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Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle.
Publie le dimanche 19 août 2007 par Open-Publishing24 commentaires

Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME
Jack London, l’aventurier à l’œuvre immortelle
Si une œuvre littéraire mérite d’être relue si souvent sans jamais se faire détrôner par d’autres plus récentes, inusables ou fortes, incontestablement celle de Jack London est l’une parmi les rares élues pour l’éternité.
D’abord elle est faite d’un panache qui ne dément pas le grand talent de celui qui la signe, subjuguant aussi bien le lecteur occasionnel que le critique qui se risque à cerner sa portée. Ensuite, parce qu’elle se compose d’écritures variées - journalistique, poésie, théâtre, essai, nouvelle et roman - toutes singulières les unes que les autres. De coloration captivante propre au roman d’aventure où il excelle, justement le bouquet romanesque recèle toute l’exigence fictionnelle du genre prisé de tous lecteurs et jalousement convoitée par les plumes. L’imagination de Jack London s’est bien accaparée la verve littéraire où le chaos et l’intrépidité des intrigues tiennent en haleine. Ce qui pérennise l’œuvre, bien idoine à être découverte en tous les temps.
L’homme extraordinaire, l’équivalent d’une centaine de livres attachants accouchés en moins de 25 ans, appose avec brio son empreinte dans chaque ouvrage. Ce qui donne un sens mirifique, harmonieux et incomparable à toute l’œuvre. Un timbre d’une fierté généreuse, distillé sans concession de sa philosophie à la fertilité inouïe parcourt les textes griffés dès la première ligne. On se demande à la visite de la multitude de titres, quelle vie a-t-elle bien pu accoucher des monumentales qualités ?
La droiture exemplaire conjuguée aux capacités prolifiques rares font de l’auteur l’idole de plusieurs générations de lecteurs et érudits en belles lettres. Les déboires difficiles de son parcours devaient donner un écrivain maudit, celui qui vit les misères. Au contraire, ils lui forgent une personnalité avide de gratitude et l’obtient avec la littérature. S’approfondir dans la connaissance de ses romans, mène à la quête des biographies qui lui sont consacrées pour saisir le mystère de son génie. Dans chacune de celles lui sont faites, il est dit que l’œuvre est puisée du vécu et s’articule avec le fantasme créatif et le style rédactionnel approprié au genre.

Né le 12 janvier 1876 à San Francisco, année où sort L’Aventure de Tom Sawyer le roman Mark Twain dont toute l’œuvre est de la même essence. Sa tendre enfance s’est baignée dans l’atmosphère de spiritisme entretenu par sa mère, ce qui activa l’étalement de sa rêverie fantasmagorique inspirant l’émérite œuvre. Fils illégitime de Flora Wellman, une mère issue d’une famille aisée de l’Ohio qui s’est enfuie de chez ses parents dès 16 ans. Cet âge ne l’a pas empêchée de détenir déjà une culture qui lui a permis de survivre en donnant des cours de piano et de diction avant de se consacrer au spiritisme. Et d’un père, William Chaney lui-même autodidacte et auteur (roman et poésie) qui ne l’a jamais reconnu. Parce que ce dernier se considérait stérile mais pas impuissant, il prit sa quatrième épouse sur six, Flora qu’il abandonna dès qu’elle lui annonça qu’elle était enceinte croyant qu’elle le trompait. Quand ils formèrent leur couple en 1874, elle avait 30 ans et lui 53. Le 16 septembre 1876, elle épouse John London, un veuf poursuivi par sept enfants auxquels se rajouta le futur Jack qui a été considéré par ce maçon et fermier comme son propre fils. C’est sa demi-sœur Eliza qui s’occupa beaucoup de lui.
Il savait lire et écrire dès l’âge de 5 ans selon l’unanimité des biographes qui insistent sur sa jeunesse accablée de moult précarités. Autodidacte de haut vol, Griffith London Chaney dit Jack se considère « un raconteur d’histoires » comme se définissent par modestie élémentaire tous les écrivains. Le brin hors-normes, qui le fait dépasser d’une tête les autres, réside dans ses opinions de rebelle et sa disponibilité à graver avec forte considération la part de son environnement et celle de son vécu dans sa littérature bien plus que fascinante.
