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Vaccin : « Pas de preuve scientifique ! »

Publie le lundi 12 novembre 2007 par Open-Publishing
15 commentaires

Lors d’une table ronde sur le thème « Les vaccins en France : quels enjeux pour l’industrie pharmaceutique et la recherche ? », réunie le mercredi 6 juin dernier, sous la présidence de Jean-Michel Dubernard, organisé par l’Office parlementaire d’évaluation des politiques de santé (Opeps), nous apprenons maintenant que « l’utilité des vaccins n’est pas prouvée scientifiquement ».

Voici le dialogue dans lequel s’insert cette affirmation :

« M. Nicolas About, sénateur, vice-président, s’est étonné de la couverture vaccinale moyenne de la France, alors qu’il s’agit de l’un des pays les plus contraignants en matière d’obligation vaccinale.

M. Claude Le Pen, membre du comité d’experts, a estimé que ce résultat est plutôt le fait d’un lobby anti-vaccinal plus fort que dans les autres pays.
M. Alain Sabouraud, pharmacien responsable de Sanofi Pasteur, a ajouté qu’il n’existe pas en France de promotion de la politique vaccinale, à la différence de celle menée au niveau mondial par l’OMS ou aux Etats-Unis par le Center for Disease Control. Il a estimé que, face au lobby anti-vaccinal, les laboratoires sont mal placés pour faire la promotion du vaccin. Ce rôle pourrait en revanche être confié au comité technique des vaccins (CTV).

M. Eric Guez, de Novartis Vaccines, a considéré que la défiance à l’égard du vaccin relève, en France, d’un manque de confiance dans les résultats.
Le président Jean-Michel Dubernard, député, en a convenu, rappelant qu’il n’existe pas de preuve scientifique sur l’utilité des vaccins. »

La langue du député Jean-Michel Dubernard, président de la table ronde et alors premier vice-président de l’Office parlementaire d’évaluation des politiques de santé, n’a pas fourché. Il réitère un peu plus loin sa conviction en disant qu’il « manque des données scientifiques permettant d’apprécier l’utilité des vaccins » !
Et c’est même plus qu’une affirmation puisque le député « rappelle » l’absence de preuve scientifique. Cela semble vouloir dire qu’une telle vérité est bien connue des responsables. D’ailleurs, le député n’a pas été démenti par ses interlocuteurs présents lors de cette réunion qui comptait les plus grands experts dans ce domaine.

Pourquoi alors affirme-t-on constamment et fortement le contraire au public ? Que l’action des vaccins est sous contrôle, qu’elle est scientifiquement établie, etc. ?

Les acteurs de la vaccination voudront sans doute fonder l’utilité des vaccins sur les seules constatations d’une régression des maladies concernées. Mais, précisément, les données épidémiologiques qui permettraient une telle analyse sont notoirement insuffisantes.
De plus, la sous-notification des effets secondaires des vaccins est connue et reconnue, empêchant le juste établissement de la balance bénéfice/risque. Et la disparition des maladies peut être expliquée par bien d’autres facteurs (hygiène, alimentation, etc.). Bref, de toute façon, la discussion est de droit à nouveau ouverte.

Un grand débat citoyen, précédé ou accompagné de nouvelles expertises contradictoires, est désormais nécessaire.

En effet, soit ce député dit n’importe quoi - et il faut se demander ce qu’il faisait à la tête de cette table ronde.
Soit il dit vrai - et la preuve d’un discours trompant le public (car affirmant que la vaccination repose sur des bases scientifiques irréfutables) est apportée par lui au détour de cet échange parlementaire.

Nous penchons évidemment pour le deuxième terme de cette alternative. En effet, Jean-Michel Dubernard sait de quoi il parle : outre son titre de député (perdu cette année), il est médecin, chirurgien des hôpitaux de Lyon et professeur des universités.

