Accueil > POUR L’EROTISME ET MAI 68 !

POUR L’EROTISME ET MAI 68 !

Publie le samedi 28 juillet 2007 par Open-Publishing
10 commentaires

Vive l’amour sur les barricades ! (1)

Oui il faut continuer de vouloir s’admirer, s’embasser, se carresser et tout le reste comme on peut et comme on veut et ce contre "tous les coincés" de droite ou
de gauche. Cela ne signifie pas absence de responsabilité ou mépris de l’autre. Il faut être clair sur ces points : L’érotisme ne va pas sans empathie, sans gentilesse et sensibilité, même s’il donne volontier dans la transgression (sur la base du consentement).

En fait il faut ici défendre le chaud contre le froid. En clair défendre l’érotisme plus coincé que jamais entre l’ordre moral (religieux ou laïc) et la pornographie ou la prostitution, entre l’injonction de la pureté et celle de l’accouplement sans affect et sans parole. L’ordre moral se souffre pas l’érotisme, la pornographie non plus. Malgré leur opposition l’un et l’autre font jeu commun et se complètent pour séparer les êtres et les corps.

La pornographie est beaucoup plus connue que jadis car en quelques années elle s’est diffusée dans les foyers via le net. Il est très aisé d’y avoir accès. Le marché du sexe livre tous les types de corps, de toutes formes, de tous âges, de tout types de sexualité (hétéro ou homo) et avec tous les types de phantasmes . Chacun peut y reconnaitre les siens... et en découvrir d’autres.

Problème : elle n’a rien à voir avec l’érotisme, avec la chaleur affective d’une étreinte réelle. Le sexe marchandisé produit comme tous les pudibonds de l’ordre moral de l’isolement, de la séparation d’avec l’autre. L’un et l’autre refusent le contact réel. Ils militent pour la distance entre les corps et les êtres, notamment pour les jeunes.

Contre l’ordre moral religieux ou pseudo-scientifique (psychologues préconisant l’abstinence) il faut réhabiliter la pleine rencontre de l’autre. Car le contact commence par un regard, une parole, un échange avant de consentir à s’embrasser, se toucher, se donner du plaisir.

chrismondial

1 Je me laisse allé... En tout cas, ne pas en faire une norme

Messages

  • Très juste.

    Pourrais-tu me citer les psychologues en question ?

    Moi je préfère l’abstinence par période à du n’importe quoi.

  • On peut toujours trouver des différences entre pornographie....payante, et érotisme ....Gratuit.
    C’est ignorer la prostitution en tant que réalité sociale, ainsi que l’exhibitionnisme et voyeurisme en tant que droits humains. Le tout est de ne pas nuire notamment aux enfants et à ceux qui ne veulent "ni voire ni faire". Alors quoi, le X ne serait pas de l’érotisme ? C’est à voir. Je connais un réalisateur porno ses actrices et acteurs tournent pour le plaisir.
    Méfions nous de la censure y compris dans la façon de chacun d’envisager le sexe.

    Henri
    Editoweb Magazine

  • Mouai, bon, évidemment rien que ton titre m’a crispée d’entrée de jeu... "Erotisme" et "Mai 68" dans la même phrase dis donc, Christian, tu n’as pas froid aux yeux, ah lalala, revoilà la grande ombre du "pseudo libertarisme"...

    S’admirer ? S’embrasser ? Se caresser ? Oui, soit. Mais le fond de l’érotisme , ce n’est pas ça , il n’ y a pas d’érotisme sans voyeurisme, sans plaisir de voir, de regarder, à petite ou à moyenne échelle. Et surtout i ln’y a pas d’érotisme sans "vouloir-désirer".

    La pornographie, ça n’existe plus. Et franchement ,c’était pas mal non plus, quand ça exsitait encore. Aujourd’hui la vraie pornographie a changé de domaine.