Jack a commencé à travailler dès 13 ans dans une conserverie qui conditionnait les produits agricoles, en tentant de publier des articles de presse. Puis économisant et contractant un prêt chez une femme noire, il s’est acheté une barque et s’est mis à écumer les huîtres de la baie de San-Francisco. Le 17 avril 1894, à 18 ans, il était parmi les 100 000 chômeurs qui ont marché depuis sa ville, San Francisco, sur le capitole à Washington. Des centaines de milliers d’autres ouvriers ont pris départ de leurs villes respectives afin de réclamer du travail, ceci pour sa présence dans l’histoire des Etats-Unis et les luttes qui lui a été d’une inspiration pour écrire principalement trois essais sur le socialisme. Il déserta le 24 mai « l’armée industrielle », telle qu’elle a été baptisée. Car il était très difficile de nourrir les marcheurs dans les villes traversées où l’accueil des autres travailleurs était solidaire, contrairement à celui du peuple de droite qui était hostile. Ses premiers papiers de presse commencèrent à paraître après cette escapade avec les hordes de gueux.
Aventure qui l’a marqué pour la vie et déclencha sa conscience politique qui fait de lui un communiste que très peu de biographes et de critiques rapportent fidèlement. Pourtant il s’était fait d’abord une réputation de politicien en se portant candidat dans des élections locales et par une fougueuse participation dans des salons de discussions socialistes que tenaient les mouvements de gauche au début du XXe siècle aux Etats-Unis. Lénine mourant se faisait lire « Talon de fer », Trotski le cite dans ses écrits et Che Guevara prenait référence de ses travaux.
Cependant sa vocation d’écrivain est parvenue au raffinement de son expérience d’impénitent aventurier dans, la ruée vers l’or, les équipées au Klondike. Il le reconnaît lui-même en écrivant en 1915, un an avant sa mort : « C’est au Klondike que je me suis découvert moi-même. Là, personne ne parle. Tout le monde pense. Chacun prend sa véritable perspective. J’ai trouvé la mienne ». Dès son retour du froid canadien et de sa fièvre de l’or, comme des milliers de chercheurs, ses premières nouvelles ont vu le jour. Le succès par la richesse matérielle s’en est suivi par la magie d’une écriture considérée, à ce jour, moderne où chaque mot galvanise sa démarche d’auteur.
Si pour Ernest Hemingway qui a est de la même trempe, en écrivant pendant des années depuis le bureau de Fidel Castro, la phrase courte et salvatrice se composait de : sujet, verbe et complément. Chez Jack London, le livre d’environ cent pages sous le format dit poche, le récit est condensé pour contenir et libérer à la fois toute la matière et les thèmes qui le composent. Certain de ses écrits sont à cheval entre la nouvelle et le roman.
The Redge Pleague (La Peste écarlate), publié en 1912, est l’une des merveilles que nous a léguée Jack London. De quelque 70 pages, ce court roman est celui où l’anticipation concerne notre époque, au regard des grandes maladies - sida et grippe aviaire - qui angoissent scientifiques et gouvernements. Il raconte l’extermination de l’humanité par une maladie hautement contagieuse par l’air, précédant les concepteurs de vaccins et semant une panique généralisée au niveau terrestre.
Messages
1. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 19 août 2007, 16:58
Le Talon de Fer, car nous y sommes quasiment. Et, pour rêver, La croisière du Snark.... un peu d’air pur ça fait du bien.
1. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 20 août 2007, 08:57
Le Talon de Fer est à coup sûr un des livres que j’emmènerais sur une île déserte...
2. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 19 août 2007, 20:50
Jack London est mort en 1916, à quarante ans.
3. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 19 août 2007, 22:08
un livre qui est excellent "le vagabond des étoiles"
4. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 20 août 2007, 20:09
j’aime Jack London, mais le texte de cet hommage est terriblement mal écrit, grandiloquent et prétentieux.
sylvie
1. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 21 août 2007, 09:38
Bonjour.
