J’ai eu de la chance.
J’ai vécu dans un monde ouvrier.
Et puis ensuite j’ai fait un bac+5 pour échapper au monde ouvrier.
Je vous parle ici des ouvriers du bâtiment, et des petites entreprises qui doivent subir des décisions incohérentes venues d’en haut, qui oblige le travailleur à démonter ce qui était sur le plan, et respecter le nouveau plan qui implique un travail supplémentaire, des heures supplémentaires non payées.
Le monde ouvrier du bâtiment est rude, mais il est moins (…)
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jy.D
Articles
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Le monde ouvrier.
22 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
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Les morts reconnaissants. (video)
19 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
Vous ne connaissez pas le groupe « Gratefull Deads » ?
Alors voilà un exemple de musique que nos pères (ou grand pères) pouvaient écouter.
(désolé pour les pubs)
J’ai pris pour une plaisanterie le nom du groupe, alors que dans ces années là, les groupes de Rock alternatifs étaient très sérieux.
Le nom du groupe fait référence à une tradition disparue avec notre culture contemporaine :
Le lien entre morts et vivants.
Cet article fait référence à des liens disponibles à la fin du (…) -
La religion de l’amour
15 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
Cela fait trois jours que j’écoute du Reggae en boucle.
Mais pas de méprise, Jah est pour moi comme le grand barbu céleste qui nous puni quand on l’aime pas, ou plus, ou qu’on ne l’a jamais aimé.
Paraboles, métaphores, ou lecture au premier degré, il faudrait que tous les prêtres de toutes les religions donnent une réponse claire.
Que ses voies soient impénétrables, je m’en fous, celles de Macron le sont aussi.
Il y a une seule chose que j’aime dans le Reggae : La communion autour (…) -
Journal de confiné (11).
12 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
Onze.
En langue basque, le mot hamaika (variante : hameka) signifie à la fois "onze" et "infini" : trace probable d’une conception très ancienne dans laquelle un nombre qui dépasse la mesure des dix doigts tombe dans "l’indénombrable", "l’infini".
Source :https://fr.wikipedia.org/wiki/11_(nombre)
Je ne suis pas fan de la numérologie, la volonté des ésotériques étant de toujours trouver une signification magique à certains nombres (1,2,3,7,11 par exemple.)
Mais il est facile, en (…) -
Journal de confiné (10).
11 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
2 commentairesJournal de confiné (10).
Les masques.
Quelle cruelle ironie : il y a encore quelques mois porter un masque était signe de subversion.
Désormais, il devient le symbole de la totale panique qui envahi le pays. Bientôt les sans masque deviendront les nouveaux rebelles.
Au sujet de la nécessité du port du masque, je vous met un lien, qui s’il n’a pas toujours bonne réputation, cite au moins ses sources qui ne diffuseraient ces vérités si elles n’avaient pas de pertinence. (…) -
Journal de confiné (9).
10 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
La jeune fille et la mort.
Une jeune fille se promène dans la garrigue profonde, nue.
Soudain une ombre noire s’interpose devant elle : c’est la Mort.
Elle dit en grinçant :
Mais que fais tu dans mon domaine. Tu es folle. Ta vie m’appartiens et je peux couper le fil.
La jeune fille, les seins devant, lui répond. Mais je suis en train de vivre, respirer l’odeur des pins, et admirer le ciel. Mais ici c’est la nuit, tu dois disparaître sur le champs. Qui es tu pour me donner des (…) -
Journal de confiné (8).
9 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
Interdiction de nuit.
Le couvre-feux, on connaissait ça avec les livres d’histoire qui expliquaient qu’en éteignant les lumières, cela rendait plus difficile les bombardements allemands sur Londres.
Et puis une personne de très petite taille l’a utilisé lors des émeutes banlieusardes de 2005.
Impossible de lui pardonner car il savait ce qu’il faisait.
Les gens de droite sont une espèce curieuse, qui semble n’avoir dans sa vie aucune autre perspective que de profiter de ce que la (…) -
Journal de confiné (7).
7 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
1 commentaireCe jour un vieil homme qui promenait son chien.
Un sourire sur mes lèvres en voyant que la laisse était trop courte pour que son maître suive.
On n’est pas arrivé, me dit-il
(Moi silence et regard de respect pour ce trait d’humour.)
Bonjour, dit-il.
Bonjour a été ma seule réponse.
Et puis nous avons continué nos chemins inverses et solitaires. Il m’a fallut quelques minutes pour constater que c’était la première personne qui m’adressait la paroles en dehors des commerçants. (…) -
Journal de confiné (6).
6 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
2 commentairesJournal de confiné (1), (2), (3), (4) et (5)
Les chauve souris ne sont pas belles.
En plus, leur mode vie nocturne a donné lieu à toutes sortes de fantasme, comme la légende des vampires.
Dormir la tête en bas, c’est une nuit de dingue, non ?
Je pense que c’est clair pour vous, je vais parler des pangolins.
Il ont un point commun avec les chauve souris : Il sont hideux.
Ils sont invisibles et bouffent des fourmis.
Ils sont aussi en voie d’extinction.
Un extrait copié/collé (…) -
Journal de confiné (5).
5 avril 2020 par L’iena rabbioso (Open-Publishing)
Journal de confiné (1), (2), (3), (4) et (6)
Ah re-bonjour.
Vous permettez que je reste allongé ?
Nous sommes dimanche est j’ai raté la messe.
Nous sommes dimanche et il n’y a plus de camions.
Nous sommes dimanche et des femmes communiquent par leurs balcons.
Nous sommes dimanche et les gens jettent un mauvais regard sur les gens sans masque et sans chien.
Probablement des infectés.
Patience, bientôt il y aura des applications mobiles pour géo-localisés des individus (…)