En tout cas, s’il n’existe pas de « preuve scientifique sur l’utilité des vaccins », il est urgent de revoir le « contrat social » autour de notre politique de vaccination... Et encore plus à propos de l’obligation vaccinale.

Les Français ont le droit d’y voir clair !

Messages

  • Il faudrait aussi interroger alors, les vaccinations du nourisson où les neuroleptiques pourraient provoquer de très sérieuses lésions au cerveau à une phase aussi précoce de son développement.
    _8119

  • Si les millions de morts de tuberculose rien qu’en France pouvaient vous répondre si les malades atteints par la poliomyélite ,si les millions de morts de la variole pouvaient parler.Qu’auraient-ils à dire sur l’efficacité des vaccins ?Et encore je vous passe des dizaines de maladies éradiquées par les vaccins ,alors maintenant c’est facile.Je suis scandalisé.

  •  Au cours du Colloque organisé le 5 avril 2002 au PARLEMENT EUROPEEN « Les vaccinations en question » , le Pr. Bonnie DUNBAR (USA), Professeur de biologie moléculaire et cellulaire au Baylor College de Houston et expert en matière de vaccinations devait déclarer : « … Bien que des milliards de dollars aient été dépensés pour développer ces vaccins, on notera que virtuellement aucun budget n’a été débloqué pour étudier les manifestations postvaccinales indésirables : il y a donc de quoi s’inquiéter… En synthèse, il apparaît que nous ne disposons pas de données scientifiques et cliniques suffisantes pour évaluer la sécurité ou l’efficacité des vaccins. Tant que des études moléculaires rigoureuses et des recherches épidémiologiques ne seront pas menées à bien, il sera impossible d’évaluer les risques et les bénéfices de la plupart des vaccins. » (22)

  • Je vous conseille d’aller sur GOOGLE et de taper GAVI : vous découvrirez des choses très

    intéressantes sur cet organisme lié à Bill Gates, à la Banque Mondiale, à l’OMS, aux fabricants

    de vaccins, et le programme gigantesque de vaccinations des enfants en Afrique et en Asie

    (Chine) tout particulièrement.

    Vous noterez le nombre de millions d’enfants visés par des vaccinations massives, à une époque

    où les connaissances en génétique devraient condamner sans appel ce type d’action de masse.

    Vous constaterez que rien n’a été prévu pour assurer le suivi et recenser les accidents

    vaccinaux. Ainsi sera t-il facile de dire ensuite : "les accidents vaccinaux ? mais ça n’existe pas !"

    Vous pouvez lire aussi "l’Alibi éthique" du professeur Didier Sicard : il y conteste le principe de

    précaution qui, à ses yeux, dans ces pays-là, devrait être abandonné comme contre-productif.

    Bonne lecture.

  • Thomas Jefferson, troisième président des Etats-Unis, fit aux jeunes médecins cette recommandation :

    « Votre esprit doit être fort pour s’élever au-dessus de la crédulité de la jeunesse et apprendre à conserver une sage défiance vis-à-vis de l’autorité des enseignants et des illusions séduisantes de leurs théories. " (S. Simon, 1997)

  • « Je croyais les vaccins totalement sûrs et efficaces… Ce qui me rend folle, c’est que tout cela aurait pu être évité… Il est impossible de se trouver en présence d’un enfant profondément handicapé par les vaccinations et ne pas réaliser que cet enfant pourrait être le vôtre. Il est impossible de vouloir réconforter une mère qui vient d’inhumer le bébé plein de santé qu’elle a à peine pu serrer dans ses bras avant qu’un vaccin ne détruise son cerveau et son corps, et ne pas réaliser que c’est vous-même qui pourriez être là penché sur la petite tombe. Quand cela arrive à votre propre enfant, le risque est de 100%. »
    Barbara Loe Fisher