Vous n’êtes la première à posséder la terreur (terriblement) de ne rien faire et de dénigrer ceux qui osent et font. D’ailleurs dans ce forum, il n’est plus possible de modérer les discussions (sous forme d’emmerdements) faites avec un paquet d’insultes et d’arrogance aux rédacteurs. Encore vous pouvez consulter mes articles sur « Bellaciao » et vérifier comment les modérateurs des discussions ont mis les points sur les « I » aux interventions comme la votre qui a le dénigrement abjecte et l’invective gratuite, notamment concernant un de mes modeste article sur le WEB 2.0 sur Bellaciao. Ce même texte sur Jack London a été publié sur le Web -DANS PLUSIEURS ORGANES CITOYENS-, je vous laisse surfer pour le trouver et lire les commentaires.
Seul votre intervention sur celles que nous avons suite à ce rappel de Jack London, est à classer parmi les maladives jalousies des incapables.
Je crois fermement que vous n’aimez pas Jack London et ceux qui le citent.
Cordialement, l’auteur.
N.E. Tatem et ARGOTHEME.
2. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 21 août 2007, 11:01
Laissez les gens s’exprimer ! Je soutiens cet auteur.
3. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 21 août 2007, 11:17
""Trotski le cite dans ses écrits ""
Il a préfacé le Talon de Fer*.
Donc, London un COMMUNISTE comme on aimerait en voir plus souvent :-)
AM
*(à lire, relire et à haute voix dans les transports en commun)
4. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 21 août 2007, 12:11
hehe, et preter le livre à ses enfants...
:)
TM
5. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 21 août 2007, 17:35
Salut.
Je trouve que cet article est merveilleusemment bien écrit. Je ne vois pas quelle mouche ou guêpe vous a piqué pour insulter les gens d’une manière indirecte en se prenant à leurs contributions. Je veux dire quel passage, phrase ou mot qui soit en dehors de son contexte ou mal formulé.
La bêtise a toujours la place qu’elle ne mérite pas parmi nous. Et "nous" veut dire les laborieux.
SYLVIE - svp- remballer votre imbicillité qui n’est que déplacée. Votre participation ne mérite pas d’être faite au sujet de Jack London que vous ne connaissez sûrement pas, ni d’Eve ne d’Adam.
A bon entendeur !
6. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 21 août 2007, 17:36
A SYLVIE ... Relisez les réactions S.V.P.
7. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 24 août 2007, 01:59
""et preter le livre à ses enfants...""
mieux encore , faire comme l’ami Wolf, l’acheter en multiples exemplaires et l’offrir à tous les potes _ AM
5. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 21 août 2007, 13:55
De quel fer rouge n’a-t-il pas marqué le capitalisme au front avec " Le peuple de l’abîme " ?
1. un paquet d’insultes et d’arrogance, 21 août 2007, 19:05
je finis, j’ai eu un bug je sais pas si c’est parti (apparemment pas, tant mieux, c’était ultra violent), alors juste une petite question, c’était une réaction sur le totalitarisme des mots du rédacteur de l’article (et donc en faveur de Sylvie et de Jack London et de tous ceux qui luttent pour la liberté d’expression)
Donc
Pourquoi on aurait pas le droit de critiquer un peu le style (sic) de phrases (par exemple) comme celles-ci, extraites de l’article :
"Des centaines de milliers d’autres ouvriers ont pris départ de leurs villes respectives afin de réclamer du travail, ceci pour sa présence dans l’histoire des Etats-Unis et les luttes qui lui a été d’une inspiration pour écrire principalement trois essais sur le socialisme."
"Si pour Ernest Hemingway qui a est de la même trempe, en écrivant pendant des années depuis le bureau de Fidel Castro, la phrase courte et salvatrice se composait de : sujet, verbe et complément."
