Calvi et autres perroquets du Capital, nous pleurons CHAVEZ..et on VOUS EMMERDE !
8 mars 2013, 15:08
Mais la goche de la goche c’est quoi ?
Arrétons de parler de goche (ou de droite, ou de centre ou de...)
Parlons anti-K,
Pour avoir les moyens d’un tel projet, il faut être nombreux. La limite que j’ai posée, c’est pas "gauche de la gauche" (d’accord pour le flou du mot "gauche"), c’est : « ceux qui se reconnaissent dans l’objectif d’une autre organisation sociale que le capitalisme, ».
Justement pour ne pas provoquer de tensions sur des mots (c’est le réel qui compte).
Une des conditions de la réussite d’un tel projet, c’est d’accepter nos divergences, de respecter l’espace d’expression de chaque "tendance". Sans avoir de boutons. Ce serait déjà un début de socialisme...
Par exemple une partie de la grille sous la responsabilité éditoriale d’orgas, d’assocs, une autre partie pour des "créateurs" ou "groupes de créateurs"...
quant au coté financier pour creer une tv "privée" ? faut pas réver
Si, moi j’ai envie de rêver. Pourquoi ne pas les prendre sur leur terrain ? Un peu comme les SCOP ? Pourquoi ne pas miser sur notre intelligence et sur les merveilles que l’on peut produire ? Pourquoi ne pas leur tailler des croupières en terme d’audimat, avec une télé bas de gamme au niveau finance et haut de gamme question contenus ?
C’est pas gagné ? Certainement.
Mais sinon, quoi ? On se laisse détruire petit à petit, comme ça se passe en ce moment ? En se disant que l’important c’est d’avoir tout seul la bonne analyse et de la balancer dans la gueule, bien qu’il soit de notre camp, de celui dont on pense qu’il se trompe ?
Quand je vois que l’immense majorité des gens se fait une opinion en écoutant au JT un trouduc dire, sans aucune démonstration (et pour cause) que Chavez était un dictateur, je me dis qu’il y a non-assistance à peuple en danger d’intoxication.
Et je me dis que, plutôt que de taper sur des médias qui auront de toute façon le dernier mot vu qu’ils ont tous les moyens (et qu’ils font leur boulot, celui de servir leurs maîtres), on ferait peut-être aussi bien de commencer à construire l’alternative.
Bref, je n’ai pas la compétence pour savoir si un tel projet serait viable, mais je me demande si le principal obstacle n’est pas notre difficulté à gérer notre diversité. Et alors qu’on perd et on recule depuis des dizaines d’années, n’est-il pas temps de reprendre l’offensive avant d’être totalement laminés ?
Pour avoir les moyens d’un tel projet, il faut être nombreux. La limite que j’ai posée, c’est pas "gauche de la gauche" (d’accord pour le flou du mot "gauche"), c’est : « ceux qui se reconnaissent dans l’objectif d’une autre organisation sociale que le capitalisme, ».
Justement pour ne pas provoquer de tensions sur des mots (c’est le réel qui compte).
Une des conditions de la réussite d’un tel projet, c’est d’accepter nos divergences, de respecter l’espace d’expression de chaque "tendance". Sans avoir de boutons. Ce serait déjà un début de socialisme...
Par exemple une partie de la grille sous la responsabilité éditoriale d’orgas, d’assocs, une autre partie pour des "créateurs" ou "groupes de créateurs"...
Si, moi j’ai envie de rêver. Pourquoi ne pas les prendre sur leur terrain ? Un peu comme les SCOP ? Pourquoi ne pas miser sur notre intelligence et sur les merveilles que l’on peut produire ? Pourquoi ne pas leur tailler des croupières en terme d’audimat, avec une télé bas de gamme au niveau finance et haut de gamme question contenus ?
C’est pas gagné ? Certainement.
Mais sinon, quoi ? On se laisse détruire petit à petit, comme ça se passe en ce moment ? En se disant que l’important c’est d’avoir tout seul la bonne analyse et de la balancer dans la gueule, bien qu’il soit de notre camp, de celui dont on pense qu’il se trompe ?
Quand je vois que l’immense majorité des gens se fait une opinion en écoutant au JT un trouduc dire, sans aucune démonstration (et pour cause) que Chavez était un dictateur, je me dis qu’il y a non-assistance à peuple en danger d’intoxication.
Et je me dis que, plutôt que de taper sur des médias qui auront de toute façon le dernier mot vu qu’ils ont tous les moyens (et qu’ils font leur boulot, celui de servir leurs maîtres), on ferait peut-être aussi bien de commencer à construire l’alternative.
Bref, je n’ai pas la compétence pour savoir si un tel projet serait viable, mais je me demande si le principal obstacle n’est pas notre difficulté à gérer notre diversité. Et alors qu’on perd et on recule depuis des dizaines d’années, n’est-il pas temps de reprendre l’offensive avant d’être totalement laminés ?
Chico