    « Nous sommes au cœur d’une épidémie à échelle internationale. Ceux qui avaient la charge d’en trouver les causes et d’y apporter les remèdes ont échoué. Parmi les raisons de cet échec , il y a le fait que ces gens sont confrontés à la perspective qu’ils pourraient, eux-mêmes, être les responsables de cette épidémie. Dès lors, tout ce qu’ils entreprennent pour pouvoir se disculper ne peut, en fait, que retarder le progrès. Je crois vraiment que les responsables de la santé savent pertinemment qu’il y a un problème ; ils veulent cependant le nier, et acceptent la perte d’un nombre indéterminé d’enfants, parce qu’ils pensent que le succès de leur politique de santé publique – la vaccination obligatoire - entraîne inéluctablement des sacrifices.- Ni moi, ni mes collègues ne pouvons accepter la croyance qu’un seul enfant soit « sacrifiable ». On a déjà eu affaire à pareilles croyances au cours de l’histoire ! - Ce sont vous, les parents et vous les enfants,qui êtes la source même de notre inspiration et de notre force dans cette recherche de vérité que nous avons entreprise au travers de la science – science remplie de compassion, science intransigeante et non corrompue. Je ne veux nullement vous inciter à la révolte ; vous devez cependant être assurés qu’armés de la science, il est en votre pouvoir d’imposer ces vérités auprès des pédiatres, du Congrès et des tribunaux. Continuez à faire confiance à votre intuition- elle vous a déjà bien servi. » Dr Andy Wakefield, (April 22, 2002 « Power of one-idea » Rally, Washington DC)

    “ Imagine that you are creating a fabric of human destiny
    with the object of making men happy in the end,
    giving them peace and rest at last
    but it was essential and inevitable to torture to death
    only one tiny creature… and to found that edifice on its un-avenged tears,
    would you consent to be the architect on those conditions ?
    Tell me, and tell the truth.” (49)

    Fyodor Dostoyevski

  • S’adressant à Bernard KOUCHNER, secrétaire d’Etat à la santé, le Dr Ph.STURER écrit :

    " Montrez-nous les études sérieuses faites sur l’état immunitaire avant et après la vaccination anti-hépatite B. Montrez-nous les études faites sur les maladies métaboliques, comme le diabète sucré... Montrez-nous les prévisions au long cours de l’effet des vaccinations sur l’ensemble des maladies immunes, sur les autres maladies infectieuses, sur les cancers, les maladies rhumatologiques, digestives, psychiatriques, vasculaires et autres."

    Dr Ph. STURER : "Vérités-Santé", 25 juillet 1998.

  • .

    VACCINS ET CROYANCE
    La peur se vend bien

    Dr Sherri Tenpenny

    Il est intéressant de constater comment une discussion sur les vaccinations peut rapidement devenir animée et parfois même agressive. Pareille animosité se manifesterait-elle au sujet d’un antibiotique ou d’un médicament contre la tension s’il était démontré que le médicament pouvait être dangereux ? Il y a peu de chances. Le médicament serait retiré du marché s’il était prouvé qu’il entraîne des décès. Même s’il ne s’agissait que de soupçons, sa commercialisation serait interdite jusqu’à ce que son innocuité puisse être démontrée.

    Il n’en va pas de même pour les vaccins. Leur promotion est souvent assurée avec grand renfort de publicité jusqu’à ce que les statistiques démontrent qu’ils provoquent des dommages chez un grand nombre des personnes. Mais les milliers de personnes qui souffrent des effets secondaires des vaccins comparées aux millions d’individus vaccinés ne sont pas considérées comme mathématiquement et statistiquement significatives.
    Le fait cependant que plus d’un billion de dollars ait été consacré (aux U.S.A.) à payer des indemnités aux victimes des vaccinations, démontre clairement que la sécurité des vaccins n’est pas l’objectif essentiel qui ait été favorisé.
    Pourquoi ce double critère ?