Voilà un rédacteur très fier de lui mais qui ferait mieux de s’inspirer de ses propres écrits "sujet, verbe et complément" pour commencer à écrire en français correctement... (à moins que ce ne soit une traduction automatique google ?)
et de lire un peu Jack London, il y trouverait quelques leçons d’humanisme et d’humilité, et autre chose que ce qu’on peut extraire de brèves préfaces ou de chronologies sommaires...
à vous pour la révolution
2. solidaire de Sylvie, 22 août 2007, 13:58
Moi aussi j’aime Jack London mais je partage le point de vue de Sylvie quant à cet "hommage", qui est loin de toujours éviter le burlesque ; ainsi lorsqu’il nous dit que : "Lénine mourant se faisait lire « Talon de fer » : mais, Lénine mourant (à supposer que Lénine soit un gage de moralité) se faisait également lire Dickens... Encore un effort et on finira par nous présenter Jack London comme communiste, alors qu’il est mort en 1916 -je n’y peux rien, mais les faits sont têtus, comme disait Lénine. Quoi qu’il en soit, et pour en rester au seul terrain politique, l’auteur de ce pompeux hommage prend ici ses désirs pour la réalité : c’est TOUTES TENDANCES CONFONDUES, que pour le prolétariat de l’époque le "Talon de Fer" fut un livre culte.
Luke
3. marxiste, 22 août 2007, 16:41
London était un socialiste du temps où le socialisme portait bien son nom, et donc les idées du marxisme. Il claqua d’ailleurs la porte du Parti Socialiste américain peu avant sa mort, reprochant à ses chefs d’incliner vers le réformisme et de trahir les idéaux du peuple...
J’ajouterai que si, de coeur, Jack London était un sincère collectiviste, sa raison et son expérience personnelle l’inclinèrent à croire à la révolte de l’individu contre sa condition comme devant précéder (et inciter) celle des masses, à la nécessité d’une part d’initiative individuelle comme source de la révolution collective. London plaçait l’homme au centre des choses, et les dérives du communisme en la matière ne l’auraient guère séduit. Néanmoins, nul doute que s’il avait vécu un peu plus longtemps, les premiers temps de la Révolution russe l’auraient enthousiasmé.
Mais comme le montre le Talon de Fer, il anticipait un long règne du fascisme capitaliste avant que les conditions ne soient réunies pour la Révolution.
Je finis en précisant qu’à ma connaissance, c’est la nouvelle (et le recueil de nouvelles) "L’Amour de la Vie" de London que Lénine se faisait lire sur son lit de mort, un petit chef-d’oeuvre sur la lutte de l’homme pour la vie, à recommander aux découragés.
Eric
4. marxiste, 23 août 2007, 09:01
peut-être plutôt anarchiste tout ce monde là, y savent pas lire ou alors ça loeur fait mal au crâne de lire des phrases trop longue et puis la publication en ligne ne passe pas par de multiples correcteurs comme dans les grandes firmes journalistiques où l’on boit l’eau par la vase :
VIVE L’ECRITURE LIBRE !
5. marxiste, 23 août 2007, 16:40
"nul doute que s’il avait vécu un peu plus longtemps, les premiers temps de la Révolution russe l’auraient enthousiasmé", nous dit Eric, le 22/8 à 16h41. Mais c’est parler pour ne rien dire, car mis à part les nostalgiques de la tyrannie tzariste, on sait bien que ce furent TOUS tous les hommes libres, qui furent enthousisamés par les premiers temps. Et c’est vrai aussi bien sûr de ces anarchistes, qui semblent donner tant d’urticaire à "marxiste", le 23/8 à 9h01.
Yours for the Revolution. Luke
6. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 24 août 2007, 15:01
J’arrive de vacances ou j’avais emporté le livre "Le peuple d’en bàs" de Jack London ...et je tombe sur cet article ...je vous conseille ce bouquin qui décrit le Londres des oprimés du début du siècle ...malheureusemnt , ce bouquin n’a pas pris une ride !