    Elle n’est plus dans le fait de montrer deux filles se léchant entre les poils sous le regard concupiscent d’un mâle en train de s’astiquer ( et oui, "avant" les filles avaient un peu plus de poils et perso je trouve que c’était beaucoup plus excitant à regarder que toutes ces foufounes épilées au milimètre près, piercées et tatouées, bref...).

    La pornographie aujourd’hui ce sont encore des pratiques transgressives mais elles ont changé de support : ça va de passer à la télé pour raconter sa vie dans un show de TV réalité et se couper les poils du nez ou pleurer devant des millions de personnes à 19.45 ou, plus gore, étrangler sa voisine et la découper en rondelles, lui ouvrir le bide à coup de couteau de boucher et jouir de faire sortir le "dedans" par le "dehors".

    Normal vu qu’aujourd’hui en matière de sexualité, justement "grâce" à ma i 68, ce qui était "dedans" (caché) est devenu "dehors" (dé-caché). Et a donc logiquement perdu tout intérêt véritable.

    Ce que nous continuons d’appeler improprement à mon humble avis, films pornos ne sont que des mascarades. Quelle différence entre une Tracy Lord et une Clara Morgan, pardon du peu...L’une baise et l’autre fait semblant de baiser. L’une donne chaud, l’autre se contente de susciter un vague intérêt et pense surtout à ne pas abîmer sa coiffure oa à se montrer sous la plastique la plus "parfaite"...

    C’es t ce qui m’énerve le plus aujourd’hui chez les actrices porno en fait, ou qui se prétendent telles. Elles ne songent plus à représenter, à "faire" du sexe, elles se contentent d’accréditer de la pire manière toutes tyrannies consuméristes que font déjà régner sur nous les magazines féminins et à faire rentrer dans la tête des mecs qu’une nana avec une culotte de cheval ne peut pas être baisée ou alors, suelment comme si elle était "un monstre" !

    D’ailleurs, la surenchère à la quelle on assiste dans les pratiques filmées (double ou triple pénétratin, gang bang etc) montre bien ce que sont devenus les films pornos ( qui ont pratiquement disparus en fait au profit du "Hard") et les gens qui regardent des pornos : un lieu de consommation frénétique en plus. Toujours PLUS ! Même les soi disant amateurs du Web ont des tronches de hardeurs professionnels alors...

    L’érotisme, c’est bien autre chose en effet et heureusement ,CHristian, ça n’a rien à voir avec l’idéologie du "jouissons sans entrave" de Mai 68... Puisqu’il n’y a pas d’érotisme sans un minimum de contraintes, de mise en scène , réelle ou fantasmée, et de voyeurisme.

    Là où la pornographie ( ou ce qui en tient lieu) dit "jouir", l’érotisme dit "désirer".

    L’amateur de porno veut décharger, l’amateur d’érotisme veut désirer jusqu’à en avoir mal.

    Là où l’un commence par la baise, l’autre finit par la baise et encore, pas toujours.

    Qu’est ce qui te fait le plus d’effet dans la VRAIE vie CHristian ? Voir ta main qui se glisse sous une jupe et qui remonte le long d’une cuisse, ou mater en rentrant du boulot le chemisier de ta voisine de métro, entrouvert sur une poitirne qui laisse aparaître une dentelle de soutien gorge , avec tout ce que tu peux en imaginer ensuite (et en faire après !), ou voir en gros plan, au bout de 5 minutes de mise en scène pathétique, une pauvre fille, souvent pas très jolie du visage mais en revanche correspondant en tous points aux canons de beauté actuels ( pas de ventre, des seins en plastique, pas de cellulite, bronzée, épilée) , manifestement harassée par le nombre de prises de vue, pousser des cris de guenon et faire semblant de prendre son pied en se faisant piloner par un sexe à moitié dur, tout en ayant autre dans une main parfaitement manucurée et bagouzée ?

