Accueil > Tous pourris !
La sordide affaire Woerth-Bettancourt a fait remonter à la surface les pratiques monstrueuses jusque là occultées.
Elle est révélatrice de la corruption généralisée qui sévit dans les plus hautes sphères politico-financières de notre pays. Les pratiques de la bourgeoisie, dans ce qu’elles ont de plus ignobles, ont été mises à nu.
Cette classe sociale bénéficie d’une totale impunité, dans ce monde où tout peut se vendre ou s’acheter. Depuis la formation de la fortune des Le Pen , en passant par les montres de Julien Dray, les diamants de Giscard, ou les cigares de Blanc, les mensonges de Jean Sarkozy ou les juteuses magouilles de son père, tout ce petit monde au service de la finance et du capitalisme s’ést toujours serré les coudes pour pouvoir empocher ce qu’on appelle pudiquement le "retour sur investissement".
Aujourd’hui, les projecteurs sont braqués sur le couple diabolique Woerth, qui semble avoir bénéficié de complicités au plus haut niveau de l’Etat pour accomplir leurs immondes forfaits.
La mansuétude observée jusque là par une population ignorante et résignée, doit faire place à la plus grande sévérité : face à ce système où pratiquement tous les politiciens sont intégralement pourris, depuis l’extrême droite jusqu’au PS, l’heure est à la rupture !
Un grand coup de balai s’impose ! Ce n’est pas seulement la démission des commis de l’Etat et du capital qu’il faut exiger, c’est la mise en examen et la prison ! Et de ce tas de fumier en pleine décomposition, c’est la relève qu’il faudra assurer à l’échelle du pays. Relève qui ne pourra venir que du coté de la gauche radicale, comme par exemple le NPA, faite de femmes et d’hommes salariés, vivant comme l’immense majorité de la population, et n’ayant jamais trempé ni de près ni de loin dans ce monde où le fric semble avoir fait perdre tout repère.
Messages
1. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 08:24, par patrice bardet
à lire sur Bellaciao
– de Patrick Mignard : Usage et contre-usage du "Tous Pourris"
– de Bernard Sarton : Tous pourris ! En effet... Pourquoi ?
2. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 10:27
euh, achetées avec son pognon non ?
1. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 14:07, par Alain Chancogne
Lequel pognon, bien entendu ne fut que le fruit de son travail.
.
Comme le tien et le mien.
.
Parce que la corruption passive ou pas, le lien du Kapital avec la social démocratie, c’est évidemment une accusation de gauchiste !
C’est exact. je le sais trèsbien moi aussi....
:)))
.Pour avoir été en situation d’élu qui a reversé 18 ans d’indemnités à son Parti et vit en HLM..je sais bien qu’aucun responsable socialiste ne saurait être confondu avec le Capitalisme , voyons !
D’ailleurs le Lénine français, ex maurassien et pacificateur au lance flammes de l’Algérie, mort dans la misère, un certain François Mitterrand le déclarait tout net au Congrès fondateur du PS à EPINAY
http://miroirs.ironie.org/socialisme/www.psinfo.net/entretiens/mitterrand/epinay.html
On croirait lire du COPAS..
:)))))))
2. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 18:04, par copas
AC (de sang) s’est endormi sur le clavier,
Copas parle de pouvoir des travailleurs indépendant de l’état et des institutions, d’une force de masse unitaire et populaire qui s’érige dans les combats du réel, de force unitaire de résistance en pouvoir face au capitalisme(la lutte des classes quoi...), mais pas d’envolées lyriques sur la rupture.
Même si le lyrisme n’est point à dédaigner.
De plus, comme tu le sais, j’ai un point de vue particulier sur les couches sociales qui s’érigent entre les classes et qui ont fonction de vivre des relations entre les classes et qui fuient comme la peste toute situation qui peut leur faire perdre leur écuelle (68, les mobilisations qu’ils ne contrôlent pas)
Donc oui un peu de Lénine sur la relation à l’état qui n’est point neutre, beaucoup de rupture avec les institutions qui ne sont pas neutres mais taillées au service du capitalisme (re-Lénine sur l’état ), plus que du trotskisme qui n’a pas été assez loin sur la question du nomenclaturisme et de la compréhension des conséquences de l’écroulement des organisations du mouvement ouvrier (on ne peut faire fond de commerce d’une opposition à des partis écroulés).