Marjo
7. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 24 août 2007, 20:49
j,avais dix-huit ans ,maintenant je suis agé de quarante-six ans,donc je disais j,avais dix-huit quand une de mes profs de francais m,initia a jack london en me disant :lis le tu ne le regreteras pas !maintenant ce que je regrette c,est mon prof de francais qui est morte en couche((qu,elle repose en paix !)).concernant jack london j,ai lu presque tous ses livres,tous et je crois que je n,ai pas raté le coach,martin eden,le talon de fer ,croc blanc,l,appel de la foret ,la taverne de la derniere chance,avant adam,le bureau des assassinats et j,en passe parce que prolifique jack london l,etais,et je vous le dis en toute franchise (croc blanc) c,est moi ,lui a fini par capituler et rejoindre les hommes ,moi non,la foret m,appelle.jack london a vecu comme martin eden ,et comme martin eden il est mort.pour moi il restera l,auteur de la liberté et des grands espaces spirituelles,qu,importe le talon de fer.
1. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 27 août 2007, 17:28
LE VAGABOND DES ETOILES, extraordinaire roman de prison et de voyages, où le héros au cachot et sous camisole s’évade par la force de son esprit dans ses existences passées, de la préhistoire (comme dans AVANT ADAM, formidable roman sur l’Evolution) à l’ère moderne, en passant par la Palestine au temps du Christ, la Corée du Moyen Age, la conquête de l’ouest, etc.
London y a "recyclé" un grand nombre d’idées qu’il comptait initialement utiliser pour des romans. Par ailleurs, c’est un reportage ultra réaliste sur la condition carcérale aux Etats-Unis au début du siècle, sur le peuple du trou du cul de l’abîme et les lois inhumaines qui y règnent.
Un vrai chef-d’oeuvre, attention il faut lire une édition récente (complète), ce livre comme bien d’autres, ayant été tronqué dans les premières éditions
Les VAGABONDS DU RAIL (ou LA ROUTE dans sa nouvelle trad, en anglais THE ROAD, dont s’est évidemment inspiré Kerouac...) où London évoque ses mois de vagabondage à travers les Etats-Unis, ses voyages clandestins en train et ses démêlés avec les employés du rail, son séjour en prison (travaux forcés pour les vagabonds ramassés, on manquait de main d’oeuvre dans les carrières en ce temps là), sa participation à la grande marche des chômeurs vers Washington, etc
2. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 27 août 2007, 23:55
Communiste ? Il méprisait ses compatriotes noirs et pourtant j’ai aimé son approche de la nature et des autres opprimés. JdesP
3. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 28 août 2007, 17:11
Bonjour.
De l’auteur de l’article.
N.E. Tatem avec ARGOTHEME http://www.argotheme.com
Le racisme (mépris des noirs) attribué à jack London reste à vérifier. Dans ce modeste papier, je soulève qu’il a contracté un emprunt chez une femme noire pour acheter son petit bateau (une barque) pour écumer la baie de San Francisco des fruits de mer. En fait c’est au sujet de ses articles et autres nouvelles sur la boxe qu’on a découvert son langage à l’égard des noirs qui étaient visés autrement que par racisme. Cependant il était plus supporter d’un boxeur plutôt qu’un autre. Mais même à ce sujet on lui a trouvé d’avoir été derrière et suppoter d’un certain "TIGRE" surnom donné à un boxeur noir.
Beaucoup de sujets sur la vie, les opinions et la philosophie de jack L. sont controversés. Seule sa fille a apporté des éclairages mais ils ne sont pas pleinement justifiés. Notamment ses idées sur le péril jaune -racisme à l’égard des japonais- ou les asiatiques. A ce sujet dans son ranch, parce qu’il s’est vite enrichi avec sa formidable écriture, la cinquantaine d’employés qu’il a recruté étaient asiatiques et ont été traités avec beaucoup d’humanisme et dans ce cas, le témoignage d’un des travailleurs a été édifiant.
Cordialement.
4. Un aventurier et un communiste à la création littéraire immortelle. , 30 août 2007, 08:09
De ce dont je me souviens de ce que j’ai lu, il méprisait les Noirs américains parce que contrairement aux Indiens, ils s’étaient "soumis" et"laissé" selon lui réduire en esclavage. Merci pour vos contributions JdesP modeste lecteur