    Quand tu es excité par un film porno aujourdh’ui, c’est parce que tu ne regardes pas bien ce qui s’y passe. Tu ne regardes pas correctement ou plutôt tu n’analyses pas ce que tu vois. En réalité les stimulis que provoquent le porno t’emmènent et ailleurs et te font verser justement ,dans l’érotisme, presqueà ton insu, dans le fantasme...

    M. Foucault t’expliquerait mieux que moi comment l’immixtion d’une prétendue liberté publique de baiser a en réalité contribué à policer et à normer nos pratiques sexuelles, coemment elles sont aujourd’hui réglementées à contrario par tout un code ; si tu n’es pas échangiste, tu es nul, si tu n’es pas partouzeur u es nul, si ta femme n’avale pas, vlan, elle est nulle aussi, si elle n’aime pas la sodomie, pfff, trop naze..

    Toutes les minettes "in" de 16 ans aujourd’hui portent des strings qui dépassent de leur pantalon, elles ont perdu tous leurs pucelages ou presque et pourraient m’en raconter un rayon sur leurs sex-toys mais elles ignorent bien sûr ce qu ’est un orgasme, ce fragile trésor en cristal qui habite quelque part dans la femme et que parfois, la magie d’un-e partenaire sait faire résonner, ce "truc" indéfinissable qui est comme le mercure, qui fuit dès que tu crois l’approcher ...Elles vont passer des années dans l’antichambre de l’illusion du plaisir féminin parce qu’elles n’ont pas compris que ce n’est pas tant avec sn cul que baise une femme qu’avec sa tête (un homme aussi d’ailleurs, si on veut bien prendre la peine de vous écouter parler de la différence de qualité de vos orgasmes à vous...)

    Et tous les petits loulous ont fait leur éducation sexuelle à base d’éjaculation faciale et de fist fucking, mais ils pleureront quand ils auront 30 ans parce que leur femme ne voudra pas "faire tout ce qu’ils veulent" et qu’elle finira par se barrer avec leur meilleur ami !

    A côté de ça, ces grosses andouilles de filles ne savent toutjours pas tirer profit des seules avancées de Mai 68 : la pilule, les capotes, la liberté de choisir et la liberté de la femme de dire non à l’homme quand elle n’a pas envie, sans se sentir coupable. Dans un cas elles finissent plombées à 19 ans par des papillomavirus qui les laisseront stériles, et dans d’autres cas, elles doivent subir une ou plusieurs IVG, quand tous ces gens ne se chopent pas le SIDA ou la syphilis...

    Alors bon, tout ça pour dire qu’on n’en sort pas, Christian, le plus gros organe sexuel , le meilleur, c’est la tête ; et tu ne m’enlèveras pas de la tête, justement, que la chimie des corps et la vraie magie de la baise, elle ne peut exister qu’entre deux personnes qui se respectent assez pour transgresser ensemble leurs tabous, qui s’aiment suffisamment pour vouloir se faire plaisir ensemble, de façon mutuelle et consentante.

    Et surtout entre deux personnes qui ont atteint assz de complicité pour jouir du bonheur suprême de se regarder "mentalement" (ou "physiquement") en train de faire tout ça sans se juger et en essayant de se comprendre...Et que le "tout ça" parfois, c’est un "bête" missionnaire... et oui ;-)

    En gros et pour résumer , je crois que pour être ouvert il ne suffit pas d’ouvrir les jambes, i l faut surtout ouvrir les YEUX pour saisir le don de l’autre au moment où il veut se rapprocher de vous, quel que soit ce que recouvre ce don, et essayer de comprendre un minimum ce qu’on fait, sinon c’est pas "drôle" !