    Ce double langage existe parce que la vaccination est fondée sur un « système de croyances » et que le fait de remettre en cause la validité des vaccins remet en question de vieilles croyances bien ancrées. Nous CROYONS que les vaccins sont sans dangers ; nous CROYONS que les vaccins sont importants pour notre santé ; nous CROYONS que les vaccins nous protégeront des infections ; nous CROYONS que ce sont les vaccins qui ont fait décroître les maladies infectieuses dans le monde et nous voulons vraiment CROIRE que notre médecin a lu toute l’information disponible des « pour » et des « contre » et qu’il nous délivre la vérité ultime sur les vaccinations…

    Cette croyance est en fait basée sur la foi et pas nécessairement sur les faits.
    L’étude de la littérature émanant du CDC (Center for Disease Control : l’ultime référence en matière d’information santé aux USA) montre cependant clairement que :

    1. Les études sur la sécurité des vaccins sont limitées et n’ont été réalisées que sur des enfants en parfaite santé. Il n’a jamais été démontré qu’un vaccin était totalement sans danger. Les études sont parcellaires, limitées et n’ont été réalisées que sur des enfants en « parfaite santé » ; il n’empêche que ces vaccins sont administrés à TOUS les enfants sans tenir compte de leurs véritables conditions de santé ou de leur prédispositions génétiques. Nous avons une politique vaccinale « passe-partout » qui ne tient aucun compte des choix individuels ou des options personnelles, une politique qui a engendré une quantité énorme de problèmes pour tellement de personnes.

    2. Les études sur la sécurité des vaccins sont insuffisantes et incomplètes En ce qui concerne les études cliniques concernant la « sécurité », le suivi (des effets
    secondaires) se limite à une durée dérisoire de 14 à 21 jours, parfois 5 jours, alors que
    les problèmes complexes liés au système immunitaire peuvent prendre des semaines et
    même des mois avant de se manifester. Les délais arbitraires fixés par la FDA et
    l’industrie pharmaceutique mettent un terme au suivi bien avant que nombre de
    complications soient susceptibles de se manifester. Telle est la base même du mantra
    habituel « les vaccins sont sans danger », alors que les complications long terme peu
    connues sont ignorées.

    3. Les études ne font pas appel à de véritables placebos.On pourrait d’emblée croire qu’une étude sur la sécurité des vaccins consiste à comparer un nouveau vaccin avec un « placebo ». Quand on examine cependant ces études d’un peu plus près, on découvre que le « placebo » n’est PAS une substance neutre, inerte comme une solution saline ou simplement de l’eau. Le « placebo » est en fait un autre vaccin dont le « profile de sécurité est connu ». Il s’ensuit que si lenouveau vaccin révèle les mêmes effets secondaires que le « placebo », il sera
    considéré comme « sans danger ».

    4. Les anticorps engendrés par le vaccin ne sont pas synonymes de protection. On considère que les vaccins assurent la protection grâce au développement d’ anti-
    corps. Il existe cependant de nombreuses références dans la documentation du CDC ( la plus Haute Autorité du pays en ce qui concerne les vaccins) qui montrent que les anticorps ne protègent pas nécessairement de l’infection. Ci-dessous quelques exemples repris de la presse médicale et des documents du CDC :

    Coqueluche : les recherches sur l’efficacité des vaccins n’ont pu montrer une corrélation directe entre la réponse des anticorps et la protection contre la coqueluche.

    « The findings of efficacy studies have not demonstrated a direct correlation between antibody response and protection against pertussis disease.” MMWR, March 28, 1997/Vol.46/N).RR-7,p.4.

    Variole : Bien que l’on considère que les anticorps neutralisant reflètent les niveaux de protection, ce fait n’a pu être démontré sur le terrain.

    Smallpox : « Neutralizing antibodies are reported to reflect levels of protection, although this has not been validated in the field.” JAMA, June 9, 1999, Vol. 281,N°22,p.3132.

    Hemophilus influenzae B (HIB) : Le rôle des anticorps pour assurer une
    protection clinique n’est pas connu .