Dans le jeu des exploiteurs, des classes sociales et des couches sociales, il n’y a pas que la bourgeoisie, la paysannerie et la classe ouvrière.
Les nomenclaturas existent également dans plusieurs segments. Elles existent dans les entreprises capitalistes, ce sont par exemple les dirigeants et hauts cadres d’entreprise chargés de ramener la galette aux actionnaires.
La bourgeoisie les tient en laisse en ayant des liens incestueux avec et en partageant les mêmes plumards. Elle les achète ainsi en lui offrant des actions et leurs filles (ou leurs fils, n’est ce pas Nicolas ?).
Les nomenclaturas issues du mouvement ouvrier (issus des partis social-démocrates ou du stalinisme, deux faces d’une même médaille aux mêmes problèmes de fond malgré les particularités) ou greffées dessus, par des tas de chemins, qui finissent par dépendre matériellement de leur contrôle de la classe ouvrière et des prébendes du capitalisme .
Elles sont sécrétées essentiellement par l’autonomisation de permanents vis à vis d’une classe populaire, qui par effet de masse finissent par avoir des comportements cristallisés de couches sociales (écouter les sabirs de nos dirigeants syndicaux, on voit une même matrice, malgré les différences de boutiques)
Le XXIeme n’a pas fait progresser les choses là dessus.
On continue de parler des directions de partis et syndicats comme des gens qui font des erreurs ou trahissent. On se trompe. Ils ne font qu’agir en fonction de ce qu’ils croient être leurs interets en tant que couche sociale, malgré tous les charabias et phrases alambiquées.
Tous et toutes ne sont pas à jeter (c’est la variable individuelle, comme les bourgeois), également en tant que couche sociale on peut faire un petit bout de chemin avec ponctuellement, mais ne pas se tromper sur ce qui les anime.
Par contre les croyances des "bases" en leurs "chefs", "dirigeants", leur grande tolérance, sont des choses à prendre au sérieux.
Mitterand ? Il a fait partie des greffes qui sont venues chercher des munitions dans une classe. Apres ....
Tu aurais pu parler de Giscard également qui se référait au communisme lors de sa première élection en magnifiant la rupture vis à vis de la boucherie de 14-18 et des valeurs de la résistance....
Comme quoi ils osent tout ...
Ils citeraient Lénine si cela était necessaire, rien ne les étouffe, c’est comme ça.
Je dis ça comme ça...
Voilà,
bien à toi...
himself Copas,
PS : j’ai raté le HLM , je suis dans un studio...
3. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 19:26, par Alain Chancogne
..
mouais..
mais zenfin tu continues à mettre..
PS.!!
:))
.Alors que bibi , même pensant que la C.F d’été.. ou d’hiver c’est pas excellent pour les luttes, je mais Nota(t.).bene. depuis des lustres...
Ceci étant je partage bien entendu ton post à 100 pour sang..
Je ne mentionnais ton pseudo que pour avoir le plaisir et l’honneur de me voir reprendre par toi.
Ce n’est pas du cinéma !
Même si tu habites un studio..
Au fait précision : j’habite une résidence.., j’ai mis HLM par ouvrièrisme
.Même si les prolos n’ont plus les moyens de payer des loyers de cités.Surtout quand, intégristes du Marxisme pur et dur, les patrons les ont libéré de leurs chaines pour les transformer en chômeurs
Pour en revenir au" fil," c’est vrai que personnellement je reste toujours pantois de voir à quel point la lutte des classes peut conduire, de par sa violence dans cette crise globale du K..à ce que des copains (sur Bella Ciao ou ailleurs) ne supportent pas qu’on rappelle que la bourgeoisie a deux fers au feu, que le personnel de gôôche (j’englobe le Front mélanchono-pécéien dans cette expression) est un des nécessaires relais institutionnel de même politique de négation d’humanisme pour raison de volonté affichée de pérenniser le Capitalisme.Un coup de barbelé sarkosyen un quinquennat, un zest de vaseline rose pour punir..et on repart pour cinq ans..
Sauf que les "coachs" du capital ne peuvent plus faire illusion longtemps .La vaseline grecque ou espagnole nous le démontre..On n’est plus du temps ou il y avait un peu de grain à moudre..pour les "réformistes"
.Car réformer est devenu, pour cause de besoin du K , synonyme de régressionobligée, la dérégulation mondialisée et européennement orchestré , c’est le nécessaire besoin de s’affranchir detoutes règles contraignantes et qui sont le fruit de luttes sociales de plusieurs générations.