    Le plaisir c’est une sacrée aventure et il y a bien une différence, je pense, entre un "plaisir mécanique" et un "plaisir d’Amour" ou disons, de "désir" - la preuve, en général, on ne se souvient que très rarement de ses masturbations, voire pas du tout même quand on a eu un sacré orgasme, (à part peut être la première fois...), alors qu’on se rappelle avec émotion le jour où on a "culbuté" la fille de la boulangère, cette jolie Martine qui avait une peau de lait et des seins magnifiques, ou qu’on se souvient très bien du jour où son mari, pris par un coup de chaud, vous a saisie par les hanches dans la cuisine après le dîner habituel et vous a retournée comme un crêpe sur la machine à laver...

    Mais bon c’est juste un avis hein !

    Allez, des bises à tout le monde, c’est l’été il fait chaud , donc....rafraichissez vous bien et profitez du peu de vêtements que vous autorise la température ;-)

    Osémy

    • En quelques mots, petite camarade Osémy-Elodie, c’est l’amour VRAI qui produit le plaisir VRAI, et non pas l’inverse. D’ailleurs, le plaisir sans amour, on sait ce qu’il faut en penser, mais qui disait que s’aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, mais regarder tous les deux dans la meme direction ? Ca rejoint la parabole de Maguy, avec son doigt qui montre la lune : l’imbécile regarde le doigt, l’intelligent, ( ou l’intelligente, si si ça arrive quelquefois ) regarde la lune. Quoique, ces histoires de doigt et de lune, hein ...? Quand on sait le role de la lune dans les phénomènes naturels, marées, aérologie. Et puis aussi, les louves et loup-garous. Finalement, la lune c’est sérieux, faut pas rigoler avec ça. Et soit dit en passant, le net a quand meme du bon : je me demande si la productivité de la Louve sur Bella Ciao ne serait pas en réalité de la plusion inconsciemment sublimée de louve-garouse ? A voir, ça, à voir....Pour l’instant, je ne puis que te recommander de te mettre à l’apéro civilisé de Reboursier. C’est pas la lune, quand meme ? Allez bises d’un lunatique qui a du mal à supporter la persistance de certaines vieilles lunes. Vieux stal borné.

    • Mieux vaut "mater" du matériel "papier" que du matériel "photographié" .
      Suirtout, mieux vaut mater du matériel photographié que du matériel filmé.
      Why ? Le porno ce n’est pas une partie de plaisir pour les pro, sauf à généraliser sur une minorité de femmes qui font ce travail sans harcèlement.
      Lorgner de tps en tps les séquences en spam c’est autre chose que d’acheter des films

      Bon je passe à autre chose sur l’érotisme :
      Je cite ci-dessous Valérie DAOUST (cf blog chrismondial pour le texte complet)

      « L’amour confluent » met l’érotisme au centre de la vie conjugale et devient un idéal dans une société, pense-t-on, où chacun peut s’accomplir sexuellement : ainsi, parallèlement à la sexualité pensée comme une multiplication d’expériences permettant une découverte de soi et une sexualité-spectacle qui n’implique pas de relation à l’autre, il existe une sexualité qui prend la forme d’un accomplissement personnel à travers l’expression des sentiments, et qui exige aussi une reconnaissance subjective réciproque. Cette reconnaissance réciproque n’est pas exclusivement hétérosexuelle et monogame.

    •  Sexe sans norme ?

      L’érotisme suppose le partage des fantasmes. Les fantasmes existent en dehors de la pornographie même si la pornographie s’appuie sur eux. On ne peut faire comme s’ils n’existaient pas. Ils sont liés à l’imaginaire en nous. Comme ils ne sont pas « moralement correct » les psychologues moralistes les voient comme intrinsèquement aliénants et non comme des jeux à partager, des jeux créateurs de complicité et d’intimité.

      Le docteur LELEU ne veut connaître que la caresse et hors des caresses partout point de salut (la caresse est « évidemment positive mais toutes les femmes et tous les hommes n’ont pas la peau douce favorisant une sexualité de caresses), Isabelle FILLIOZAT elle pense que « quand on respire trop peu, on doit avoir recours à des fantasmes pour se stimuler ». Chassez ce phantasme que je ne saurais voir.

