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Frêche un homme de gauche ? La mauvaise plaisanterie !

Publie le vendredi 29 octobre 2010 par Open-Publishing
5 commentaires

Un article de Mediapart de l’an passé : Quand Georges Frêche fricotait avec le Front National

Jacques Blanc, en 1998, dans sa recherche d’un accord avec le Front National, a eu un précurseur en 1973 en la personne de Georges Frêche. Enquête sur une époque où Monsieur Septime fricotait avec l’extrême droite pour se faire élire député de Montpellier-Lunel.

1973 : « Il m’a demandé purement et simplement que mes voix se reportent sur son nom au deuxième tour » (André Troise, FN) [...]

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Antoine (Montpellier)

Messages

  • L’avenir, le passé, le présent tout cela se tient un peu, non ? Sinon cela devient une amnésie politique très, très handicapante.

    Ce texte que j’ai mis en ligne, si on veut bien le lire en perspective, va au-delà de l’individu et éclaire en fait, en ce moment d’exaltation pro-frêchiste, sur ce qu’on appelle ici (Languedoc-Roussillon) la Frêchie !

    Et de ce point de vue, tu te trompes, le Frêche ... il n’est pas mort ! Il n’y a qu’à voir ce titre du jour dans le grand quotidien régional :

    Région Christian Bourquin : « Nous nous inscrirons dans la continuité »

    Ce Bourquin (le nouveau président de Région), Frêche avait dit "J’ai décidé que ce serait lui qui me succèderait". Oui, c’est comme ça que parle la Frêchie, en termes de succession avec le plein sens monarchique du mot.

    Voilà, camarade, l’avenir dont tu parles, il est corseté par celui qui n’avait pas hésité à faire ami-ami avec le FN. Dans cette Frêchie tu retrouves toujours des opportunistes sans boussole politique, en tout cas, de gauche, et des gens qui sont (là aussi c’est au présent !) pour l’Algérie Française et ça, même si cela ne résume pas toute l’aberration de ce machin politique, ça pèse lourd (verbe au présent à déclinaison au futur) malgré la mort du matamore !

    Antoine (Montpellier)