    H.Flu (HIB) : « The antibody contribution to clinical protection is unknown.”
    HibTITER package insert :
    “ The precise level of antibody required for protection against HiB invasive disease
    is not clearly established .” http://www.cdc.gov/nip/publications/pink/hib.pdf
    Le niveau précis d’anticorps nécessaires à une protection contre le HIB n’a pas
    clairement été établi.

    5. Nous voulons CROIRE que le vaccin nous protégera de l’infection. Plusieurs articles
    publiés dans des journaux médicaux montrent que ce n’est pas nécessairement le cas.

    Quelques exemples :

    Coqueluche chez des enfants parfaitement vaccinés dans des Centres de soins, Israël
    Pertussis Infection in Fully Vaccinated Children in Day-Care Centers, Israël
    ( Emerging Infectious Diseases Vol.6,N°5 ; sept.-oct 2000)

    Coqueluche dans une population fortement vaccinée. Pays-Bas
    Pertussis in the Highly Vaccinated Population, the Netherlands
    ( Emerging Infectious Diseases, Vol.6,N° 4, July-aug. 2000)

    Coqueluche en 1999 dans le Nord Ouest de l’Australie ; tous vaccinés.
    Pertussis in North-West Australia in 1999 ; all vaccinated.
    ( Communicable Diseases Intelligence 2000, Vol.2 4 n°12 )

    Le débat sur les vaccins se poursuit ainsi avec des « études », des « données » qui servent à soutenir les thèses des deux camps. Mais le fond du problème est le suivant :

    La vaccination a été « acceptée » comme efficace, protectrice et sans danger depuis environ 200 ans. Il s’agit en fait d’une « vache sacrée ». Toutes les « vaches sacrées » font réagir les hommes avec leurs tripes quand quelqu’un se permet de suggérer que la « vache » doit être « sacrifiée ». Les exemples ne manquèrent pas au cours des siècles : quand Copernic a voulu montrer que c’était le soleil et non la terre qui était le centre du système solaire, il allait à l’encontre des croyances philosophiques et religieuses du Moyen-Âge. Quand deux scientifiques italiens Galilée et Bruno ont embrassé la théorie Copernicienne, leurs commentaires furent jugés blasphématoires. Bruno fut jugé par l’Inquisition et condamné au bûcher en 1600. Trente ans plus tard, Galilée fut traîné devant ses « supérieurs » et forcé de renoncer à ses croyances sous menace de torture et de mort. Même après sa confession, il fut condamné à la prison pour le restant de ses jours. Semmelweiss qui avait démontré que les médecins qui se lavaient les mains sauvaient la vie des femmes (qu’ils accouchaient) fut aussi ridiculisé de son temps. C’est en fait une hérésie de mettre en cause le « statu quo ».

    Les statistiques ont montré que confrontés à une idée nouvelle, quelque peu provocatrice, 96% des personnes appliqueront leur temps et leur énergie à défendre les croyances généralement admises, et seulement 4% pourront accepter que la nouvelle idée mérite d’être sérieusement envisagée.

    Effectuer des recherches sur les vaccinations, ainsi que sur l’industrie des vaccinations, ne pourra qu’ébranler vos « croyances » sur les vaccins. Quand vous étudierez les effets secondaires- réels et théoriques- que les vaccins peuvent avoir sur le système immunitaire,
    vous ferez vraisemblablement partie des 4% qui comprennent que la « vérité » sur les vaccins n’est pas véritablement « La Vérité », et que les politiques vaccinales passe-partout qui nous sont imposées doivent changer.

    Au plus on effectue des recherches sur les vaccins et leurs effets secondaires au plus on devient l’hérétique Copernicien qui ne peut que dénoncer un « statu quo » pouvant avoir des conséquences mortelles. J’ai personnellement investi 8.000 heures de travail pour pouvoir révéler la vérité sur les vaccins !
    Si les résultats de cette enquête et de cette révélation doivent être qualifiés d’hérétiques, je puis alors dire que je me trouve en excellente et merveilleuse compagnie.

