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La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?
Publie le mercredi 16 avril 2008 par Open-Publishing16 commentaires

Les familles vont toucher moins pour leurs enfants adolescents
de Canaille le Rouge
Rappelons qu’a l’origine que les allocations familiales, les allocs comme on dit, étaient une des branches de la protection sociales, financée par un prélèvement à la sources des richesses produites dans les entreprises, comme les retraites et la sécu ou l’Unédic.
Avec l’assentiment de tous ce que ce pays compte de gestionnaire de la crise, elles ont été fiscalisées (sous Giscard je crois)et on voit maintenant que les caisses n’ont plus la maitrise des prestations que c’est l’état et ses majorités politiques qui possède les fonds, voila comment l’état lamine l’aide aux familles (c’est comme pour la carte famille nombreuse).
C’est la configuration avancée de ce qui se prépare pour la Sécu.
Quand le mouvement syndical va-t-il prendre ses responsabilités et appeler à descendre dans la rue pour faire se rapproprier la gestion par les salariés de leur protection sociale (Sécu, retraite, famille, chômage) ?
C’est plus qu’urgent, il y a le feu
Plutôt que de rédiger un truc qui fera doublon, voici inextanso un article du Monde de ce jour (16 04 08).
Les familles vont toucher moins pour leurs enfants adolescents
de Anne Chemin
C’est un décret de quelques lignes qui est, jusqu’alors, passé inaperçu. Sous une apparence technique, ce texte modifie les règles de calcul des allocations familiales, l’un des symboles de la politique familiale française depuis leur création, dans les années 1930. "L’âge à partir duquel les enfants ouvrent droit à la majoration des allocations familiales est fixé à quatorze ans", précise le décret. Ce nouveau dispositif, qui concerne plus de 4,5 millions de familles de deux enfants et plus, entrera en vigueur le 1er mai : il devrait permettre à la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) de réaliser 138 millions d’économies par an.
Aujourd’hui, le montant des allocations familiales augmente au fil de l’âge des enfants. Lorsque l’un d’eux fête son onzième anniversaire, la famille touche une majoration de près de 34 euros, lorsqu’il atteint l’âge de seize ans, la majoration passe à 60 euros. Ce système de double "bonus" permet de donner un coup de pouce aux familles dont les enfants entrent dans l’adolescence, un âge où les dépenses consacrées aux études, à l’habillement et aux loisirs ont tendance à s’alourdir.
UNE PERTE DE 600 EUROS PAR ENFANT
A partir du 1er mai, ces règles seront modifiées : désormais, une seule majoration de 60 euros interviendra à l’âge de quatorze ans. Cette mesure entraînera automatiquement une baisse des allocations familiales : au total, sur l’ensemble des versements accordés entre le onzième et le dix-huitième anniversaire, les familles perdront près de 600 euros par enfant. Les prestations versées au cours de ces sept années d’adolescence s’élèvent aujourd’hui à 3 475 euros : elles passeront à l’avenir à 2 890 euros.
Cette mesure d’économie a suscité la "vive insatisfaction" du conseil d’administration de la CNAF, qui a rendu, le 5 février, un avis défavorable à cette mesure : 21 des 24 administrateurs ont voté contre le projet de décret. Ces décisions "s’intègrent dans un contexte de perte de pouvoir d’achat s’aggravant pour les familles", soulignaient-ils alors dans un communiqué. "L’application de cette mesure est incompatible avec la politique familiale dynamique, volontaire et concertée que nous appelons de nos vœux", concluaient-ils.
La CGT regrette aujourd’hui ce nouveau "coup" infligé au pouvoir d’achat des familles, la CFE-CGC critique ce "recul des prestations familiales, qui sont déjà insuffisantes", et l’Union des familles en Europe juge cette économie "inacceptable". "Cette baisse des allocations familiales ne sera pas forcément très visible car elle sera étalée dans le temps mais ellereprésente, au final, une somme importante, regrette François Fondard, le président de l’Union nationale des associations familiales (UNAF). Il n’est pas bon, par les temps qui courent, d’imposer une nouvelle perte de pouvoir d’achat aux familles."
Messages
1. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 14:10
tu poses la bonne question : quand ?
oui quand ,mais je commence a me demander si il faut attendre qq chose de nos syndicats (soyons clairs je suis militants et elu CGT ).
je commence a en avoir assez de me heurter a un "plafond de verre" syndical qui bloque et fini par etouffer notre volonté d action.
il faut agir tous ensemble et dans des actions d’envergures .
coordinations des actions , lutte et solidarite interprofessionnelle .
voila quel devrait etre le mot d ordre !