Mes propos( parfois outranciers) contre le PCF -sans esquiver ma propre part de responsabilité- s’expliquent par ce constat : Que le PS aie surfé sur sa nature pour entuber les masses, c’est normal.
Que "nous" ayons peu ou prou selon les périodes conduit à ce que sur Bella Ciao, des progressistes, des militants s’insurgent que nous rappelions ce qu’est le Parti Socialiste, voilà un drame !
Comme si "moindre mal" (et encore ! demandons aux espagnols que je connais mieux que les grecs.) pouvait signifier un quelconque" mieux"
Cette non prise en compte majoritairement par les travailleurs et les "petits" de cette opinion que je rabâche , plombe la perspective
.Comme nous le pensons -malgré nos divergences- , cela impose de faire du NEUF en terme de projet et de formes d’Organisation du mouvement.
Pour une raison supplémentaire , selon moi, ces dernières semaine.
Je n’aime pas du tout le "tous pourris" comme slogan.
Il porte le désespoir. Le juste dégôut des magouilles c’est pain bénit pour la montée certes de l’extrème droite mais hélas surtout pour ce qui est un enjeu de classe
décisif : écarter la classe , les exclus, les précaires, la jeunesse notamment du BESOIN d’avoir à S’OCCUPER de ce qui les REGARDE sans déléguer à personne l’intervention au quotidien sur tous les terrains (luttes, votes etc) du "peuple" face aux possédants..
Là, j’ai effectivement plus que des interrogations.Car je ne me prive pas -et ne me priverai pas en 2012 si rien n’a bougé- de mener le combat pour que la "grêve des urnes" soit un acte citoyen de processus révolutionnaire.
En sachant que cela conforte, contradictoirement, le bipartisme mortifère.
Mais nous aurons là dessus, j’en suis certain , des échanges passionnants
Ici, ailleurs , bien entendu sur le "net" mais surtout dans les masses..
Bien à toi.
AC (fait chier le monde pour cet aprem)
:)
4. Tous pourris !, 21 juillet 2010, 06:18, par Cop
peut-être pas le bon fil pour parler de tout ça, mais ok en large partie.
le "tous pourris" me gratte aussi.
sur les fers au feu, je pense qu’il ne faut pas trop être mécaniste là dessus, les actes et les silences (les silences, un truc qui vaut souvent 1000 démonstrations) sont déjà un large champ d’évaluation, ensuite vient ce qui se dit et enfin les supputations.
Sur Méluche, ou le PC, je ne pense pas que la bourgeoisie les ait comme une de ses hypothèses de sauve-garde.
Même si des concours de circonstance peuvent amener ces courants à se mettre au service du capital (c’est déjà arrivé) et à jouer ce rôle de sauvegarde.
On a vu que le moindre roulement de tambour patriotard mettait au garde à vous derrière le petit, Hollande, Duflot, Marie-George, pour clamer la marseillaise dans une opération de retape impérialiste de Sarko au Liban, c’est dire si la chair est faible.
Je pense quand même qu’on doit s’interroger sur les couches sociales qui sont sécrétées par les relations entre les deux grandes classes, et vivent d’être intermédiaires, comprendre leurs dynamiques et leurs ressorts.
Mais bon, si il est bon de comprendre ce qui se passe et les mécaniques à l’œuvre, force est de constater que ce sont lors des terribles secousses conséquentes que les populations en prennent conscience.
5. Tous pourris !, 21 juillet 2010, 11:01, par Alain Chancogne
.
Oula..Faudra effectivement qu’on fouille ça !
..
Tout ce qui est par nature (PS) ou de nature aujourd’hui à confiner la colère dans le défoulement de la rue, la force d’appoint pour seconds tours d’alternances sans alternatives, c’est une sauve garde du K.
Selon moi.
C’est, objectivement contre révolutionnaire..
Si les mots ont un sens.
que cela soit fait consciemment et pat intérêt de survie du "vieux" qui le dispute au nécessaire besoin de "nouveau"..( je vise là des "directions" ) ou que cela accompagne cette paralysie du processus révolutionnaire .
Là je n’épargnerai plus ce que je vise, les "militants" qui , à l’insu de leur
plein gré ,peut -être, sont, les "idiots utiles" préparant la relève DSK en cette fin de règne de la monarchie sarkosyenne qui pue.
