(videos) Houellebecq : l’incitation à la haine raciale primée
12 novembre 2010, 13:38, par ogur
M.Salhi : "des critiques et des chroniqueurs littéraires crédibles" ? Où donc ? François Nourrissier est ce que l’académie française produit régulièrement de plus conformiste, Vichyste et méphitique.
Il n’y a plus de critiques littéraires M.Salhi, sauf rares exceptions.
Les prix littéraires sont régulièrement achetés par les plus puissantes maisons d’éditions et les magazines littéraires font commerce : ils vantent des produits, pas des livres.
Le fameux clientélisme qui sévit dans le supplément livres du quotidien Le Monde est connu : Josyane Savigneau, Philippe Sollers etc...
On ne trouvera d’exceptions qu’avec "La matricule des anges" par exemple.
Pour le reste l’édition est dans son ensemble et en tous les cas s’agissant des puissants, réglée par l’affairisme le plus poussé. Un affairisme qui englobe les éditeurs, les journaux littéraires et les auteurs. On ne s’étonnera pas de l’extrême pauvreté de la "littérature" la plus fréquemment saluée par les professionnels du livre. Entre indigence et imposture, Houellebecq est un de ces parfaits produits d’une régression morale, intellectuelle et formelle (il écrit fort mal) qui est une volonté idéologique de tirer des bénéfices exhorbitants de la vente des livres et d’entraîner les "lecteurs" dans l’indigence la plus complète. Le règne sans partages de l’argent a pour corrolaire l’acculturation.
Les "lecteurs" ont une responsabilité évidente à se laisser entraîner, à ne faire aucun effort pour chercher de vrais livres.
M.Salhi : "des critiques et des chroniqueurs littéraires crédibles" ? Où donc ? François Nourrissier est ce que l’académie française produit régulièrement de plus conformiste, Vichyste et méphitique.
Il n’y a plus de critiques littéraires M.Salhi, sauf rares exceptions.
Les prix littéraires sont régulièrement achetés par les plus puissantes maisons d’éditions et les magazines littéraires font commerce : ils vantent des produits, pas des livres.
Le fameux clientélisme qui sévit dans le supplément livres du quotidien Le Monde est connu : Josyane Savigneau, Philippe Sollers etc...
On ne trouvera d’exceptions qu’avec "La matricule des anges" par exemple.
Pour le reste l’édition est dans son ensemble et en tous les cas s’agissant des puissants, réglée par l’affairisme le plus poussé. Un affairisme qui englobe les éditeurs, les journaux littéraires et les auteurs. On ne s’étonnera pas de l’extrême pauvreté de la "littérature" la plus fréquemment saluée par les professionnels du livre. Entre indigence et imposture, Houellebecq est un de ces parfaits produits d’une régression morale, intellectuelle et formelle (il écrit fort mal) qui est une volonté idéologique de tirer des bénéfices exhorbitants de la vente des livres et d’entraîner les "lecteurs" dans l’indigence la plus complète. Le règne sans partages de l’argent a pour corrolaire l’acculturation.
Les "lecteurs" ont une responsabilité évidente à se laisser entraîner, à ne faire aucun effort pour chercher de vrais livres.