    Dr Sherri Tenpenny
    New Medical Awareness Seminars
    www.nmaseminars.com
    http://www.thenhf.com/vaccinations/vaccinations_129.htm

    A la suite d’un travail intense de recherche, tant dans la presse médicale, qu’au CDC (Agence Gouvernementale Américaine ; la plus Haute Autorité Médicale des E.U. en matière de vaccinations), le Dr Sherri Tenpenny conclut que les vaccins ne sont ni efficaces, ni dépourvus de risques.
    Le Dr Sh.Tenpenny est l’auteur de 2 DVD (Vidéos) :

      VACCINES : What CDC documents and Science Reveal
      VACCINES : the risks, the benefits, the choices

    « La souffrance engendrée par une idée nouvelle est l’une des plus grandes peurs que peut connaître l’homme. Ses plus chères idées pourraient être fausses ; sa nourriture préférée, la cause de ses plus grandes souffrances ! C’est un fait avéré que l’homme trouve plus facile de croire le mensonge mille fois répété que de s’incliner devant des évidences dont il n’a jamais entendu parler. » Daniel P.REID
    Si vous pensez qu’une chose est vraie parce que tout le monde y croit, alors tout simplement vous ne pensez pas. Vievienne Westwood

    Le texte ci-dessus exclusivement destiné à l’information ne peut en aucune manière être envisagés comme conseil, vérité absolue ou orientation sur le plan médical. Il incombe à tout un chacun de les utiliser comme il lui paraît le plus raisonnable et le plus utile. Il est important que cette information soit soumise au médecin qui a la confiance du lecteur pour une évaluation ou adaptation éventuelle à chaque cas. L’entière responsabilité de ces extraits appartient à leur seul auteur.

  •  Face à une situation des plus alarmantes, l’Association Américaine des
    Médecins et de Chirurgiens a réclamé un moratoire
    - Au cours de son Congrès à St. Louis en octobre 2000, l’Association Américaine des Médecins et des Chirurgiens (A.A.P.S.) a demandé un MORATOIRE pour les vaccinations et voté à l’unanimité le texte suivant :
    « Public policy regarding vaccines is fundamentally flawed…permeated by conflicts of interest. It is based on poor scientific studies that are too small, too short, and too limited…
    Our children face the possibility of death or serious longterm adverse effects from mandated vaccines that aren’t necessary or that have very limited benefits. The A.A.P.S. calls for a MORATORIUM on vaccine mandates and for physicians to insist on truly informed consent for the use of vaccines.”
    ( “Doctors Call for Hepatitis B Vaccine Moratorium” Newswire, July 8, 1999. )

  • " TOUS LES PAYS QUI RENDENT OBLIGATOIRE CET ACTE MEDICAL EXTREMEMENT INVASIF, QUI EST SANS REEL FONDEMENT SCIENTIFIQUE, ET DONT LES DANGERS ET L’INEFFICACITE SONT CONNUS, NE PEUVENT PLUS PRETENDRE COMPTER PARMI LES PAYS LIBRES. "

    Dr V. Scheibner, auteur de :

     "Vaccination : 100 Years of Orthodox Research shows that Vaccines Represent a Medical Assault on the Immune System.", 1993

     "Behavioral Problems in Childhood- The Link to Vaccination", 2000.

  • Maître Frédéric HOFFET, du Barreau de Strasbourg, qui avait perdu un enfant à la suite d’une vaccination déplore "la crédulité" des autorités médicales : " nous ne sommes plus sur le terrain de la réalité, mais en pleine mystique : ces Messieurs sont des croyants ; l’élément essentiel du raisonnement scientifique qui est le doute leur fait défaut...Où reste le respect de l’individu, la dignité de l’esprit, la science, en face de doctrines obligatoires et infaillibles assorties de sanctions pénales ? Tout cela sent étrangement le totalitarisme. Il est nécessaire que les français se rendent enfin compte qu’ils sont victimes de la part de leurs autorités médicales, d’une dictature d’autant plus odieuse qu’elle est, non seulement occulte mais, ce qui est pire, inconsciente. Il est temps qu’une médecine libre, que ne lie aucune crainte, n’arrête aucun tabou, détrône la médecine dogmatique et officielle de nos pontifes et de nos ministères."