Qui pue tellement que je pense que la bourgeoisie a tiré un trait sur le Nain...Et en" rajoute" par ses médias, pour une relève rapide de formes de gouvernance devenues repoussoir
Permettent au MEDEF d’escompter , en 2012..ou avant., une crise politique organisée, comme le fut la décision de risquer un "bon " Jospin qu’un Juppé cramé en "dissolvant" soit disant connement l’Assemblée en 97...
.
Là oui, on peut dire que ces éventuells calculs, c’est, en terme de solutions ; ;du "tout pourri"....
– Cordialement
Ac
6. Tous pourris !, 21 juillet 2010, 18:45, par Cop
Tout tourne donc dans la relation qu’on entretient avec des travailleurs illusionnés par des directions de partis qui ont des interets collectifs matériels qui imposent de choisir l’ordre bourgeois dans les périodes importantes.
Sur la question des élections , il n’y a pas de problème pour moi du moment que le comportement d’un parti, sa politique, ne permet aucun doute sur son attitude par rapport à l’état et la gestion bourgeoise.
On peut appeler à voter pour une gauche molle si il n’y a pas de doute sur l’orientation portée par qui appelle et qu’il n’y a pas de volonté d’alliance de gestion au service du capital.
La bataille politique qui a eut lieu à l’intérieur de plusieurs partis autour des dernières élections a tourné finalement beaucoup sur cette question. De même ont été éloquentes les volontés de ne pas débattre des alliances avec le PS dans d’autres partis et vis à vis de l’extérieur. Les assauts pour dire et ne pas dire en même temps ont été impressionants au PC, au PdG et dans une partie du NPA.
Je parle de cela parce que ça va redébouler bientôt (sans compter que les "affaires" peuvent précipiter absolute Nikos dans une poubelle avant franchissement de date de préemption ).
La question des alliances de classe
Il n’y a pas d’alliances de classe sur-dimensionnées à faire quand la classe fait déjà 80% de la population . Il y a d’abord le travail à faire de l’alliance de la classe elle-même , de travail d’unification de ses couches sociales (cf l’article de LL sur les travailleurs des petites entreprises), avant de songer à s’allier à d’autres classes.
Il n’y a pas lieu de se priver de s’allier avec des petits paysans étranglés, quand la question se pose, mais l’alliance de la faucille et du marteau n’a plus la même importance. De même la montée en puissance numérique du prolétariat moderne relativise l’importance de beaucoup d’alliances et (surtout) de ceux qui théorisent là dessus.
7. Tous pourris !, 21 juillet 2010, 19:49, par Alain Chancogne
Là nous sommes au coeur de notre divergence et nous aurons loisir et plaisir à nous en expliquer plus à fond , ami Colas.
Je pense que le rapport de la classe avec les urnes est aujourd’hui à aborder avec un regard totalement nouveau , comparé à d’autres périodes.
Mais on déborderait trop du sujet. On y reviendra, bien entendu.
J’en suis à me dire qu’aujourd’hui le CIVISME , l’intervention CITOYENNE , la DEMOCRATIE..sont , comme les notions de "gauche" de "droite" , des concepts totalement obsolètes de par leur contenu pourri par le Capital
Si nous n’approfondissions pas , dans le Projet de communisme, la question du nouveau à inventer en terme de rapport institutionnel à façonner pour qu’une démarche autogestionnaire de lutte de classes , ne" bute" pas sur des institutions hyper-centralisées de monarchies (de l’entreprise au sommet de l’Etat ), alors nous serions tout autant paralysés que le serait un coureur cycliste qui prétendrait gagner le Tour sans user des fortifiants illicites fournis par les sponsors..utilisés par ses concurrents..
:)
AC ..
8. Tous pourris !, 22 juillet 2010, 17:28, par Copas
le rapport aux urnes est toujours en partie le même, avec beaucoup d"illusions.
Ces illusions sont des obstacles. Les surmonter c’est expliquer ce qu’elles sont, bien les comprendre et ce’ que recherchent là les travailleurs illusionnés.
Mais au fond et au concret,l’essentiel ne se joue pas dans l’enkystage institutionnel.
Le grand problème pour moi de ces dix dernières années n’a rien à voir avec les elections, ni d’une absence de potentiel de lutte des classes, mais d’une question d’outils organisationnels de masse.
