de Saigon, et la zone était bombardée. Je ne vous dis pas comment les vietnamiens se sont servis de cette technologie pour rouler les ricains dans la farine ( de riz ). Vieux stal borné.

    • LEGALEMENT, il y a deux sortes d’écoutes : les écoutes JUDICIAIRES, à la demande des " bleus " et autorisées par un juge, qui délivre une " réquisition ", et les écoutes ADMINISTRATIVES, SANS réquisition, mais autorisées par le Premier Ministre ( ou peut-etre par le ministre concerné, mais en tout cas JAMAIS sur improvisation ou décision arbitraire des flics ) pour par exemple les RG, les Douanes, la DST, et qui sont présentées comme des écoutes " préventives ". Ces écoutes sont contingentées, et compte rendu doit etre fait aux responsables. Au cas ou elles ne donnent rien, elles sont "démontées ". Ces deux types d’écoutes sont LEGALES et la législation est STRICTEMENT respectée, surtout par les gendarmes ( discipline militaire oblige ). D’ailleurs un jour, l’un deux m’a sorti, sans que je lui demande quoi que ce soit : " Tout est fait selon les règles, si vous voulez, JE PEUX VOUS MONTRER LA REQUISITION DU JUGE ". Inutile de dire que ces écoutes concernant le " vulgum pecus " ne sont pas très dangereuses, simplement parce que les MOYENS techniques et en personnel des flics sont limités ( voir à ce sujet les pleurnicheries perpétuelles des syndicats de flics ). Autre chose sont les écoutes ILLEGALES et CLANDISTINES opérées par des organismes comme la DGSE et qui ne sont pas forçément TELEPHONIQUES. Et là, je peux vous affirmer que les technologies employées dépassent de très loin ce qu’on peut trouver chez les " bleus ". Quant au danger des portables, comme c’était mon ancien boulot, je peux vous dire que c’est du PIPEAU. Vieux stal borné.

  • Trop tard.

    Trop tard pour le pétrole, tout le monde roule avec le pétrole.
    trop tard pour le portable, tout le monde a un téléphone portable.

    Mais il n’est pas trop tôt pour les achats de noel !!!

    Achetez !
    Achetez !!
    Achetez !!!
    Achetez !!!!

    vous avez le droit de mourir.

    jyd.

  • Début Janvier 2007, notre fils a été opéré d’urgence au CHU de Nice.
    Ablation d’une tumeur maligne (dernier stade) ou Gliome de la taille d’une mandarine située au niveau du temporal droit (coté tél).
    Son traitement vient de se terminer : scéances multiples de rayons gamma, 45 X( au revoir les cheveux) et également jusqu’à ce mois scéances de chimio. Je ne vous dis pas la galère pour lui et pour nous ses parents.
    Alors SVP expliquez à vos enfants d’éviter ce gadget

    PM

  • Il y a un ou deux ans j’ai vu une émission sur le sujet à la télé, je ne me rappelle plus quelle chaîne, ce que j’ai appris m’a effrayé. Un scientifique expliquait que les ondes courtes du portable agissaient comme un marteau piqueur sur les cellules et détruisaient l’ADN inéxorablement. On apprenait qu’un américain atteint d’une tumeur au cerveau avait gagné un procès contre le fabricant de portables.

    Des études scientifiques ont été faites également par des spécialistes de l’armée américaine qui confirmaient l’extrême nocivité de ces appareils. Et ces scientifiques de l’armée ont mis au point des appareils non nocifs, si si je vous assure. Alors pourquoi n’ont-ils pas remplacé les téléphones dangereux actuels ?
    Ce que j’ai appris dans cette émission c’est que le brevet de cette invention a été rachetée par un couple de suisses. Une histoire de gros sous sûrement.

    Conclusions de l’expert : utilisez des oreillettes pour éloigner l’appareil de votre cerveau, mais attention ne le mettez pas dans votre poche non plus, pour les hommes par exemple le danger des cancers à la prosthate ou vessie est aussi fort. Evitez de le laisser allumé près de vous, par exemple l’utilsation comme réveil-matin est à proscrire.

    Evitez également wifi et fours micro-ondes : même problème ondes courtes. Même la nourriture préparée au micro-ondes est douteuse (en Russie son utilisation a été interdite pendant longtemps)

    Ensuite j’ai lu le commentaire d’un programme télé sur cette émission, il disait "une émission qui n’apporte pas grand-chose de nouveau" ou quelquechose comme ça !

    PS les enfants sont particulièrement en danger, les obliger à utiliser des oreillettes et à ne pas avoir des conversations très longues

    Sergueï

    • Oh oh, pour les aliments cuits au micro-onde : franchement non , ça ne vibre plus une fois sortis du four et même s’il déstructure certaines sauces ou gelées cela reste sans conséquence chimique (plus d’effet physique une fois hors du four).

      Le problème n’est pas là avec les four à micro-ondes : c’est qu’ils ne sont pas surveillés après achat, donc passé quelques années s’ils fuient on ne le sait pas et là oui c’est dangereux.

      Hum sinon quelqu’un a la référence de l’étude en question pour les mobiles ?