Makhno
1. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 15:41
Oui, mais il ne faut pas attendre plus longtemps. Nos enfants sont en ce moment-même dans la rue et se ramassent des coups de matraque ; et nous, que fait-on ? on regarde de loin et on laisse faire ? On pourrait au moins faire grève pour les soutenir ; et la solidarité avec nos enfants devrait nous pousser à faire grève immédiatement contre la répression qui s’abat sur eux. Et en profiter pour faire grève contre la CNE, sur les retraites, la sécu etc.
Nos enfants nous ont donné le signal, aura-t-on le courage de les suivre ?
2. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 15:49
Qu’attendez-vous, élus CGT pour lancer l’offensive, sans attendre que ça vienne d’en haut ? Vous inquiétez pas ça suivra derrière, parce que la "France besogneuse" la plus fragile est dans un état critique, et si en plus l’Etat leur souque une partie des allocs, il y aura des émeutes ici aussi. Il arrivera un moment où même à Lidl les gens ne pourront plus acheter de quoi manger. L’Etat d’un côté et les patrons de l’autre nous précarisent de plus en plus, bientöt nos salaires rejoindront ceux pratiqués en Roumanie comme à Dacia-Renault, pour finir comme les salariés Chinois qui sont employés par des patrons français-esclavagistes.
Et puis, je ne veux pas trop insister mais les anglais en situation précaire, avec un "plein emploi" à 20 H/semaine, y sont toujours, les patrons trouvant beaucoup d’avantage à cette situation. Ca veut dire que ce que nous vivons en ce moment, nous le vivrons longtemps encore, jusqu’à ce qu’il y ait une révolution pour remettre les choses en place, avec l’homme au centre et non plus la finance.
Réfléchissez mais ne tardez pas trop, car les vacances arrivent, quoique cette année ça va être chaud pour partir, vu la flambée des prix alimentaires en temps ordinaire, alors imaginez sur les lieux de vacances ! C’est pas pour les précaires de plus en plus nombreux !
2. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 15:26
Je suis d’accord les camarades.
Et pardon, mais c’est pas avec des manifs " à la con" (fussent-elles intersynd) sur "LE POUVOIR d’ACHAT" qu’on va s’en sortir.
ET LES SALAIRES DANS TOUT CE MERDIER ?
Du pouvoir d’achat mais pourquoi faire ? Pour engraisser la société de consommation ? Le Low cost ? Les entreprises qui délocalisent et viennent nous revendre de la merde ?
NON A LA MARCHANDISATION.
Un toit, de la nourriture saine, la santé, l’école, un transport, tout ça ne sont pas des "marchandises" qui nécessitent du pouvoir d’achat mais des BIENS nécessaires à vivre dans la dignité et qu’il faut (pour l’instant) financer et payer avec des SALAIRES.
On ne peut s’extirper d’une contradiction que par le HAUT.
VISONS HAUT. VISONS JUSTE ET VISONS HAUT.
La Louve
1. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 17:22, par canaille le rouge
Je partage ce qui se dit sur descendre dans la rue. cela dit quand on est dans la rue, on n’est ps au Taf. Et quand on y pousse des gueulante on n’est pas non plus devant un écran.
Ensuite, si je suis persuadé que les salariés ont un rôle décisif dans l’affaire, ceux qui ne le sont pas ne le sont plus ou qui voudraient un jour l’être n’ont que ce lieux pour fédérer leur colère.
L’appel à manifester est plus tourné vers les organisations syndicales, mouvements et associations qui gagneraient en efficacité à tenir moins de points de presse et plus de point de rencontre avec les gens, moins de micro (qui restent le plus souvent fermés) et plus de sono qui ne demandent qu’à résonner.
ce n’est que cela mais déjà tout cela.
2. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 17 avril 2008, 16:19, par el diablo
A propos du salaire socialisé voir les vidéos de la conférence de Bernard Friot sur le site "Rouges Vifs". Par ailleurs, il serait bien utile d’engager une grande campagne nationale pour réfuter les affirmations de l’UMPS en passant par le Modem au sujet de la "dette" et de la "France en faillite" (dixit Fillon). En effet, je connais de braves gens qui sont abusés par le matraquage idéologique autour de cet argument ce qui "bloque" probablement un peu leur "mise en action". A VOIR.... Salut et fraternité EL DIABLO
3. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 16:33, par momo11
Et oui on manifeste,on fait le tour d’une ville et puis on rentre a la maison.Le pouvoir s’en fout de nos manifestations de principe,alors bloquons tous ce que l’on peut et veut bloquer et nous verrons alors qui se fout de l’autre.fraternellement momo11
1. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 19:51
Déjà à mon avis il faut gagner la bataille des idées sur la secu .
C’est à dire, le retour des élections sur la base de la représentation syndicale , en terminer avec la démocratie bidon des personnes qualifiées , des assos relais du pouvoir, de la mutualité et en fin de compte tout le pouvoir confié à la direction pour les CPAM , pour appliquer les directives gouvernementales !