      Je préfère la position de Monique AYOUN que je reproduis de la revue Psychologies :

       Qu’est-ce qu’une sexualité épanouie ?

      Les sexologues sont d’accord : il n’y a pas de norme. « Une sexualité réussie ne se mesure pas au nombre d’orgasmes » assure Xavier Boquet. Philippe Brenot renchérit : « Cela varie selon les individus. Certains s’épanouissent dans le couple monogame, d’autres dans des relations multiples. L’important réside dans la liberté d’exprimer ses désirs ou ses fantasmes sans qu’il soit forcément nécessaire de les réaliser. La non-contrainte de l’autre est essentielle à l’épanouissement sexuel. En clair, c’est très bien si tout est permis, mais à condition que les deux partenaires en aient autant envie » Selon Robert et Claire Gellman, une sexualité épanouie « est tout simplement une sexualité qui ne génère pas de frustration. Ce qui suppose de pouvoir établir avec le partenaire une bonne communication où chacun peut tenir compte des désirs et limites de l’autre en respectant ses propres désirs et limites. Cela suppose également de pouvoir se départir des a priori normatifs, et de s’intéresser plus à la qualité de la relation amoureuse qu’à la compétitivité, la réussite ou l’échec. »

    • ORIGINE (bien connue) DE "FAITES L AMOUR PAS LA GUERRE"

      Daniel Cohn-Bendit, alors étudiant, interpella en cette occasion le ministre de la Jeunesse et des Sports François Missoffe en ces termes : " J’ai lu votre livre blanc sur la jeunesse, on n’y parle pas de sexualité. " Le ministre lui répondit : " Si vous avez des problèmes de ce genre, vous n’avez qu’à plonger dans la piscine pour vous défouler. " La réponse du ministre fut considérée comme une provocation. Quatre mois plus tard, Mai 1968 explosait et le slogan " Faites l’amour pas le guerre " fleurissait sur les murs.

    • Celui qui "mate" du porno pour s’exciter et jouir ne doit pas oublier que dans la pornographie, l’amour, la bonté, la compassion, la culture, l’empathie, la grandeur, la pitié, la pudeur, le respect, la sensibilité, le sentiment, la tendresse, le scrupule n’existent pas. Il n’y a ni conscience, ni esprit, ni libération, ni loi, ni morale, ni pensée, ni raison.

      AM

    • De Michel LOBROT

      L’érotisme de l’adulte privilégie de nombreuses zones de plaisir et de nombreuses valeurs esthétiques interviennent dans sa sexualité. L’érotisme de l’adulte a besoin d’excitations et de stimulations qui s’inscrivent dans une recherche créative permanente. Cette sexualité qui implique un choix d’objet, contrairement à ce qu’a dit Freud, n’attache pas à la zone génitale toute son importance. Elle s’intéresse à l’autre dans sa globalité (valeur esthétique, attirance sexuelle, personnalité…).

    • EVOLUTION Il manque à ce texte écrit il y a dix ans la distinction majeure faite depuis - à la suite de l’apport du « double regard » (C Delarue) - entre le porno HARD qui, outre le fait prostitutionnel pour les actrices et acteurs, expose de l’humiliation, de la violence et de la souffrance de l’autre - ce qui est assurément grave - et le porno SOFT qui expose lui simplement des corps sexualisés, certes des corps-objets , mais ou 1 - le plaisir réciproque et consenti et 2 - le « plus-que-le corps-d’autrui » (ou la non réduction au corps-objet ) sont ou restent encore pensables - c’est important de répéter cela - pour tous ceux et celles qui certes se masturbent (place donc à une sexualité assumée quoique non limitée à la caresse ) mais qui n’entendent pas pour autant abandonner tout le champs de la richesse de la pleine ouverture à autrui sans captation d’autrui sans pouvoir sur autrui. Soit pour être bref, du relationnel mutuellement respectueux et dans la liberté et l’égalité !