Le dictateur argentin Rafael Videla, responsable de la disparition de plus de 30 000 opposants politiques, condamné à perpétuité
27 décembre 2010, 11:36, par Copas
je pense aux Montoneros et au Parti Révolutionnaire des Travailleurs qui subirent l’essentiel du choc de la dictature.
L’espérance que ces deux organisations portait était puissante.
L’écrasement a été d’autant plus total et sanguinaire.
Malgré tout, les herbes folles ont repoussé sous le béton de la dictature. Le long intermède ayant suivi la dictature a servi à montrer l’actualité de la nécessité d’une révolution, le régime actuel n’arrivant pas à sortir du piège d’une crise interminable du capitalisme argentin et international.
je pense aux Montoneros et au Parti Révolutionnaire des Travailleurs qui subirent l’essentiel du choc de la dictature.
L’espérance que ces deux organisations portait était puissante.
L’écrasement a été d’autant plus total et sanguinaire.
Malgré tout, les herbes folles ont repoussé sous le béton de la dictature. Le long intermède ayant suivi la dictature a servi à montrer l’actualité de la nécessité d’une révolution, le régime actuel n’arrivant pas à sortir du piège d’une crise interminable du capitalisme argentin et international.