Sur le financement il faut être clair , pas de fiscalisation , le financement doit avoir pour assiette les salaires et les revenus financiers des entreprises , les stocks options à Seguin, c’est du bidon !
Le medef et le PS (sauf la tendance Filoche) sont pour couper le lien organique entre secu et salaire , ils en font un combat idéologique depuis sa création en 1945 !
Se sujet fâche à gauche et dans le mouvement syndical et bien souvent les syndicats et les partis de gauche évitent le conflit sur ce terrain.
Résultat, c’est la cata pour les citoyens retraite, santé ,famille,accident et maladie au travail !
oui il faut se fâcher pour la secu, elle en vaut la peine !
Boris
4. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 20:42, par dominique
Entièrement d’accord sur l’étrange immobilisme de nos partis et syndicats qui laissent faire chaque semaine..j’en suis à me demander s’ils n’attendent pas tout simplement que la droite ne fasse le mauvais travail ( non, je ne me le demande plus, je le pense !), faute de travail pour plancher sur une contreproposition qui preserve la solidarité, et s’attaque enfin aux problemes..bref ! je ne crois pas que les uns et les autres en aient veritablement envie...il y a urgence pour rassembler toutes les catégories sensibilisées au sujet, et aller dans la rue sur un mouvement unique , des retraites aux franchises en passant par la CAf etc etc...il nous faut solliciter une organisation a partir des associations, des collectifs, pas des syndicats seulement, on peut essayer mais ils sont dans le mouvement..ils n’engaget pas réellement ..
1. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 21:48, par Christian DELARUE
La question du salaire et de la Sécu sont liés Lire B FRIOT sur ce site
La démarchandisation et le renouveau des services publics n’est pas contradictoire avec le regain de pouvoir d’achat vu les records de l’inflation, au moins pour tous ceux et celles qui perçoivent moins de 2OOO euros par mois, ce qui fait de vous un salarié moyen.
Christian Delarue
Autrement je renvoie à :
MAINTIEN DE LA SOCIALISATION DE LA SECURITE SOCIALE et
ETATISATION DES FIRMES PHARMACEUTIQUES ET DES CLINIQUES PRIVEES.
http://www.bellaciao.org/fr/spip.php?article63901
LA SECURITE SOCIALE ET LE SOCIALISME
http://www.bellaciao.org/fr/spip.php?mot157
5. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 16 avril 2008, 22:24, par darius
Oui, il faut une mobilisation d’ampleur pour la Sécurité Sociale, menacée de mort depuis des lustres, par la droite, qui combat cette solidarité "entre pauvres" (la droite et le grand patronat préfèreraient qu’ils se bouffent définitivement le nez, diviser pour mieux régner), et par la gauche qui a laissé pourrir la situation malgré des avancées (CMU par exemple) mais qui sont trop maigres pour faire vivre la solidarité. Aujourd’hui j’ai la sensation que notre Sécu à tous, qu’on soit salarié ou chômeur, retraités, ayant droits, immigrés..., notre Sécu n’a jamais été autant en danger d’être supprimée. Encourageons-nous pour lutter avec beaucoup de force car les moyens pour sauver et développer ce formidable outil ne manquent pas : augmenter les salaires pour augmenter les cotisations, faire participer les revenus financiers...sont autant de revendications. De plus, il faudrait faire payer des pénalités aux entreprises qui brassent des profits astronomiques et qui polluent (pour l’assurance maladie), qui licencient ou font signer des contrats précaires (pour l’assurance chômage). Elle date certes de 1945, mais la Sécurité Sociale est quelque chose de moderne pour nos sociétés humaines ! (même un collaborateur de Bill Clinton l’a dit !)
1. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 17 avril 2008, 00:11
Imaginez qu’Hillary Clinton soit élue et adopte notre principe de la Sécurité Sociale, les Sarko-Fillon auront l’air con, vous ne croyez pas ? De toutes façons tout marche à l’envers ici. Sarko veut du libéralisme quand il se casse la figure outre-atlantique, il veut faire la part belle à l’école privée, quand partout ailleurs on adopte une école publique élaborée. Il y a de quoi en perdre son latin !
2. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 17 avril 2008, 22:35
Une avancée la cmu ?
Cela mérite débat, elle est payée à 100% par les citoyens, impôt, plus une taxe sur les complémentaires santé payée par les assurés qui augmentent tous les ans , c’est à dire que nous payons deux fois , alors que les patrons et les financiers qui foutent les gens dans la mouise ne payent rien sur la CMU !
Elle stigmatise les pauvres .
Elle crée des rivalités avec ceux qui ont des petits salaires , effet de seuil .
Elle crée plusieurs sorte de remboursement , gérées par la secu .
Elle a fait rentrer les assurances dans la gestion de la sécurité sociale.