Là où se brisent les incantations à la grève générale c’est bien dans la sous-estimation de l’effort intense et pensé en partie autrement pour construire des outils unitaires et de masse non corsetés susceptibles d’être à hauteur sur le seul terrain fondamental, la lutte des classes réelle.
C’est ça qui me semble important, cette reconstruction des outils de masse dans le feu des batailles du réel en agglomérant les endroits et les morceaux d’organisation de masse fonctionnelles.
Si on veut le socialisme , on peut avoir des partis qui y travaillent , mais ce sont bien les outils susceptibles de se dresser , avec leurs logiques, en contre-pouvoir, en embryons de l’état autogestionnaire, qu’il nous faut construire.
Les chemins pour y arriver sont ce qui importe, il s’agit pas moins d’avoir des outils qui en même temps font reculer la bourgeoisie sur la question du partage des richesses créées et en même temps outils susceptibles de briser le capitalisme.
Et c’est la question essentielle pour moi, les questions électorales sont subalternes , existent mais ne sont pas le centre de la bataille, juste des moments à juger suivant les opportunités et l’utilité de la comprehension des plus larges masses.
9. Tous pourris !, 22 juillet 2010, 17:34, par Copas
et ces partis manquent ou remplissent mal leurs fonctions, ils ne sont pas méthodiques, ils ne cherchent pas des alliances pour résoudre le problème réel de reconstruire des outils de masse mais s’illusionnent sur l’impact d’alliances électorales avec des partis qui ne rêvent que d’enkystage et sont suffisamment roués pour neutraliser toute alliance utile.
Un ou des partis , des réseaux politiques , tout ce qu’on veut travaillant méthodiquement
des outils de masse de lutte de classe unitaires et dénomenclaturisés construits dans les batailles du réel.
3. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 12:01
Penser que il n’y a qu’à goche qu’il n’y a pas de pourri est soit naif soit stupide....
c’est le pouvoir qui corrompt pas l’étiquette
cf Lula au Brésil ,
1. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 16:11
cf Lula au Brésil
Ben, Lula, au Brésil, n’est pas étiqueté particulièrement de "Droite", en admettant qe "Droite" ou "Gauche" ça veuille dire encore quelque chose.
Non ???
Pour le reste c’est sûr que c’est ni Castro, ni Chavez.
((- :
G.L.
2. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 18:06, par copas
Lula a une politique de droite, au service du capital.
Comme quoi on peut faire "du Mitterand" même en étant d’extraction populaire.
3. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 18:09
c’est bien ce que je dit
Lula était clairement étiqueté à gauche avant son election
on voit ce qu’il est devenu ( le meilleur copain de sarko par exemple....)
4. Tous pourris !, 20 juillet 2010, 23:44, par qestrol
Au début ça ira et petit à petit cette future hypotétique gauche recommencera à faire comme les autres : gagner de l’argent et le système reprendre de plus belle. On y échappe pas. Tant qu’on est dans l’opposition ça va et une fois que l’on dirige on fait pareil que les autres.
1. Tous pourris !, 21 juillet 2010, 00:00, par LL
2012, la fausse gôche de mes deux repasse (les plats). Martine Aubrise-miches ou Dodo Strausskhan ou Ségo-la reine du Poitou... est président-e- pendant 5 ans et mène une politique libérale (mais avec de la vaseline).
2017, l’abstention monte encore d’un cran, et l’extrême droite vraie de vraie (encore plus vraie que celle là) arrive "ENFIN" au pouvoir en France.
Pour éviter ça : un rassemblement communiste et un souffle révolutionnaire (et plus si affinité....), de l’ACTION, de l’AUDACE, du COURAGE, vite, vite.
LL
5. Tous pourris !, 25 juillet 2012, 12:09, par LASCAUX
Monsieur dans la grande famille qui est la votre, je suis à la recherche d’une photographie du lieutenant puis capitaine Joseph de Boisseson mort pour la France en Argonne au 100 régiment d’infanterie. Attention il existe un autre Joseph qui lui est spahis.
L’objet de cette démarche est de croiser une documentation afin d’identifier un officier présent sur une photographie de groupe restée depuis dans la famille MARCHEGAY. Cette dernière tenant le carnet de route de leur grand père au 100 d’infanterie
Bien sur de ce que je puis voire votre généalogie est vaste, mais les cousinages aidant !
Merci pour votre aide possible.
Respectueusement
Philippe lascaux
06 07 47 95 96
Dernier officier traditions du 100RI
61, rue André Emery
19100 BRIVE