  • " C’est parce que nous sommes immergés dans un océan de communications et que nous vivons dans une technocratie "MONEY-THEISTE" que la propagande et la désinformation constituent les faits premiers de la vie. Cette situation n’est nulle part mieux illustrée que dans le domaine des vaccinations." Walène JAMES (" Immunization : The Reality behind the Myth",1988.)

  • " Les accidents causés par les vaccinations, écrit le Pr. M.GEORGET ont été volontairement laissés dans l’ombre et, quand certains ont été révélés, l’importance en a été minimisée. Aucune enquête épidémiologique d’envergure n’a jamais été réalisée pour en connaître la fréquence. Par voie de conséquence, le rapport BENEFICES/ RISQUES sur lequel s’appuient de nombreux auteurs pour dire qu’il faut continuer à vacciner malgré les accidents qu’ils décrivent, n’a jamais été établi, pas plus d’ailleurs que le rapport COUT/BENEFICE.
    Ce constat terrifiant semble confirmé par le Dr Thomas Jefferson, Membre de la Commission chargée du programme européen pour la sécurité et la surveillance vaccinale, mandaté par la Commission européenne pour évaluer la sécurité des vaccins, qui, dans un discours sans précédent (Sunday Telegraph, 27/10/2002 ; The Informed Parent, N°4), reconnaissant que ce problème constitue le "Cendrillon" de la recherche en santé publique, souligne le manque flagrant d’études sérieuses sur la relation BENEFICES/RISQUES et le caractère simplement inadéquat, insuffisant ( "simply inadequate") de l’information disponible sur la sécurité des vaccins administrés de routine aux enfants.

  • Il est instructif de faire un parallèle entre ce qu’aurait récemment déclaré le Dr J.M. Dubernard (« Il manque de données scientifiques permettant d’apprécier l’utilité des vaccins ») et ce que déclaraient déjà les médecins et scientifiques au Congrès International de Charleroi en 1885 (1) Ils y dénonçaient en effet « le caractère antiscientifique », « la pratique superstitieuse de la vaccination » ! (1) « La superstition greffée sur la peur entretient ainsi la pratique la plus inhumaine qu’un cerveau humain ait imaginée depuis l’origine de la civilisation… Nous sommes les dupes d’une des plus immenses impostures. » (4ème Congrès International des Médecins. Charleroi, 26, 27, 28 juillet 1885.)

    Alors que le remède du scorbut était connu ( découvert par l’explorateur Jacques CARTIER en 1535), il fallut encore attendre 200 ans, ainsi que la mort de centaines de milliers de personnes pour que les experts médicaux acceptent et appliquent ces connaissances.

    Schéma fort semblable pour l’amiante ! C’est en 1906 déjà que l’inspecteur gouvernemental du travail à Caen, Denis Auribault souligne l’ampleur des dégâts dans les usines d’amiante. (Document publié en 1906 dans le Bulletin de l’Inspection du Travail) : 90 années de souffrances et de morts inutiles !

    Voilà 122 ans que des médecins dénoncent le caractère antiscientifique des vaccinations. Combien d’années faudra-t-il encore patienter pour que cesse cette apparente « organisation du silence » ?

    (1) Les échecs qui se multipliaient un peu partout suscitèrent les Congrès Internationaux de Médecins de Paris (1880), Cologne (1882), Berne (1883) et Charleroi (1885).

    (2) Dr P.E. Chèvrefils, M.D. « Les vaccins racket et poisons ? », Ottawa 1965.