Elle a redonné une virginité sociale aux assurances qui étaient pour .
C’est une usine à gaz qui avec un directeur (ancien des AGF) et tout un staf autour combien cela coute en gestion ?
Il suffisait d’améliorer les remboursements pour tous , en optique, dentaire , et appareillages, immédiatement !
Seul 150 OOO personnes étaient hors secu surtout des SDF , aucun problème pour traiter cette situation dans le cadre du système obligatoire !
Les aides départementales étaient souvent supérieur , à la CMU !
C’est une fable AUBRY et du PS relayée par toute la gauche plurielle , il fallait bien trouver au moins du positif entre 1997/2002 pour les gogos !
La cmu ne rentre pas dans les critères de convergence,du pacte de stabilité, CQFD !
3. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 18 avril 2008, 23:49
Le Fonds de financement de la CMU (Fonds de financement de la protection complémentaire de la couverture universelle du risque maladie) est un établissement public national à caractère administratif créé par la loi du 27 juillet 1999.
Son fonctionnement est précisé par les articles R. 862-1 et suivants du code de la sécurité sociale.
Son conseil d’administration, composé de sept membres, est présidé par Michel Thierry, inspecteur général des affaires sociales. Les autres membres du conseil d’administration sont des représentants des ministères en charge de l’économie et de la sécurité sociale : direction du budget, direction du trésor, direction générale de la comptabilité publique, direction de la sécurité sociale (deux représentants), direction générale de l’action sociale.
Un conseil de surveillance assiste le conseil d’administration. Le conseil de surveillance (article R. 862-6 et suivants du code de la sécurité sociale) est composé de membres du parlement, d’associations œuvrant dans la lutte contre l’exclusion, des trois grands régimes d’assurance maladie, des différentes fédérations d’organismes complémentaires. Le président du conseil de surveillance est nommé par le ministre chargé de la sécurité sociale parmi les parlementaires qui en sont membres. Jean-Marie Rolland, député, a été nommé président par un arrêté du 29 novembre 2005.
Le directeur du Fonds, nommé par arrêté des ministres chargés de la sécurité sociale et du budget, est Jean-François Chadelat, inspecteur général des affaires sociales. L’équipe du Fonds est constituée de 10 personnes.
Le Fonds CMU ne traite pas de dossiers individuels d’assurés sociaux. Il peut en revanche apporter toute information à caractère général sur la CMU, ce qui constitue l’objet de ce site. Pour tout renseignement sur leurs dossiers personnels, les assurés doivent s’adresser à leur caisse d’assurance maladie.
Le Fonds CMU exerce deux missions :
– Financer la CMU complémentaire et le dispositif d’aide complémentaire santé
– Suivre et analyser le fonctionnement de ces dispositifs
"J. –F. Chadelat directeur du fond de financement de la Couverture Maladie Universelle, a été directeur chargé des questions santé chez AXA, une des plus grosses compagnies multinationales d’assurance, entre 1990 et 1994.
C’est aussi un des experts qui a participé à l’élaboration de la réforme Juppé en 1995."
4. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 19 avril 2008, 08:51, par a
Vous voulez la faire avec qui la grève ?
La majorité des ouvriers et des techniciens qui travaillent sont des lopettes et lèches culs, les ingés ces donneurs d’ordres bien disciplinés adeptes du grand capital et contre les ouvriers ou avec les artisants votants en masse pour le cnpt ou le borgne.
Cela se voit que vous ête déconnectés de la réalité de se que les français ont dans la tête.
Et vous pensez que les responsanbles syndicals ne prenent pas en compte se que je viens d’écrire.
Qui criaient en coeur plutot hitler que le front populaire ?
Alain 04
5. La sécu, les Allocs, les retraites...on attend quoi ?, 19 avril 2008, 16:23, par canaille le rouge
Les premiers fusillés sont les syndicalistes CGT (Par ailleurs pour le plus grand nombre militants communistes, à l’époque une organisation révolutionnaire).
Fusillés parce qu’ils disaient "contre Hitler et Pétain, le CGPF (medef de l’époque). Pour les choix et projets du front populaire".
Tu leur doit tes congés payés , la semaine de 40h00 et les début de la Sécu, ta convention collective ou ton statut
J’ai des copains et des copines, encore au boulot, qui ne savent pas ce que c’est d’avoir plus de trois mois consécutif de paie sans retenues pour grève et cela depuis des années. Ils (elles) sont ouvrier(e)s technicien(,es) ingénieur(e)s cadres.
Toi, si en colère, que faisait tu dans ces temps chauds (95, automne 205 ou 2007) ?
peut-être que tu chantais ? déjà ?
Je suis loin d’en être fort aise,
D’autant qu’ensemble nous dansons maintenant .
Ta colère ne t’autorise pas à dire n’importe quoi