Les chiens de garde

Ce matin sur les télés un sentiment d’ecoeurement total, ces gens sont irrémediablement pourrris.On imagine la bouillie qui leur est enfoncé dans le crane dans les écoles de "journalisme", et la peur de perdre une place si enviable le salaire et la possibilité de cotoyer des phares de la pensée comme Gloasguen ou honneur supréme Sarkozy lui même pourquoi pas on peut réver....

La haine de classe n’est pas dans le camps de ceux qui ont moins de mille euros par mois, les derniers évenements le démontrent jusqu’a la nausée. J’ai été longtemps ouvrier dans une entrprise d’agro alimentaire et je sais ce que veux dire se lever a quatre heure du matin pour aller décharger des camions la nuit sous la pluie sous les invectives de petits chefs mains dans les poches, pressé par les chauffeurs, eux mêmes tenus sur les charbons ardents, l’oreille collé au portable ecoutant un petit patron fébrile les presser d’aller charger ailleurs le plus vite possible.

C’est autre chose que de pondre a longueur de journée des commentaires méprisants sur ceux qui essaient d’apporter de l’humanité et de la raison dans un monde gouverné par des gens qui ignorent l’effort ne le connaissent pas ne le connaitrons jamais et son prés a toutes les bassesses pour ne jamais le connaitre.

Ils nous prèparent un avenir sinistre plus qu’il n’est dèjà, sans se rendre compte que s’ils passent au travers de la precarité et de la misére ce ne sera peut être pas le cas de leurs enfants ou de leur proche, et que l’idéologie abjecte qu’ils deversent les recouvriras eux aussi
inéluctablement.

Macumazan